les
colonies, dites « États souverains » depuis « l’indépendance
dans l’interdépendance »,[1]et autres
contrées dites du « tiers-monde », restent pour les métropoles des
réserves de matières premières et de main d’œuvre, des marchés pour tout
écouler, des points stratégiques pour les militaires, des terrains
d’expérimentations des armements, des lieux de pédophilie et autres
« loisirs pour touristes », des dépotoirs multiples et variés.
Les
métropoles y ont installées des employés dits « chefs d’État », dotés
de « Gouvernements », de « Parlements », de
« Constitutions », et même de systèmes informatiques.
Les
employés, généralement sanguinaires, tyranniques, débauchés, corrompus,
pourris, plongés dans les ténèbres, répètent ce que les patrons leur dictent
sur « l’organisation des différents groupes de la population, sur l’État,
sur la Constitution et autres ».
Pour
« camoufler » l’imposture, les médias des employeurs sont chargés de
dénoncer les employés des pays dominés, au nom de la « liberté
d’expression », des « droits de l’homme » et autres
« principes démocratiques » brandis par les imposteurs.
Ils
sont même autorisés, un peu partout, à critiquer les employeurs, pour
embrouiller les cartes, ou comme disent les « bien-pensants », pour
« informer ».
Les
employés sont tenus de servir les intérêts du système
colonialo-impérialo-sioniste qui mobilise d’énormes moyens dans le but de
rendre confus ce qui est clair et complexe ce qui est simple.
Les
colonies dites « États souverains » depuis « l’indépendance dans
l’interdépendance », et autres contrées dites du
« tiers-monde », sont pour les métropoles des consommateurs et des
utilisateurs de ce qu’ils leur fourguent.
Ils
leur est interdit de chercher à devenir aptes à se débarrasser de ce statut,
que l’informatique consolide.
Les
métropoles peuvent en effet, à tout instant, déclencher dans ce domaine toutes
les attaques qu’ils désirent, et renforcer le pire.
Elles
peuvent infecter, bloquer, et prendre le contrôle de tous les systèmes
informatiques installés dans les colonies.[2]
BOUAZZA
[1] Statut
octroyé par le système colonialo-impérialo-sioniste, et qui s’est traduit dans
les colonies par la multiplication des "États" supplétifs,
subordonnés avec plus ou moins de zèle, de soumission et de servilité dans
l’exécution des ordres des métropoles et autres employeurs.
Ces
"États" sont fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la
tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge,
le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture,
l’enfermement, la négation de l’être humain.
[2] Le
système colonialo-impérialo-sioniste à déjà utilisé des cyberattaques pour
montrer qu’il peut avoir recours à des attaques numériques d’ampleur, très
ravageuses, et obtenir une soumission encore plus forte.
Je
ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.