mardi 14 août 2018

L’INVOCATION DE LA FEMME DE FIR’AWNE


 « Et Allaah a cité en exemple[1] pour ceux qui croient,[2] la femme de fir’awne[3] quand elle dit :ʺSeigneur, construis-moi auprès de Toi une maison au Paradis, et sauve-moi de fir’awne et de ses agissements, et sauve-moi des gens injustes[4] ».[5]


[1] En parabole.
[2] Pour ceux qui ont cru.
[3] Le ʺrʺ roulé.
De pharaon.
[4] La gent injuste.
[5] Alqoraane (Le Coran), sourate 66 (chapitre 66), Attahriime (le ʺrʺ roulé), L’Interdiction, aayate 11 (verset 11).
Contrairement aux deux femmes des Envoyés Nouh (Noé) et Louthe (Loth) sur eux la bénédiction et la paix, qui ont trahi car elles ont mécru, et dont la place est en Enfer (Alqoraane, sourate 66, Attahriime (le ʺrʺ roulé), aayate 10), la femme de fir’awne (de pharaon) le mécréant, est croyante (moumina), et sa place est au Paradis.
Ainsi, le Message d’Allaah nous enseigne que la femme ne suit pas forcément son mari au Paradis ou en Enfer, et que chacun d’eux est récompensé selon ses propres oeuvres.
Salaah Addiine Kachriid (Salah Eddine Kechrid), traduction du Qoraane (Coran), Loubnaane (Liban), Bayroute (Beyrouth), éditions Daar Algharb Alislaamii, cinquième édition, 1410 (1990), première édition, 1404 (1984).
Note en bas de la page 753.
Voir :
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com

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