mercredi 28 décembre 2016

« LE SYSTÈME »

Dans le temps et dans l’espace, il a été appréhendé, il est appréhendé, il sera appréhendé de multiples et diverses manières.
Il a donné lieu, il donne lieu, et il donnera lieu à différentes interprétations.
Ceux et celles qui l’adorent font tout pour le maintenir.
L’immense majorité s’y soumet, en essayant de donner l’impression d’adhérer à un bavardage imposé de mille et une façons : elle le nourrit.
Certains et certaines le combattent, lui résistent.
La désignation du républicain Donald Trump, par exemple, comme président des USA, alimente et entretient des fantasmes, des divagations, des confusions, et autres, pour consolider le faux.
« Le système » s’y connaît en faux.
C’est son domaine.
La candidate démocrate Hillary Clinton, présentée tout au long de la campagne dite électorale, et même avant, comme l’héritière incontestable et incontournable du trône de la Maison Blanche, n’a pas hérité de la présidence, « à la stupéfaction générale », disent ses chantres, qui déjà, veulent que sa fille soit chargée d’obtenir ce qui a été refusé à sa mère.
Blablabla.
« Le système » poursuit son oeuvre.
Les commentateurs et tateuses, collaborateurs et rateuses, discoureurs et coureuses, chro-niqueurs et niqueuses, chieurs et pisseuses, salariés de magnats de médias dont ils exécutent les ordres, déversent encore et toujours leurs ordures, des mots salis, enlaidis, abîmés, falsifiés, contaminés, détournés, souillés, trahis, dénaturés, pourris, nauséabonds pour grossir le flot des maux, de la conne science universelle.[1]
Figurant républicain ou démocrate, c’est du pareil au même.
« Le système » fait croire aux cons citoyens,[2] aux connes citoyennes,[3] aux zélés cteurs,[4] aux zélées ctrices,[5] qu’ils font « l’élection », entre autres.
Les USA.
United States of America.
Les États unis d’Amérique.
Construits par des européens sur le génocide des Indiens, sur l’esclavage, sur les agressions, sur les exterminations, sur la terreur, sur l’utilisation des bombes atomiques, et sur d’innombrables autres massacres qui continuent partout.
Aujourd’hui, première puissance militaire nucléaire.
« Le système » installe sur le trône de la Maison Blanche, à tour de rôle, un républicain, un démocrate, ou autres, afin qu’ils accomplissent ce pourquoi ils ont été installés sur le trône.
La France, pays connu aussi pour ses exterminations, ses massacres, ses destructions, ses crimes, et autres, va voir en 2017,[6] le loque à terre[7] du trône du Palais de l’Élysée, le révolutionnaire de gauche, [8] remplacé par un autre, chargé également d’accomplir ce pourquoi « le système » l’installe sur le trône.
Aux USA, en France, et ailleurs, « le système » poursuit son oeuvre.
Les imposteurs s’activent au niveau mondial.
La mafia est internationale.
Une mafia qui considère la planète comme sa propriété.
Une mafia qui corrompt, répand le faux, le mensonge, la débauche, le pillage, l’exploitation, le crime, et autres.
Une mafia qui calomnie, diffame, salit, humilie, écrase, affame, détruit, et souhaite éliminer quiconque menace « le système ».
Une mafia qui vise à réduire au silence quiconque ose résister.
Une mafia qui fait appel à la technique très prisée de « victimiser » les coupables et d’accuser les victimes.
Une mafia qui dispose des États et autres institutions comme instruments pour servir ses intérêts partout, et par d’innombrables moyens.[9]
  
BOUAZZA




[1] Ne pas confondre avec la conscience universelle.
[2] Concitoyens.
[3] Concitoyennes.
[4] Aux électeurs.
[5] Aux électrices.
[6] Selon le calendrier dit grégorien.
[7] Le locataire
[8] Le socialiste François Hollande qui y a été installé en 2012, en remplacement de son alter ego, le révolutionnaire de droite, Nicolas Sarkozy.

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