Parfois,
ma mémoire me souffle des mots d'Abou Al’ataahiyya, qu’elle
a gardée dans ses replis depuis le lycée :
Fayaa
layta achchabaaba ya’oudo yawmane,
BOU’AZZA
[1]
Le ʺrʺ roulé.
[2] Ah si le
jeune âge (achchabaab) revenait un jour, pour que je l’informe de ce qu’a fait
l’âge avancé (almachiibo).
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