Un jeune Irakien[5] a
pu accéder, en qualité de journaliste, à la salle où le criminel palabrait[6] en
présence de l’employé dit premier ministre d’Irak.[7]
Il a retiré ses chaussures et les a envoyées, au nom
« des veuves et des orphelins », à la figure du criminel.
Le criminel a réussi à les esquiver, et le jeune Irakien
a été immédiatement arrêté par les tueurs locaux.
Par miracle, il a survécu aux tortures, et n’a pas été
assassiné par les employés de ce régime dit « arabo-musulman » mis en
place par ses employeurs et qui, comme les autres régimes frères, est un régime
sanguinaire.[8]
Par miracle encore, il n’a été condamné qu’à trois ans de
prison.
Et par « miracle » toujours, il a été libéré
après 9 mois d’incarcération, et autorisé à s’exiler.[9]
BOUAZZA
[1]
Al’iraaq (le ʺrʺ roulé).
[2] United
States of America, les États unis d’Amérique, construits par des européens sur
le génocide des Indiens, sur l’esclavage, sur le terrorisme, sur l’utilisation
des bombes atomiques et sur d’innombrables autres massacres et destructions qui
continuent partout.
[3] Le fils
de celui qui a crevé le 30 novembre 2018, selon le calendrier dit grégorien,
George H. W. Bush, responsable de la première invasion en 1990-1990, à la tête
d’une coalition de trente cinq États.
Le
rejeton responsable de la deuxième invasion en 2003 était aussi à la tête d’une
coalition.
[4]
Baghdaad.
[5]
Mountadher Azzaydii
[6]
Conférence dite de presse.
[7]
Nourii almaalikii
[8] Régime
bénéficiaire du statut octroyé par le système colonialo-impérialo-sioniste, qui
s’est traduit dans les colonies par la multiplication des "États"
supplétifs, subordonnés avec plus ou moins de zèle, de soumission et de
servilité dans l’exécution des ordres des métropoles et autres employeurs.
Ces
"États" sont fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la
tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge,
le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture,
l’enfermement, la négation de l’être humain.
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