samedi 31 décembre 2016

NE PAS PERDRE DE VUE L’ARME INFORMATIQUE

les colonies, dites « États souverains » depuis « l’indépendance dans l’interdépendance »,[1]et autres contrées dites du « tiers-monde », restent pour les métropoles des réserves de matières premières et de main d’œuvre, des marchés pour tout écouler, des points stratégiques pour les militaires, des terrains d’expérimentations des armements, des lieux de pédophilie et autres « loisirs pour touristes », des dépotoirs multiples et variés.
Les métropoles y ont installées des employés dits « chefs d’État », dotés de « Gouvernements », de « Parlements », de « Constitutions », et même de systèmes informatiques.
Les employés, généralement sanguinaires, tyranniques, débauchés, corrompus, pourris, plongés dans les ténèbres, répètent ce que les patrons leur dictent sur « l’organisation des différents groupes de la population, sur l’État, sur la Constitution et autres ».
Pour « camoufler » l’imposture, les médias des employeurs sont chargés de dénoncer les employés des pays dominés, au nom de la « liberté d’expression », des « droits de l’homme » et autres « principes démocratiques » brandis par les imposteurs.
Ils sont même autorisés, un peu partout, à critiquer les employeurs, pour embrouiller les cartes, ou comme disent les « bien-pensants », pour « informer ».
Les employés sont tenus de servir les intérêts du système colonialo-impérialo-sioniste qui mobilise d’énormes moyens dans le but de rendre confus ce qui est clair et complexe ce qui est simple.
Les colonies dites « États souverains » depuis « l’indépendance dans l’interdépendance », et autres contrées dites du « tiers-monde », sont pour les métropoles des consommateurs et des utilisateurs de ce qu’ils leur fourguent.
Ils leur est interdit de chercher à devenir aptes à se débarrasser de ce statut, que l’informatique consolide.
Les métropoles peuvent en effet, à tout instant, déclencher dans ce domaine toutes les attaques qu’ils désirent, et renforcer le pire.
Elles peuvent infecter, bloquer, et prendre le contrôle de tous les systèmes informatiques installés dans les colonies.[2]

BOUAZZA



[1] Statut octroyé par le système colonialo-impérialo-sioniste, et qui s’est traduit dans les colonies par la multiplication des "États" supplétifs, subordonnés avec plus ou moins de zèle, de soumission et de servilité dans l’exécution des ordres des métropoles et autres employeurs.
Ces "États" sont fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture, l’enfermement, la négation de l’être humain.
[2] Le système colonialo-impérialo-sioniste à déjà utilisé des cyberattaques pour montrer qu’il peut avoir recours à des attaques numériques d’ampleur, très ravageuses, et obtenir une soumission encore plus forte.
Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.

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