Le parc vibre de la joie des enfants.
Zoé y participe de tout son coeur.
Sa
nounou,[1] Faatima,[2] tout en
bavardant avec d’autres nounous, originaires comme elle des colonies d’Afrique
du Nord, ne la quitte pas des yeux.
À proximité,
des nounous d’autres colonies d’Afrique discutent.[3]
C’est
un parc où des grands-parents accompagnent également leurs petits-enfants.
Des
parents y viennent aussi.
Zoé,
très attachée à Faatima, aime que celle-ci lui raconte des histoires.
Surtout
l’histoire de « Robinson crut Zoé ».[4]
France,
la génitrice de Zoé, une génitrice célibataire, n’a pas le temps de s’en
occuper.
Elle
s’occupe de son poste dit de responsabilité dans un média dit important.
Comme
journaliste, elle est chargée avec d’autres d’agresser, de dénigrer
« l’islam »,[5]
conformément aux désirs des employeurs.[6]
Les insultes, l’arrogance, le mépris, la haine, et
autres, pleuvent.
L’invraisemblable est soutenu.
Les coups les plus inimaginables sont montés.
Les manipulations les plus incroyables sont pratiquées.
Les mensonges les plus éhontés sont servis.
Les
agressions ne se comptent plus.
Les hostilités sont continues.
La
désinformation ne recule devant rien.
Les
amalgames de toutes sortes, dans tous les domaines, à tous les niveaux, sont la
règle.
Les
pires tromperies sont à l’oeuvre.
L’imposture
inonde tout.
Le
grand-père de France était gradé de l’armée française dans les colonies d’Afrique
du Nord, et dans d’autres colonies d’Afrique.
Il a
vanté les horreurs répandues par cette armée, et les crimes du colonialisme,
crimes contre l’humanité.
À
son retour en métropole, il a été glorifié, félicité, fêté, décoré, nommé haut responsable
d’une institution de contrôle des immigrés des colonies d’Afrique du Nord, et
d’autres colonies d’Afrique.[7]
Les
régimes mis en place par la supercherie de « l’indépendance dans
l’interdépendance », et autres,[8]
continuent de faire ce que leurs employeurs du système
colonialo-impérialo-sioniste, leur demandent, afin que le continent africain,
et d’autres lieux ailleurs, restent une décharge d’immondices dans tous les
domaines : la merde continue de gicler de partout, nauséabonde.
Les
colonies et autres contrées dites du « tiers-monde », restent pour
les métropoles des réserves de matières premières, de main d’œuvre, des marchés
pour tout écouler, des points stratégiques pour les militaires, des terrains
d’expérimentations des armements, des lieux de pédophilie et autres
« loisirs pour touristes », des dépotoirs multiples et variés.
La
petite-fille, France, dont le cul rayonne sur son lieu de travail[9] où une
grande compétence lui est reconnue comme suceuse, entretient la flamme.
Faatima
porte le foulard,[10] fait de
son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande. ce qui déplaît fortement
à France, mais elle fait avec car elle
tient à la nounou de Zoé.
En
l’employant, elle peut, en « femme libérée », s’investir dans son
activité où on se roule des pelles, où on se tripote, où on se fait des
fellations, où on se lèche, où on aménage des moments pour se livrer à de multiples
explorations anatomiques, où on baise dans des bureaux, dans des chiottes, dans
des véhicules,[11]
et n’importe où.
Des
lesbiennes, des homosexuels, des bisexuels, des hétérosexuels, des suceuses,
des masturbateurs, des gigolos, et autres, alimentent et entretiennent cet
« acquis civilisationnel ».[12]
Parfois,
pour ne pas dire presque toutes les fins de semaine,[13] afin de
s’adonner à des partouzes, elle demande à faatima de garder Zoé chez elle.[14]
Ainsi,
débarrassée du fardeau, France vit des partouzes d’enfer : alcool, joints,
musique, danse, et ce qui va avec.
S’afficher,
se montrer, se faire voir, attirer l’attention, savourer des flatteries, se
donner en spectacle, s’agiter dans tous les sens, faire tout et n’importe quoi
pour être le centre d’intérêt, n’écouter que ses pulsions, suivre ses
impulsions, ne faire qu’à sa tête.[15]
Elle
adore.
Ne
s’en lasse pas.
Étale
son euphorie d’être féministe de partout.
Toujours
partante pour des échanges pénétrants, pour des ébats intergénérationnels, pour
la baise sans frontières.
Après quelques verres d’alcool, des joints, transportée
par la musique, elle se lance dans la danse et, arrivé derrière elle, un
fournisseur de bite[16] lui
pose les mains sur les hanches, en reniflant le croupion offert.[17]
En chaleur, elle s’ouvre de partout, accueille les
assauts du fournisseur de bite,[18] doué
pour la sodomie.
Elle
veut garder la bite dans son derrière insatiable, et aussi l’avoir dans son
vagin boulimique, la sentir entre ses seins, la prendre dans ses mains expertes
pour la masser, la masturber, la mettre encore et encore dans sa bouche vorace
de suceuse réputée auprès de beaucoup, parmi lesquels des époux et des pères
qu’elle a sucés, y compris au domicile conjugal des uns, des autres, et à son
domicile bien sûr.
Elle
aime sucer des bites,[19] lécher
des vagins, et autres, se faire lécher devant et derrière.
Au
cours des partouzes, elle se délecte en léchant le vagin fraîchement épilé
d’une jeune épouse et mère, pendant qu’elle se fait enculer par l’époux de
celle-ci, à qui elle fait souvent des fellations.
Elle
se régale des senteurs de sexe, son
parfum favori. [20]
BOU’AZZA
[1]
Nourrice, assistante maternelle.
[2]
Fatima.
[3] Les
nounous dans beaucoup de cas, sont originaires de colonies de la métropole, la
France colonialiste, et issues du processus migratoire.
[4] ʺVendredi a
toujours été important pour elle.
En ce jour, parmi la
multitude, elle a, encore une fois, raconté sa marche.
Sa résistance.
Agressée, injuriée, calomniée, accusée de mensonges,
maltraitée, humiliée, marginalisée, persécutée, pourchassée, elle continue de
résister.
Sa marche ne s’est pas arrêtée.
Ne s’arrête pas.
Et ne s’arrêtera pas.
En ce jour, parmi les auditeurs, Robinson était tout
ouïe.
Robinson crut Zoé.
Elle parlait et il sentait en
lui le rythme de ce qu’elle disait.
Rythme des couleurs originelles.
De la Lumière.
Des graines qui germent.
Des fleurs qui embaument le temps et l’espace.
De l’Amour.
Flots de pensées.
Averses d’images.
Afflux de sensations.
Des souvenirs s’assemblent.
Des idées se rassemblent.
Des mots s’associent.
Se mettent en mouvement.
Font voler en éclats les illusions.
Gomment les chimères.
Regagnent le cœur.
Ravissement.
Reconnaissance.
Ruissellement de paixʺ.
[5] L’Islaam depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction
et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah
le demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de
clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de
pays, de nationalité, d’Etat.
L’Islaam c’est ce qui unit les croyants et les
croyantes (almouminoune wa almouminaate) où qu’ils soient, sur la base du
Message d’Allaah, Le Seigneur des univers.
Alqoraane
est la continuation, la synthèse, le parachèvement du Message d’Allaah,
L’Unique.
Mohammad,
l’ultime Messager et Prophète sur lui la bénédiction et la paix (sallaa Allaah
‘alayh wa sallame), a eu pour mission de le transmettre.
[6] Qu’ils
soient de droite, de gauche, ou autres, les médias appartiennent généralement à
des détenteurs de gros capitaux et sont contrôlés par des individus dits décideurs,
qui alimentent et entretiennent ce qui sert leurs intérêts dans le cadre d’une
institution, d’un régime, d’un système, ou autres.
C’est
dire que les journalistes, et autres personnels des médias, sont des employés
tenus de se soumettre à ce que veulent les employeurs.
Le
discours sur ʺ le journaliste au service de la véritéʺ par exemple, ne
trompe que ceux et celles qui le veulent bien.
[7]
D’autres, pires que lui, ont des rues qui portent leur nom, des statues invitent
à les adorer, des commémorations leur sont consacrées, des livres les idolâtrent,
des médias les honorent, des écoles les encensent, des fauteuils moelleux leur
sont attribués dans les instances les plus élevées de l’État.
[8]
ʺL’indépendance nationaleʺ, ʺla révolution nationaleʺ, ʺla révolution
populaireʺ, et autres.
Statut
octroyé par le système colonialo-impérialo-sioniste, et qui s’est traduit dans
les colonies par la multiplication des "États" supplétifs,
subordonnés avec plus ou moins de zèle, de soumission et de servilité dans
l’exécution des ordres des métropoles et autres employeurs.
Ces
"États" sont fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la
tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge,
le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture,
l’enfermement, la négation de l’être humain.
[9]
Et ailleurs.
[10] Dit "voile", "tchador", et autres
avec des connotations de mépris, des attaques, des insultes, des dénigrements,
des injures, des accusations, des mensonges, des calomnies, des falsifications,
des maltraitances, des humiliations, des marginalisations, des menaces, et de
multiples autres agressions, est désigné comme "signe d’oppression".
Des textes ont été mis en place pour condamner le port
du foulard dans des lieux dits publics.
Pour
les opposantes et les opposants au foulard, y compris dans les pays où
sévissent des "États" dits "musulmans", il est bon de se
défouler contre celles qui le portent, cibles des surenchères en tous genres,
au nom de la ʺliberté d’expressionʺ, de la "modernité", du "progrès"
et autres balivernes supposées vouloir signifier "vivre avec son
temps".
Ces opposantes et ces opposants s’attaquent aux femmes
parce qu’elles se couvrent les cheveux, ne sont pas dévêtues, ne fréquentent
pas les bars, ne vont pas dans les boîtes de nuit, n’ont pas de rapports
sexuels en dehors du mariage (entre la femme et l’homme), ne s’adonnent pas à
l’adultère, ne vont pas à des soirées ou autres pour la débauche, ne se droguent pas, et autres.
Ces opposantes et ces opposants ne cessent d’éructer,
de répandre leur chemin.
En
dépit de tout cela, en France par exemple,, des femmes issues du processus
migratoire né du colonialisme français en Afrique, et autres,continuent de
porter ce foulard.
[11]
Sa voiture, comme beaucoup d’autres véhicules, a la réputation d’être un
baisodrome.
[12] En tombant enceinte de Zoé, elle est tombée de haut.
Comment est-ce possible ?
Pour ce qui est du géniteur, elle n’a pas cherché à
savoir qui c’est : elle s’en tape.
Comme elle avait déjà avorté, elle a décidé de ne pas le
refaire.
[13]
Tous les week-ends.
[14]
À la grande joie de l’enfant.
[15] Elle s’exhibe,
se fait tirer ʺrecto-versoʺ, devant et derrière, parce que c’est ʺvalorisantʺ,
joue à ʺl’adolescenteʺ gâtée, capricieuse, allumeuse.
Elle
savoure d’être pute.
Ne
se soucie pas des conséquences de ses comportements, s’en fout de tout ce qui
n’est pas elle.
Tout ce qui est incompatible avec elle est nul et non
avenu.
Elle
s’irrite de la moindre critique, du moindre reproche, de la moindre remarque,
qui provoquent chez elle des réactions immatures, irresponsables, délirantes,
et mettent en relief son entêtement, ses dérèglements, ses troubles.
[16]
Collègue de ʺtravailʺ.
[17] Le mâle qui bande à l’odeur de la femelle en rut, qui
bave pour le trou à boucher.
[18]
Fraîchement marié, son épouse est sur le point d’accoucher de son premier bébé.
[19]
Faire des pipes.
[20] Une féministe comme elle, participante aux partouzes,
est réputée pour narrer ses histoires de
cul.
Elle a une manière racoleuse de se toucher avec le
pousse, l’annulaire sans alliance, de défaire des boutons en haut et en bas de
sa robe entièrement déboutonnable, d’écarter les jambes pour laisser voir son
sexe à l’étroit dans une petite culotte, puis de commencer la narration.
Ses ébats avec un fournisseur de bite rencontré dans
un bar où elle se rend lorsque son époux est absent, tient l’auditoire en
haleine :
ʺIl a suffi que nous nous regardions pour sentir
l’irrésistible désir de baiser.
Je ne tenais plus.
Heureusement que l’hôtel à cet effet est juste au
dessus du bar.
Un hôtel où je me suis déjà donnée à la baise.
Et pas qu’avec des mecs.
Á peine dans la chambre, nous nous sommes jetés l’un
sur l’autre.
Avec frénésie.
L’odeur de sexe n’a pas tardé à se répandre.
Une odeur que j’aime.
Mon parfum préféré.
Le type déchirait grave.
Je savoure encore son doigté.
J’en redemandais.
Je voulais sa bite partout.
J’en étais folle.
Et lui était fou de mon cul, de mon vagin avec sa
toison pubienne, que sa bite et sa langue faisaient chanter de ravissement.
Du sexe à n’en plus finir.
Le top de la baise.
Je mouille en y pensantʺ.
Je
ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà
parlé.
Voir :
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire