Il a
vanté les horreurs répandues par cette armée partout dans le monde, et les
crimes du colonialisme, crimes contre l’humanité.
À
son retour en métropole, il a été glorifié, félicité, fêté, décoré, nommé haut
responsable d’une institution de contrôle des immigrés des colonies d’Afrique
du Nord, et d’autres colonies d’Afrique.[1]
Les
régimes mis en place par la supercherie de « l’indépendance dans
l’interdépendance », et autres,[2]
continuent de faire ce que leurs employeurs du système
colonialo-impérialo-sioniste, leur demandent, afin que le continent africain,
et d’autres lieux ailleurs, restent une décharge d’immondices dans tous les
domaines : la merde continue de gicler de partout, nauséabonde.
Les
colonies et autres contrées dites du « tiers-monde », restent pour
les métropoles des réserves de matières premières, de main d’œuvre, des marchés
pour tout écouler, des points stratégiques pour les militaires, des terrains
d’expérimentations des armements, des lieux de pédophilie et autres
« loisirs pour touristes », des dépotoirs multiples et variés.[3]
BOU’AZZA
[1]
D’autres, pires que lui, ont des rues qui portent leur nom, des statues
invitent à les adorer, des commémorations leur sont consacrées, des livres les
idolâtrent, des médias les honorent, des écoles les encensent, des fauteuils
moelleux leur sont attribués dans les instances les plus élevées de l’État.
[2]
ʺL’indépendance nationaleʺ, ʺla révolution nationaleʺ, ʺla révolution
populaireʺ, et autres.
Statut
octroyé par le système colonialo-impérialo-sioniste, et qui s’est traduit dans
les colonies par la multiplication des "États" supplétifs,
subordonnés avec plus ou moins de zèle, de soumission et de servilité dans
l’exécution des ordres des métropoles et autres employeurs.
Ces
"États" sont fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la
tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge,
le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture,
l’enfermement, la négation de l’être humain.
[3] Je ne fais
que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com
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