jeudi 16 juillet 2020

TATOUAGES


Fière d’être féministe de partout, ouverte aux échanges nourris, aux ébats intergénérationnels, elle participe avec fougue aux soirées d’enfer : alcool, joints, musique, danse, et ce qui s’en suit.
Elle ne se lasse pas des explorations anatomiques, des positions qu’elles alimentent, de la baise sans frontières, des senteurs de sexe, son parfum favori.
Des fournisseurs de bites, leurs équivalents au féminin, et autres, vivent avec elle ce que représentent ses tatouages préférés : devant, entre son nombril et son entrejambes, une langue dans un vagin, derrière, au niveau de sa chute de reins, une queue dans un cul.[1] 

BOU’AZZA



[1] Je ne fais que reprendre  ce dont j’ai déjà parlé.

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