jeudi 19 septembre 2019

UN TYRAN DE TUNISIE A CREVÉ AUJOURD’HUI

Installé sur le trône de la république en Tunisie par ses employeurs du système colonialo-impérialo-sioniste, le tyran[1] qui a sévi de 1987 à 2011,[2] et avant comme ministre d’un autre tyran[3] de « l’indépendance dans l’interdépendance »,[4] a crevé aujourd’hui, jeudi 19 septembre 2019, en Arabie où il a été accueilli à bras ouverts par le tyran du régime en Arabie, lorsqu’il s’est enfui de Tunisie, suite au combats populaires en 2011.
Cet employé du système colonialo-impérialo-sioniste, avec sone clan familial et celui de son épouse, était un bon exécutant de basses œuvres, un bon élément pour piller, s’enrichir, jouir, détruire, exterminer, sans jamais oublier, comme ses frères en Afrique et ailleurs, de veiller aux intérêts de ses employeurs.
Assoiffé d’argent, d’horreurs, de vices et de sang, il était, comme ses frères en Afrique et ailleurs, à la tête d’un régime qui répandait la pourriture, commettait les crimes les plus abominables, et les plus nauséabonds, recourait à la torture sous toutes ses formes, sodomisait et massacrait des hommes, violait, méprisait et humiliait des femmes, maltraitait des enfants.
Il avait, comme ses frères d’Afrique et d’ailleurs, des comptes bancaires partout, des lingots d’or, des pierres précieuses, des bijoux de grande valeur, des fermes modèles, des propriétés immobilières sans nombre, des voitures luxueuses, des avions, des bateaux, et autres.
Tout ce que le pillage peut rapporter.
Son régime, à la satisfaction de ses employeurs, salissait, souillait, recourait à la corruption, à la dépravation, à la censure, aux usurpations, aux vols, aux impostures, aux falsifications, aux trafics, aux trahisons, aux tromperies, aux tricheries, aux enlèvements, aux séquestrations, aux emprisonnements, aux supplices, aux liquidations, aux tueries, aux massacres et autres.
Les employeurs n’hésitent pas à se débarrasser parfois des employés de ce genre lorsqu’ils ne peuvent pas faire autrement, pour les remplacer par leurs semblables en ayant recours à un « autre » discours destiné à maintenir la confusion, la manipulation, l’imposture.
Ces employeurs connaissent mieux que quiconque leurs employés, et n’ignorent rien de leurs crimes qu’ils entretiennent et qu’ils couvrent de mille et une manières afin de continuer la tyrannie.
Je connais les trahisons, les mensonges, les arrières pensées des imposteurs d’hier et d’aujourd’hui, la corruption, la servilité, les compromissions, les viols, les crimes, les tortures du présent et du passé, les êtres fracassés, anéantis, les rêves détournés, les espoirs évanouis, les esprits souillés.
Mais cela ne m’empêche pas de me réjouir chaque fois qu’un salaud crève.
Les mises en scène, les instrumentalisations, les mensonges, les humiliations, les pillages, les invasions, les massacres, les crimes, les cruautés, les destructions, les exterminations, les impostures, les malveillances, les perfidies, les travestissements, les supercheries, les fourberies, les camouflages, les leurres, les tromperies, les perversions, les trahisons, les viols, les tortures, les abjections, les cynismes et pire encore, n’élimineront jamais la résistance des populations.
« Et ne crois pas qu’Allaah soit inattentif à ce que font les injustes. Il ne fait que les retarder pour un jour où les regards se figeront ».[5]
  
BOUAZZA



[1] Ziine al’aabidiine Ben ‘ali.
[2] Selon le calendrier dit grégorien.
[3] Habiib Bou Rguiba.,
[4] Statut octroyé par le système colonialo-impérialo-sioniste, et qui s’est traduit dans les colonies par la multiplication des "États" supplétifs, subordonnés avec plus ou moins de zèle, de soumission et de servilité dans l’exécution des ordres des métropoles et autres employeurs.
Ces "États" sont fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture, l’enfermement, la négation de l’être humain.
[5] Alqoraane (Le Coran), sourate 14 (chapitre 14), Ibraahiime (le « r » roulé), Abraham, aayate 42 (verset 42).
Voir:
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com

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