samedi 31 décembre 2016

NE PAS PERDRE DE VUE L’ARME INFORMATIQUE

les colonies, dites « États souverains » depuis « l’indépendance dans l’interdépendance »,[1]et autres contrées dites du « tiers-monde », restent pour les métropoles des réserves de matières premières et de main d’œuvre, des marchés pour tout écouler, des points stratégiques pour les militaires, des terrains d’expérimentations des armements, des lieux de pédophilie et autres « loisirs pour touristes », des dépotoirs multiples et variés.
Les métropoles y ont installées des employés dits « chefs d’État », dotés de « Gouvernements », de « Parlements », de « Constitutions », et même de systèmes informatiques.
Les employés, généralement sanguinaires, tyranniques, débauchés, corrompus, pourris, plongés dans les ténèbres, répètent ce que les patrons leur dictent sur « l’organisation des différents groupes de la population, sur l’État, sur la Constitution et autres ».
Pour « camoufler » l’imposture, les médias des employeurs sont chargés de dénoncer les employés des pays dominés, au nom de la « liberté d’expression », des « droits de l’homme » et autres « principes démocratiques » brandis par les imposteurs.
Ils sont même autorisés, un peu partout, à critiquer les employeurs, pour embrouiller les cartes, ou comme disent les « bien-pensants », pour « informer ».
Les employés sont tenus de servir les intérêts du système colonialo-impérialo-sioniste qui mobilise d’énormes moyens dans le but de rendre confus ce qui est clair et complexe ce qui est simple.
Les colonies dites « États souverains » depuis « l’indépendance dans l’interdépendance », et autres contrées dites du « tiers-monde », sont pour les métropoles des consommateurs et des utilisateurs de ce qu’ils leur fourguent.
Ils leur est interdit de chercher à devenir aptes à se débarrasser de ce statut, que l’informatique consolide.
Les métropoles peuvent en effet, à tout instant, déclencher dans ce domaine toutes les attaques qu’ils désirent, et renforcer le pire.
Elles peuvent infecter, bloquer, et prendre le contrôle de tous les systèmes informatiques installés dans les colonies.[2]

BOUAZZA



[1] Statut octroyé par le système colonialo-impérialo-sioniste, et qui s’est traduit dans les colonies par la multiplication des "États" supplétifs, subordonnés avec plus ou moins de zèle, de soumission et de servilité dans l’exécution des ordres des métropoles et autres employeurs.
Ces "États" sont fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture, l’enfermement, la négation de l’être humain.
[2] Le système colonialo-impérialo-sioniste à déjà utilisé des cyberattaques pour montrer qu’il peut avoir recours à des attaques numériques d’ampleur, très ravageuses, et obtenir une soumission encore plus forte.
Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.

vendredi 30 décembre 2016

POUTINE EN SYRIE

En septembre 2015,[1] j’ai mis sur le « blog » le texte suivant intitulé « Poutine en série » :
« Une lecture rapide du titre peut prêter à « confusion », et faire croire qu’il s’agit de « Poutine en Syrie », puisqu’en ce moment, le Président de Russie fait beaucoup parler de ce qu’il entreprend pour le maintient « au pouvoir », du criminel[2] dit Président de Syrie.[3]
Mais ce n’est pas de « ça » qu’il s’agit.
Il s’agit d’un plat répandu au Canada, dans la Province de Québec :[4] Poutine en série.
La poutine, à base de frites, de fromage et de sauce, dont il est beaucoup question en ce moment ! ».
Cette fois, le texte, comme le titre l’indique, traite de Poutine en Syrie.
Ce tyran, installé sur le trône du Krémlin, multiplie les bombardements exterminateurs contre les populations de Syrie, pour maintenir le régime assassin qui y sévit depuis longtemps.
Comme ses frères installés à « la tête » de régimes sanguinaires, dits « États musulmans »,[5] Bachar El Assad a été choisi, après le décès de son géniteur sanguinaire,[6] pour continuer en Syrie, à servir les intérêts de ses employeurs.
Son régime, comme ceux de ses frères, ne sont aptes qu’à massacrer les populations des pays où ils sévissent, et à piller tout ce qu’ils peuvent.[7]
La mafia qui alimente et entretient le système colonialo-impérialo-sioniste, recours pour cela à des dévoyés avides d’argent sale, de vice, de trahison, de sang, et autres.
Ignorant jusqu’au montant en milliards de dollars de vols par le biais de leurs employeurs, ennemis acharnés de l’Islaam, ils se permettent tout.
Ils commettent les crimes les plus abominables, les plus nauséabonds, où la torture sous toutes ses formes est quotidienne, où des hommes sont sodomisés, tués, où des femmes sont méprisées, humiliées, violées, achevées et où des enfants sont enlevés, maltraités, affamés, éliminés.
Ils salissent et souillent tout, recourent à la tyrannie, à la corruption, à la dépravation, à la débauche, à la censure, aux usurpations, aux vols, aux impostures, aux mensonges, aux falsifications, aux trafics, aux trahisons, aux tromperies, aux tricheries, aux humiliations, aux enlèvements, aux séquestrations, aux emprisonnements, aux supplices, aux liquidations, aux tueries, aux massacres et autres à des degrés inimaginables, répandent la décomposition, la puanteur et la putréfaction.[8]
Pour ces exterminateurs,[9] l’humain est réduit à rien.
Ces imposteurs se déguisent en « musulmans » pour alimenter et entretenir la confusion.
Ils parlent d’Islaam, a   lors qu’ils font partie de ses ennemis.
Poutine aime les massacres, et hait l’Islaam : il a montré sa barbarie en Tchétchénie, entre autres.
Il applique en Syrie ce qu’il a déjà fait ailleurs.[10]
  
BOUAZZA



[1] Selon le calendrier dit grégorien,
[2] Qui poursuit la destruction de Souriyaa (le ʺrʺ roulé), et les massacres des populations, hommes, femmes, et enfants, par centaines de milliers.
[3] Bachar El Assad, fils du criminel Hafez El Assad (transcription des prénoms et des noms d’après les médias en France), installé et maintenu ʺau pouvoirʺ, comme son père jusqu’à sa mort, par le système colonialo-impérialo-sioniste.
[4] Le Canada, devenu le pays des descendants et des descendantes des exterminateurs et des exterminatrices des Populations Autochtones, des Indiens, des Indigènes.
[5] Les croyants et les croyantes (almouminoune wa almouminaate) savent que ces "États" n’ont rien à voir avec l’Islaam, et que les employés placés à leur tête sont des imposteurs.
[6] Il a exterminé les populations de Syrie par dizaines de milliers.
[7] Afin de défendre les privilèges et approfondir les divisions, leurs employeurs leur vendent des armes pour l’oppression des populations maintenues dans l’obscurantisme tribal, l’ignorance, l’arriération, la misère, l’absence de soins et autres horreurs.
[8] Leurs employeurs s’en débarrassent lorsqu’ils ne peuvent pas faire autrement, pour les remplacer par leurs semblables en ayant recours à un "autre" discours destiné à alimenter, à entretenir la confusion et la manipulation.
Ces sanguinaires se déchaînent alors car ils ne savent plus quoi faire pour retrouver les faveurs de leurs employeurs.
Le sanguinaire de Syrie a toujours fait ce qui lui a été ordonné de faire, et a toujours fait là où il lui été ordonné de faire, comme ses frères dits musulmans, il ne comprend donc pas pourquoi certains veulent le remplacer.
[9] Que l’Islaam rejette, dénonce, condamne et combat.

jeudi 29 décembre 2016

SUR LE VRAI ET LE FAUX

« Il[1] a fait descendre du ciel une eau qui a coulé en torrents selon leur importance[2] et le courant a porté à sa surface une écume abondante. Et de sur quoi ils attisent le feu pour obtenir une parure[3] ou un ustensile,[4] une écume semblable.[5] Ainsi Allaah représente en parabole le Vrai et le faux. Quant à l’écume, elle s’en va au rebut et quant à ce qui profite aux gens,[6] il demeure dans la terre. Ainsi Allaah propose les paraboles ».[7]
Kachriid (Kechrid) note :
« Dans ce verset 17 se trouve l’une des plus belles paraboles du Coran.[8] Le Verbe divin[9] est comparé à l’eau du ciel. Au contact du Coran, l’humanité se réveille et, selon l’intensité de la foi de ceux qui y ont cru,[10] se déclenchent des forces plus ou moins grandes de même que l’eau fait couler des torrents inégaux en force et en étendue.
Au dessus de l’eau des torrents se forme une écume légère et abondante de même que les métaux précieux et usuels sont surmontés d’une écume (la gangue) quand on les fait fondre.
Le regard est aussitôt frappé par cette écume abondante mais sans aucune valeur et appelée à disparaître rapidement et sans laisser de trace.
C’est là le symbole de toutes les fausses valeurs, des hypocrites et des ostentateurs.
C’est pourtant ce que l’on ne voit pas de prime abord qui demeure en terre et rend service aux gens. C’est l’eau et les métaux purifiés de leur gangue qui sont la vérité. Tout le reste n’est qu’une écume éphémère.
L’écume superficielle s’en va et la bonne matière reste au fond du creuset ».[11].



[1] Allaah.
[2]  Ou prédestination selon la traduction de Kachriid (Kechrid).
[3]  Métal précieux, bijoux.
[4]  Un objet utile selon la traduction de Kachriid (Kechrid).
[5]  Se dégage une écume pareille.
[6] Ce qui est utile aux Hommes selon la traduction de Haamid Allaah (Hamidullah).
[7] Alqoraane (Le Coran), sourate 13 (chapitre 13), Arra’d, Le Tonnerre, aayate 17 (verset 17).
[8] Qoraane.
[9] D’Allaah.
[10] Qui croient.
[11] Salaah Addiine Kachriid, le ʺrʺ roulé (Salah Eddine Kechrid), traduction du Coran, Loubnane (Liban), Bayroute (Beyrouth), éditions Daar Algharb Alislaami, cinquième édition, 1410 (1990), première édition, 1404 (1984).
Note en bas de la page 324.
Il m’est déjà arrivé de citer ce texte, que je citerai encore et encore ine chaa-e Allaah (si Allaah veut).
Voir :
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com

mercredi 28 décembre 2016

« LE SYSTÈME »

Dans le temps et dans l’espace, il a été appréhendé, il est appréhendé, il sera appréhendé de multiples et diverses manières.
Il a donné lieu, il donne lieu, et il donnera lieu à différentes interprétations.
Ceux et celles qui l’adorent font tout pour le maintenir.
L’immense majorité s’y soumet, en essayant de donner l’impression d’adhérer à un bavardage imposé de mille et une façons : elle le nourrit.
Certains et certaines le combattent, lui résistent.
La désignation du républicain Donald Trump, par exemple, comme président des USA, alimente et entretient des fantasmes, des divagations, des confusions, et autres, pour consolider le faux.
« Le système » s’y connaît en faux.
C’est son domaine.
La candidate démocrate Hillary Clinton, présentée tout au long de la campagne dite électorale, et même avant, comme l’héritière incontestable et incontournable du trône de la Maison Blanche, n’a pas hérité de la présidence, « à la stupéfaction générale », disent ses chantres, qui déjà, veulent que sa fille soit chargée d’obtenir ce qui a été refusé à sa mère.
Blablabla.
« Le système » poursuit son oeuvre.
Les commentateurs et tateuses, collaborateurs et rateuses, discoureurs et coureuses, chro-niqueurs et niqueuses, chieurs et pisseuses, salariés de magnats de médias dont ils exécutent les ordres, déversent encore et toujours leurs ordures, des mots salis, enlaidis, abîmés, falsifiés, contaminés, détournés, souillés, trahis, dénaturés, pourris, nauséabonds pour grossir le flot des maux, de la conne science universelle.[1]
Figurant républicain ou démocrate, c’est du pareil au même.
« Le système » fait croire aux cons citoyens,[2] aux connes citoyennes,[3] aux zélés cteurs,[4] aux zélées ctrices,[5] qu’ils font « l’élection », entre autres.
Les USA.
United States of America.
Les États unis d’Amérique.
Construits par des européens sur le génocide des Indiens, sur l’esclavage, sur les agressions, sur les exterminations, sur la terreur, sur l’utilisation des bombes atomiques, et sur d’innombrables autres massacres qui continuent partout.
Aujourd’hui, première puissance militaire nucléaire.
« Le système » installe sur le trône de la Maison Blanche, à tour de rôle, un républicain, un démocrate, ou autres, afin qu’ils accomplissent ce pourquoi ils ont été installés sur le trône.
La France, pays connu aussi pour ses exterminations, ses massacres, ses destructions, ses crimes, et autres, va voir en 2017,[6] le loque à terre[7] du trône du Palais de l’Élysée, le révolutionnaire de gauche, [8] remplacé par un autre, chargé également d’accomplir ce pourquoi « le système » l’installe sur le trône.
Aux USA, en France, et ailleurs, « le système » poursuit son oeuvre.
Les imposteurs s’activent au niveau mondial.
La mafia est internationale.
Une mafia qui considère la planète comme sa propriété.
Une mafia qui corrompt, répand le faux, le mensonge, la débauche, le pillage, l’exploitation, le crime, et autres.
Une mafia qui calomnie, diffame, salit, humilie, écrase, affame, détruit, et souhaite éliminer quiconque menace « le système ».
Une mafia qui vise à réduire au silence quiconque ose résister.
Une mafia qui fait appel à la technique très prisée de « victimiser » les coupables et d’accuser les victimes.
Une mafia qui dispose des États et autres institutions comme instruments pour servir ses intérêts partout, et par d’innombrables moyens.[9]
  
BOUAZZA




[1] Ne pas confondre avec la conscience universelle.
[2] Concitoyens.
[3] Concitoyennes.
[4] Aux électeurs.
[5] Aux électrices.
[6] Selon le calendrier dit grégorien.
[7] Le locataire
[8] Le socialiste François Hollande qui y a été installé en 2012, en remplacement de son alter ego, le révolutionnaire de droite, Nicolas Sarkozy.

mardi 27 décembre 2016

LE GALET DE GÊNES


J’ai parlé plus d’une fois des galets que je ramène à la maison et que je ramasse souvent à la plage.
Beaucoup viennent d’Italie.
Mes deux premiers petits-fils[1] le savent.
Ils aimaient prendre quelques uns pour jouer.
Dernièrement, mon premier petit-fils était à Gênes avec son père.
Il m’a ramené un galet.
Je l’ai mis sur la table où je travaille, et il m’arrive de le regarder avec émotion.
  
BOUAZZA



[1] Ils vont bientôt avoir cinq ans, ine chaa-e Allaah (si Allaah veut).

LA BOUTIQUE DE ‘OMAR


La boutique[1] constituait une sorte de point de ralliement.
Avec le temps, cet espace professionnel était devenu aussi une sorte de lieu d’animation culturelle, de rencontres multiples et variées.
Des idées y étaient exposées, des événements commentés, des nouvelles apportées, des informations partagées, des blagues racontées.[2]
Des personnes de tous les âges, de différentes conditions s’y retrouvaient.
Et ‘Omar, tout en travaillant, participait à l’ambiance, alimentait et entretenait cette atmosphère que tout le monde appréciait, et à laquelle les apprentis[3] contribuaient avec entrain.[4]
« Lm’ellm »,[5] connu pour son entêtement, était apprécié.
Je l’appelais « maa ymknch »,[6] parce que c’était sa réponse à quiconque voulait le faire changer d’avis.
Il aimait son métier de tailleur.[7]
J’allais souvent à lhanoute,[8] ouverte en 1957.[9]
Un de mes neveux, enseignant universitaire, journaliste, et auteur d’un livre sur le roi du Maroc, m’avait envoyé un jour un « mail » où il écrivait :
« J’aime visiter « lhanoute ».
Dans cette petite « boutique », vieille de plusieurs décennies, une sérénité parfumée de l’histoire authentique, populaire de Khémisset,[10] me procure une tranquillité sans limite.
Je regarde cette vieille rue qui résiste encore au temps, je contemple les petits murs de la « boutique » à l’intérieur, sur lesquels reposent de vieilles coupures de journaux et de vieux magazines où l’on voit des « vedettes » du cinéma français portant des costumes des années soixante, donnés en exemple par le tailleur « chic » et « classe » ».
En répondant, j’avais écrit, entre autres :
« Ce que tu écris sur le tailleur, sur sa « boutique » et le reste, parle à mon cœur et subitement mes yeux s’embrument ».
En 2011 je crois, le tailleur, mon beau-frère, l’époux de l’une de mes soeurs, a eu un accident vasculaire cérébral[11] qui l’a paralysé.
Par la miséricorde d’Allaah, il n’avait pas perdu l’usage de la parole, et sa mémoire n’était pas atteinte.
Dans les années soixante, lors d’un séjour en France,‘Omar avait fait un stage, et obtenu un diplôme, une « reconnaissance professionnelle au niveau international », dont il était très fier.
Ce diplôme est accroché au mur de la boutique, fermée depuis l’AVC.
‘Omar était peut-être le premier tailleur à Lkhmiçaate qui faisait des costumes à l’européenne, en bénéficiant d’une « reconnaissance professionnelle au niveau international ».
D’un premier mariage, il avait eu une fille.[12]
Dans les années soixante dix, ma sœur de six ans plus âgée que moi,[13] était divorcée[14] et habitait un logement en face de lhanoute.
Elle avait épousé ‘Omar et ils avaient eu deux enfants.[15]
C’était un mari et un père aimant.
Il était aussi grand-père.
Son temps ici-bas s’est achevé, et il a rejoint l’au-delà le lundi 26 décembre 2016.[16]
Que dire de ce qui s’en va et comment parler de ce qui demeure ?
Que dire de ce qui cesse et comment parler de ce qui commence ?
Que dire de ce qui a été et comment parler de ce qui sera ?
« Innaa lillaah wa innaa ilayh raaji’oune ».[17]

BOUAZZA




[1] Lhanoute.
[2] Le tout avec les précautions d’usage dans un régime dictatorial.
[3] Ils étaient deux à quatre selon les périodes.
[4] Il n’était pas rare que ces rencontres soient agrémentées de thé à la menthe, de café, de boissons gazeuses, de biscuits et autres.
[5] Celui qui sait, le patron.
[6] Ce n’est pas possible.
[7] Certains l’appelaient ‘Omar alkhiyyaate, ‘Omar le tailleur.
[8] La boutique.
Le lieu où il a toujours exercé son métier.
[9] Selon le calendrier dit grégorien.
[9] Après ce qui a été appelé ʺl’indépendance dans l’interdépendanceʺ :
Statut octroyé par le système colonialo-impérialo-sioniste, et qui s’est traduit dans les colonies par la multiplication des "États" supplétifs, subordonnés avec plus ou moins de zèle, de soumission et de servilité dans l’exécution des ordres des métropoles et autres employeurs.
Ces "États" sont fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture, l’enfermement, la négation de l’être humain.
Au Maroc, occupé par la France, l’Espagne, et autres, occupation dite ″protectorat″, le système colonialo-impérialo-sioniste a transformé le sultanat moribond, en monarchie héréditaire, dite de "droit divin".
Le sultan, protégé, est alors devenu roi, au service de ce système.
[10] Lkhmiçaate.
[11] A.V.C.
[12] Épouse et mère, elle vit toujours à Lkhmiçaate.
[13] Elle était enseignante.
Depuis des années, elle est à la retraite.
[14] Elle avait un fils qui est décédé en 1993 dans un accident de la route.
[15] Un fils installé en Allemagne, père d’une fille qui vit avec sa mère, et une fille mariée en France, mère d’un enfant.
[16] 26 rabii’e alawwal 1438.
[17] Le ʺrʺ roulé.
ʺNous sommes à Allaah et à Lui nous retournonsʺ.
Alqoraane (Le Coran), sourate 2 (chapitre 2), Albaqara (le ″r″ roulé), La Vache, aayate 156 (verset 156).
Dans sa traduction du Qoraane (le ʺrʺ roulé) Kachriid (le ʺrʺ roulé)  note que ʺla formule de consolation citée dans le verset 156, s’appelle ʺistirjaa’eʺ (le ʺrʺ roulé).
Celui qui la prononce avec sincérité et conviction y trouve en effet une réelle consolation dans les moments les plus difficiles.
Quand on se rappelle qu’on est entièrement la propriété d’Allaah et que c’est vers Lui que doit se faire notre retour, comment peut-on être écrasé de chagrin devant la perte des biens éphémères de ce monde ? Quand Allaah nous reprend un être cher ou un bien auquel nous sommes attachés, Allaah n’a fait que récupérer ce qu’il nous a prêté par pure bonté de Sa part et sans aucune contrepartie de la nôtre.
Que pouvons-nous donner à Celui qui possède toute chose en exclusivité totale ?ʺ
Salaah Addiine Kachriid (Salah Eddine Kechrid), traduction du Qoraane (Coran), Loubnaane (Liban), Bayroute (Beyrouth), éditions Daar Algharb Alislaamii, cinquième édition, 1410 (1990), première édition, 1404 (1984).
Note en bas de la page 30.
″Allaah ne pardonne pas qu’on Lui associe quoi que ce soit et pardonne le reste à qui Il veut″.
Alqoraane (Le Coran), sourate 4 (chapitre 4), Anniçaa-e, Les Femmes, aayate 48 (verset 48).
Je ne fait que reprendre beaucoup de ce dont j’ai déjà parlé.
[17] Voir :
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com

lundi 26 décembre 2016

« LE SAINT DIT CALISTE »

Il était syndicaliste[1] à Florange, en Moselle, chez ArcelorMittal, le groupe sidérurgique mondial.
Délégué CFDT[2] du personnel, il était présenté comme dirigeant de « la lutte des ouvriers contre la fermeture des hauts fourneaux de la sidérurgie en Lorraine ».
Très médiatisé, il n’hésitait pas à afficher son obédience à Arnaud Montebourg, ministre du Redressement productif de François Hollande[3] en 2012 puis de l’Économie, du Redressement productif et du Numérique, en 20014.
Comme prévu, ArcelorMittal a fermé les hauts fourneaux bien sûr.
Et « le saint dit caliste » s’est vu offrir par le parti socialiste, en 2014, un fauteuil moelleux d’eurodéputé.
l’heureux député, c’est Édouard Martin.[4]

BOUAZZA



[1] ʺSaint dit calisteʺ.
[2] Confédération Française Démocratique du Travail, syndicat sous influence du parti socialiste.
[3] Le socialiste, révolutionnaire de gauche, installé sur le trône du Palais de l’Élysée, comme président de la République, en mai 2012, en remplacement de son alter ego, le révolutionnaire de droite, Nicolas Sarkozy.

dimanche 25 décembre 2016

GROU MIIIRE


Il est parti, mais sa joie, comme celle des deux autres petits-fils, imprègne la maison : un bienfait d’Allaah.
C’est mon deuxième petit-fils.[1]
Suite à une « délocalisation » du service employeur de sa mère, cette dernière a choisi de quitter la région parisienne, et de s’installer avec lui et son père, en province.
Mon fils aîné a gardé son emploi en région parisienne, et bénéficie d’un aménagement consenti par son employeur.
Á l’occasion des congés scolaires du premier trimestre, le petit-fils est venu passer quelques jours avec nous.
Il est parti, mais la maison continue de vibrer de son énergie, et de celle des deux autres petits-fils.[2]
Il est parti, mais il a laissé sa dernière trouvaille pour taquiner sa grand-mère, en l’appelant souvent grou miire.[3]
Je reprends ce dont j’ai déjà parlé, pour souligner que les petits-enfants renforcent en moi le parfum de l’aube de la vie, et parfois, par le simple fait de me regarder, ils savent me redire le cycle fabuleux, la voie du destin de chaque être et donc de l’enfant, qui n’appartient ni au père, ni à la mère, et qui doit accomplir ce pourquoi il est ici-bas, en attendant de rejoindre l’au-delà.
Même lorsqu’ils ne sont plus à la maison, leurs saveurs demeurent : alhamdo lillaah.[4]
  
BOUAZZA




[1] Dans un trimestre, ine chaa-e Allaah, il aura cinq ans.
[2] Les deux autres petits-fils, les enfants de mon fils cadet et de son épouse,  n’habitent pas loin de la maison, et y sont donc beaucoup plus souvent.
L’aîné aura cinq ans en février, et son frère aura trois ans en juillet, ine chaa-e Allaah.
[3] C’est lui qui m’a prénommé Bagui.

MANGE ET BOIS

« Le travail de l’enfantement la[1] fit venir au pied du palmier, elle dit : « Que je fusse morte avant cela et que je fusse totalement oubliée ». Il l’appela d’au dessous d’elle[2] : « Ne t’afflige pas, Ton Seigneur a placé à tes pieds une source. Agite vers toi le tronc du palmier, il fera tomber sur toi des dattes fraîches et mûres. Mange et bois et que ton oeil se réjouisse[3] et s’il t’arrive de voir quelqu’un d’entre les humains, dis : « j’ai fait vœu de jeûne[4] au Miséricordieux et je ne parlerai aujourd’hui à aucun être humain ». Elle vint auprès des siens en le portant[5] et ils dirent : « Ô Maryame,[6] tu as fait une chose monstrueuse ».[7]



[1] Il s’agit de Mariame (Marie) qu’Allaah la bénisse, la mère du Prophète et Messager, ‘Iiçaa Ibn Mariame (Jésus fils de Marie) sur lui la bénédiction et la paix.
[2] Soit l’Ange Jibriil (Gabriel) paix sur lui, qui était situé à côté d’elle, sur un plan de terrain plus bas, soit son fils Iiçaa (Jésus) sur lui la bénédiction et la paix qui venait de naître.
[3] Mange et bois en toute satisfaction et quiétude.
[4] Vœu de silence.
[5] En portant le bébé.
[6] Le "r" roulé, Marie.
[7] Alqoraane (Le Coran), sourate 19 (chapitre 19) Maryame, Marie, aayate 23 à aayate 27 (verset 23 au verset 27).
Alqoraane (qui est la synthèse, la continuation et le parachèvement du Message) que Mohammad, l’ultime Prophète et Messager, sur lui la bénédiction et la paix, a été chargé de transmettre, nous informe sur la réponse que notre Prophète et Messager Iiçaa Ibn Mariame (Jésus fils de Marie) sur lui la bénédiction et la paix a faite encore bébé, lorsque sa mère qu’Allaah la bénisse, a eu à affronter la terrible calomnie (elle a été traitée de prostituée) parce qu’Allaah l’a choisie et a décidé ─ alors qu’elle n’était pas mariée, et qu’elle était vierge ─ de lui donner un fils sans père.
Il a dit : ʺJe suis le serviteur d’Allaah. Il m’a apporté le Livre et a fait de moi un Prophète. Il a fait de moi un être béni où que je sois et m’a recommandé la Prière et Azzakaate tant que je vivrai. Et la Bonté envers ma mère et Il ne m’a fait ni violent ni malheureux. Et Paix sur moi le jour où je suis né, le jour où je vais mourir et le jour où je serai ressuscité vivant. Tel est ‘Içaa Ibn Mariame : Parole de Vérité qui fait l’objet de leurs doutesʺ.
Alqoraane, (le Coran), sourate 19 (chapitre 19), Mariame, Marie, aayate 30 à aayate 35 (verset 30 à verset 35).
Plus tard, l’assassinat du Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix a été proclamé.
En Vérité, il n’a été ni tué, ni crucifié.
Allaah l’a élevé à Lui.
Alqoraane (Le Coran), sourate 4 (chapitre 4), Anniçaa-e-, Les Femmes, aayate 157 et suivantes (verset 157 et suivants).
Il y a lieu de rappeler ici qu’Allaah a crée Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix et Hawwaa-e (Ève), qu’Allaah la bénisse, les premiers êtres humains, sans père, ni mère.
Allaah a créé les univers et crée ce qu’Il veut.
Je ne fais que reprendre ce que j’ai déjà cité.
Voir :
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com