Depuis
Aadame[1] sur
lui la bénédiction et la paix, les croyants et les croyantes,[2] se
défendent, partout, contre les ennemis d’Allaah.
L’Islaam[3] a toujours, été combattu, il est toujours combattu, sera toujours combattu par ces ennemis qui continuent à user de divers moyens à cet effet.
Les croyants et les croyantes ont toujours résisté, résistent et résisteront jusqu’à la fin de l’existence ici-bas.[4]
La prétendue « puissance » de ces ennemis ne les détourne pas de la Voie d’Allaah.
La mémoire résonne au rythme de mots inoubliés.
Rythme qu’a connu notre père Aadame sur lui la bénédiction et la paix.
Qu’a connu notre mère Hawwaa-e[5] qu’Allaah la bénisse.
Rythme des couleurs originelles.
De l’Adoration.[6]
Rythme du Sens[7] et du Lien.[8]
De la louange.
Rythme des graines qui germent.
Des fleurs qui embaument le temps et l’espace.
Rythme des invocations.
De la Lumière.
Du souvenir de Demain.
« Et l’avenir est à la piété ».[9]
BOU’AZZA
[1] Adam sur lui la bénédiction et la paix.
[2] Almouminoune wa almouminaate.
[3] L’Islaam depuis Aadame sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de pays, de nationalité, d’Etat (le fait qu’un État ne soit pas fondé sur l’islaam, ne signifie nullement que les croyants et les croyantes installés dans une contrée ayant un tel État, ne font pas de leur mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande).
L’Islaam c’est ce qui unit les croyants et les croyantes où qu’ils soient, sur la base du Message d’Allaah, Le Seigneur des univers.
Alqoraane est la continuation, la synthèse, le parachèvement du Message d’Allaah, L’Unique.
Mohammad, l’ultime Messager et Prophète sur lui la bénédiction et la paix,[3] a eu pour mission de le transmettre.
[4] Addoneyaa.
[5] Ève qu’Allaah la bénisse.
[6] Al’ibaada.
[7] Sens du Message d’Allaah.
[8] Lien avec Allaah.
[9] ″Wa al’aaqiba littaqwaa″.
Alqoraane (Le Coran), sourate 20 (chapitre 20), Ta-ha, aayate 132 (verset 132).
Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
L’Islaam[3] a toujours, été combattu, il est toujours combattu, sera toujours combattu par ces ennemis qui continuent à user de divers moyens à cet effet.
Les croyants et les croyantes ont toujours résisté, résistent et résisteront jusqu’à la fin de l’existence ici-bas.[4]
La prétendue « puissance » de ces ennemis ne les détourne pas de la Voie d’Allaah.
La mémoire résonne au rythme de mots inoubliés.
Rythme qu’a connu notre père Aadame sur lui la bénédiction et la paix.
Qu’a connu notre mère Hawwaa-e[5] qu’Allaah la bénisse.
Rythme des couleurs originelles.
De l’Adoration.[6]
Rythme du Sens[7] et du Lien.[8]
De la louange.
Rythme des graines qui germent.
Des fleurs qui embaument le temps et l’espace.
Rythme des invocations.
De la Lumière.
Du souvenir de Demain.
« Et l’avenir est à la piété ».[9]
[1] Adam sur lui la bénédiction et la paix.
[2] Almouminoune wa almouminaate.
[3] L’Islaam depuis Aadame sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de pays, de nationalité, d’Etat (le fait qu’un État ne soit pas fondé sur l’islaam, ne signifie nullement que les croyants et les croyantes installés dans une contrée ayant un tel État, ne font pas de leur mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande).
L’Islaam c’est ce qui unit les croyants et les croyantes où qu’ils soient, sur la base du Message d’Allaah, Le Seigneur des univers.
Alqoraane est la continuation, la synthèse, le parachèvement du Message d’Allaah, L’Unique.
Mohammad, l’ultime Messager et Prophète sur lui la bénédiction et la paix,[3] a eu pour mission de le transmettre.
[4] Addoneyaa.
[5] Ève qu’Allaah la bénisse.
[6] Al’ibaada.
[7] Sens du Message d’Allaah.
[8] Lien avec Allaah.
[9] ″Wa al’aaqiba littaqwaa″.
Alqoraane (Le Coran), sourate 20 (chapitre 20), Ta-ha, aayate 132 (verset 132).
Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
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