Je me suis installé sur un banc.
Le parc vibrait de la joie des enfants.
Mes petits-fils, heureux de se retrouver tous les trois,
participaient à l’animation.
Je les regardais avec mon coeur.
Flots
de pensées.
Averses
d’images.
Afflux
de sensations.
J’ai
soixante dix ans.[1]
J’avance dans l’impermanence d’ici-bas, vers la permanence
de la vie dernière.
Qu’Allaah déverse sur nous Sa miséricorde.
BOU’AZZA
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