C’est
comme si une distance intervenait, à sa demande, entre elle et ses mauvais comportements.
Elle
se préoccupait, comme d’innombrables autres personnes, de ce qui pouvait lui
valoir des flatteries, et pour cela,
elle pouvait faire tout et n’importe quoi.
Des
flatteries, encore des flatteries, toujours des flatteries.
Cette
dissociation était tellement ancrée en elle, qu’elle prenait ses troubles de
comportement, comme d’innombrables autres personnes, comme une certitude d’agir
dans le bien.
Elle
ne faisait qu’à sa tête et s’en foutait, comme d’innombrables autres personnes,
des conséquences néfastes de ses mauvais comportements.
En
dépit de ses mauvais comportements, elle est capable, comme peu de personnes, de
surmonter la dissociation, et de retrouver ce qui lui manque.[1]
BOU’AZZA
[1]
Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com
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