jeudi 23 août 2018

DES PRISONNIERS DU RÉGIME DE L’IMPOSTURE AU MAROC

Le régime de l’imposture continue de sévir au Maroc.
La répression menée par ce régime se traduit, entre autres, par le remplissage des prisons, afin de permettre à son roi, à l’occasion de certains événements, de « gracier » des prisonniers.
Ainsi, à l’occasion de l’anniversaire de ce roi de « l’indépendance dans l’interdépendance »,[1] il a « gracié » 522 prisonniers le 21 août 2018.[2]
Et toute l’année, il « gracie » à tour de bras : les prisonniers ne manquent pas.[3]
  
BOUAZZA



[1] Statut octroyé par le système colonialo-impérialo-sioniste, et qui s’est traduit dans les colonies par la multiplication des "États" supplétifs, subordonnés avec plus ou moins de zèle, de soumission et de servilité dans l’exécution des ordres des métropoles et autres employeurs.
Ces "États" sont fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture, l’enfermement, la négation de l’être humain.
Au Maroc, occupé par la France, l’Espagne, et autres, occupation dite ″protectorat″, le système colonialo-impérialo-sioniste a transformé le sultanat moribond, en monarchie héréditaire, dite de "droit divin".
Le sultan, protégé, est alors devenu roi, au service de ce système.
[2] Selon le calendrier dit grégorien.

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