Dans
le temps et dans l’espace, il a été appréhendé, il est appréhendé, il sera
appréhendé de multiples et diverses manières.
Il a
donné lieu, il donne lieu, et il donnera lieu à différentes interprétations.
Ceux
et celles qui l’adorent font tout pour le maintenir.
L’immense
majorité s’y soumet, en essayant de donner l’impression d’adhérer à un
bavardage imposé de mille et une façons : elle le nourrit.
Certains
et certaines le combattent, lui résistent.
La
désignation du républicain Donald Trump, par exemple, comme président des USA, alimente
et entretient des fantasmes, des divagations, des confusions, et autres, pour consolider
le faux.
« Le
système » s’y connaît en faux.
C’est
son domaine.
La
candidate démocrate Hillary Clinton, présentée tout au long de la campagne dite
électorale, et même avant, comme l’héritière incontestable et incontournable du
trône de la Maison Blanche, n’a pas hérité de la présidence, « à la
stupéfaction générale », disent ses chantres, qui déjà, veulent que sa fille
soit chargée d’obtenir ce qui a été refusé à sa mère.
Blablabla.
« Le
système » poursuit son oeuvre.
Les
commentateurs et tateuses, collaborateurs et rateuses, discoureurs et
coureuses, chro-niqueurs et niqueuses, chieurs et pisseuses, salariés de magnats
de médias dont ils exécutent les ordres, déversent encore et toujours leurs
ordures, des mots salis, enlaidis, abîmés, falsifiés, contaminés, détournés,
souillés, trahis, dénaturés, pourris, nauséabonds pour grossir le flot des
maux, de la conne science universelle.[1]
Figurant
républicain ou démocrate, c’est du pareil au même.
« Le
système » fait croire aux cons citoyens,[2] aux
connes citoyennes,[3] aux zélés cteurs,[4] aux
zélées ctrices,[5] qu’ils font
« l’élection », entre autres.
Les USA.
United States of
America.
Les États unis d’Amérique.
Construits par des européens sur le génocide des
Indiens, sur l’esclavage, sur les agressions, sur les exterminations, sur la
terreur, sur l’utilisation des bombes atomiques, et sur d’innombrables autres
massacres qui continuent partout.
Aujourd’hui, première puissance militaire nucléaire.
« Le
système » installe sur le trône de la Maison Blanche, à tour de rôle, un républicain,
un démocrate, ou autres, afin qu’ils accomplissent ce pourquoi ils ont été
installés sur le trône.
La
France, pays connu aussi pour ses exterminations, ses massacres, ses
destructions, ses crimes, et autres, va voir en 2017,[6] le
loque à terre[7] du trône du Palais de
l’Élysée, le révolutionnaire de gauche, [8]
remplacé par un autre, chargé également d’accomplir ce pourquoi « le
système » l’installe sur le trône.
Aux
USA, en France, et ailleurs, « le système » poursuit son oeuvre.
Les imposteurs
s’activent au niveau mondial.
La
mafia est internationale.
Une
mafia qui considère la planète comme sa propriété.
Une
mafia qui corrompt, répand le faux, le mensonge, la débauche, le pillage,
l’exploitation, le crime, et autres.
Une
mafia qui calomnie, diffame, salit, humilie, écrase, affame, détruit, et
souhaite éliminer quiconque menace « le système ».
Une mafia qui vise à réduire au silence quiconque ose
résister.
Une
mafia qui fait appel à la technique très prisée de « victimiser » les
coupables et d’accuser les victimes.
Une
mafia qui dispose des États et autres institutions comme instruments pour servir
ses intérêts partout, et par d’innombrables moyens.[9]
BOUAZZA
[1] Ne pas confondre avec la
conscience universelle.
[2] Concitoyens.
[3] Concitoyennes.
[4] Aux électeurs.
[5] Aux électrices.
[6] Selon le calendrier dit
grégorien.
[7] Le locataire
[8] Le socialiste François Hollande
qui y a été installé en 2012, en remplacement de son alter ego, le
révolutionnaire de droite, Nicolas Sarkozy.
[9] Je ne fait que reprendre
ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com
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