Fière
d’être féministe de partout, ouverte aux échanges nourris, aux ébats intergénérationnels,
elle participe avec fougue aux soirées d’enfer : alcool, joints, musique,
danse, et ce qui s’en suit.
Elle
ne se lasse pas des explorations anatomiques, des positions qu’elles alimentent,
de la baise sans frontières, des senteurs de sexe, son parfum favori.
Des
fournisseurs de bites, leurs équivalents au féminin, et autres, vivent avec
elle ce que représentent ses tatouages préférés : devant, entre son
nombril et son entrejambes, une langue dans un vagin, derrière, au niveau de sa
chute de reins, une queue dans un cul.[1]
BOU’AZZA
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