Je
ne fait que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
L’émission
de télévision[1]
intitulée « Dans la peau d’un bipolaire : de l’ombre à la
lumière », aide, comme dirait l’autre,[2] à mettre
des mots sur des maux.
Connue
autrefois comme « maladie maniaco-dépressive » ou « psychose
maniaco-dépressive » relevant de la psychiatrie, elle est désignée, depuis
le milieu des années 80, par « troubles bipolaires ».
Cette
affection mentale, assez méconnue, souvent non diagnostiquée, se caractérise
par l’alternance de phases d’excitation[3] et de
phases de dépression, des périodes de haut et des périodes de bas, des montées
et des descentes, des troubles de l’humeur.
La
personne atteinte par ce phénomène n’arrive pas à gérer ses émotions, à
contrôler ses comportements, ne réalise pas qu’elle dépasse les bornes, n’a pas
de limites, se croit tout permis, fait tout et n’importe quoi, peut accueillir
des gens pour un repas, par exemple, en étant habillée seulement d’un slip,
fait preuve d’une euphorie inquiétante, y compris dans le domaine sexuel, se
lance dans l’hyper séduction, dans l’hyper activité, n’arrête pas, ne se sent
pas fatiguée, a du mal à dormir.
Puis
c’est le changement de cycle ; surgit alors l’abattement, l’ennui, la
dépression, l’absence de confiance en soi, la dévalorisation, une sorte de
mélancolie profonde, la sensation de devenir folle, l’envie de suicide.
Les
troubles bipolaires sont liés à des antécédents familiaux,[4] à
l’environnement.
Il y
a bien sûr des traitements médicamenteux,[5] des
psychothérapies, de l’éducation psychologique, et autres.[6]
BOUAZZA
[1] Droit de
Suite, LCP, La Chaîne Parlementaire, jeudi 25/10/2018 (selon le calendrier dit
grégorien), 20h30 (rediffusion).
[2]
Que je ne connais toujours pas.
[3]
Manie.
[4]
C’est génétique.
[5]
Lithium par exemple (régulateur).
[6] Je ne
fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com
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