mardi 27 décembre 2016

LE GALET DE GÊNES


J’ai parlé plus d’une fois des galets que je ramène à la maison et que je ramasse souvent à la plage.
Beaucoup viennent d’Italie.
Mes deux premiers petits-fils[1] le savent.
Ils aimaient prendre quelques uns pour jouer.
Dernièrement, mon premier petit-fils était à Gênes avec son père.
Il m’a ramené un galet.
Je l’ai mis sur la table où je travaille, et il m’arrive de le regarder avec émotion.
  
BOUAZZA



[1] Ils vont bientôt avoir cinq ans, ine chaa-e Allaah (si Allaah veut).

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