Au
Maroc, pays de « l’indépendance dans l’interdépendance »,[1] le
régime de la débauche, de l’imposture continue de piétiner la dignité,
d’humilier, de sévir, et d’user de son mépris des populations qu’il ne voit que
serviles.
Le roi,[2] maintenu
à la « tête » de « l’État » par ses employeurs du système
colonialo-impérialo-sioniste, se veut une idole glorifiée, vénérée, se
proclamant d’un « islam » de circonstance, et s’attribuant le titre
de « commandeur des croyants ».
Le « gouvernement », les « hauts
fonctionnaires », les « hauts gradés », les « élus »,
et autres, constituent pour ce régime de la débauche, de l’imposture, les
figurants serviles de cette supercherie dite « monarchie de droit
divin ».
La
mascarade dite « politique » permet à des sujets de tous bords de
s’adonner à la danse lascive, en rêvant de faire partie du « harem »
du régime de la débauche, de l’imposture, ne serait-ce que pour un court
instant.
Bien
sûr, il y a la phraséologie trompeuse qui a fait, qui continue de faire,qui
fera des victimes sans nombre, dans tous les domaines, mais cela n’empêche pas,
n’a pas empêché et n’empêchera pas ces sujets de continuer à faire
« chchiikha ».[3]
Face
à la débauche, à l’imposture du régime, des mâles et des femelles se disant
« intellectuels », « cultivés », « modernes »,
« laïcs », et tout le toutim, veulent former une « opposition
qui vit avec son temps » : ils commencent d’abord par donner
satisfaction à leurs maîtres en montrant qu’ils sont prêts à tout pour éliminer
les croyants et les croyantes,[4]
en décrétant que le sexe, la baise sans frontières, l’alcool coulant à flots,
les joints, et autres, des éléments de ce qu’ils appellent « la vie
privée », constituent « des acquis de la civilisation de l’humanité »,
et font partie des « droits de l’homme », de « la
démocratie », de « la liberté ».
Cette
« nouvelle opposition » a le vent en poupe car soutenue par ceux qui
rêvent d’éradiquer l’Islaam, [5] et parce
que le régime de la débauche, de l’imposture en évoquant ce qu’il appelle
« l’islam », s’attaque à certains mâles et à certaines femelles de
cette « opposition », pour « défendre » ce qu’il appelle « les
valeurs sacrées ».[6]
L’Islaam dénonce les pratiques de cette
« opposition » à ce régime de la débauche, de l’imposture, il les
rejette, les condamne, les combat.
Aujourd’hui, et depuis des lustres, l’État[7]
des croyants et des croyantes n’existe plus, nulle part.
Les « États » qui prétendent l’être sont
fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la tromperie, la corruption,
l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge, le pillage, l’oppression,
l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture, l’enfermement, la négation de
l’être humain.
L’État des croyants et des croyantes n’existe plus,
nulle part, mais les membres de la communauté[8] des
croyants et des croyantes sont partout et seront partout, par la miséricorde
d’Allaah, jusqu’à la fin de l’existence ici-bas.
« Et
l’avenir est à la piété ».[9]
BOUAZZA
[1] Statut
octroyé par le système colonialo-impérialo-sioniste, et qui s’est traduit dans
les colonies par la multiplication des "États" supplétifs,
subordonnés avec plus ou moins de zèle, de soumission et de servilité dans
l’exécution des ordres des métropoles et autres employeurs.
Ces
"États" sont fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la
tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge,
le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture,
l’enfermement, la négation de l’être humain.
Au
Maroc, occupé par la France, l’Espagne, et autres, occupation dite
″protectorat″, le système colonialo-impérialo-sioniste a transformé le sultanat
moribond, en monarchie héréditaire, dite de "droit divin".
Le
sultan, protégé, est alors devenu roi, au service de ce système.
[2]
Dit Mohammad VI.
[3] De l’arabe ″achchaykha″ (chchiikha) au singulier,
féminin de ″achchaykh″ (chchiikh), qui veut dire personne âgée, mais désigne,
dans l’usage courant, un chef de clan ou de tribu.
Au Maroc, le mot au masculin désigne un indicateur
placé par l’administration pour tenir informé le représentant du ″ministère de l’intérieur″, le
caïd (alqaaid) des faits et gestes des populations sous sa surveillance, mais
s’applique aussi au chef d’une troupe de chiikhaate (pluriel de chiikha).
″Chchiikha″ désigne la pute participant par des danses
lascives et des chants vulgaires, à entretenir la débauche en de multiples
occasions.
[4]
Almouminoune wa almouminaate.
[5] L’Islaam depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction
et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah
le demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de
clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de
pays, de nationalité, d’Etat.
L’Islaam c’est ce qui unit les croyants et les
croyantes où qu’ils soient, sur la base du Message d’Allaah, le Seigneur des
univers.
Alqoraane
est la continuation, la synthèse, le parachèvement du Message d’Allaah
L’Unique, Le Seigneur des univers.
Mohammad,
l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix, a eu pour
mission de le transmettre.
Assonna
a trait à la conduite de Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la
bénédiction et la paix.
[6]
C’est à n’y rien comprendre, comme c’est souvent le cas dans les contrées dites
ʺmusulmanesʺ.
[7]
Ou toute institution semblable ou différente, appelée
autrement.
[8]
Alomma, la matrie.
Alqoraane
(Le Coran), sourate 20 (chapitre 20), Ta-ha, aayate 132 (verset 132).
Voir :
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com
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