Il
était syndicaliste[1]
à Florange, en Moselle, chez ArcelorMittal, le groupe sidérurgique mondial.
Délégué
CFDT[2] du
personnel, il était présenté comme dirigeant de « la lutte des ouvriers
contre la fermeture des hauts fourneaux de la sidérurgie en Lorraine ».
Très
médiatisé, il n’hésitait pas à afficher son obédience à Arnaud Montebourg, ministre
du Redressement productif de François Hollande[3] en 2012
puis de l’Économie, du Redressement productif et du Numérique, en 20014.
Comme
prévu, ArcelorMittal a fermé les hauts fourneaux bien sûr.
Et « le
saint dit caliste » s’est vu offrir par le parti socialiste, en 2014, un
fauteuil moelleux d’eurodéputé.
l’heureux
député, c’est Édouard Martin.[4]
BOUAZZA
[1]
ʺSaint dit calisteʺ.
[2] Confédération Française Démocratique du Travail,
syndicat sous influence du parti socialiste.
[3] Le
socialiste, révolutionnaire de gauche, installé sur le trône du Palais de
l’Élysée, comme président de la République, en mai 2012, en remplacement de son
alter ego, le révolutionnaire de droite, Nicolas Sarkozy.
[4] Á gauche
comme à droite, il n’est ni le premier, nie le dernier bien sûr.
Voir :
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com
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