Il
pleut.
Peu
de temps auparavant, des éléphants plongeaient leur trombe dans la terre à la
recherche de l’eau.
D’autres
animaux faisaient comme ils pouvaient et creusaient pour la même raison.
Par
la pensée, je suis avec eux.
Au
milieu des buffles, des zèbres, des girafes et autres, à la recherche d’une
petite mare non encore desséchée.
Les
pas s’affaiblissaient.
La
fatigue gagnait.
L’épuisement
guettait.
La
souffrance augmentait.
Mais
l’espoir restait intact.
Nous
sentions l’approche de l’offrande.
Des
gouttes avaient commencé à descendre du ciel, nous effleuraient puis, de plus
en plus nombreuses, nous rafraîchissaient, nous lavaient, nous purifiaient,
nous abreuvaient.
Louange
à Allaah, Seigneur des univers.[1]
BOUAZZA
[1]
Rabb al’alamiine (le ʺrʺ roulé).
Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com
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