« Raho[1]
savait bien que, si véritable et profonde qu’elle fût, l’amitié (tout comme
l’amour) était sujette à la caution des sentiments. Et les sentiments pouvaient
muer, mûrir, vieillir puis mourir, en l’espace d’un printemps ou d’une
existence. »[2]
[2] Driss Chraïbi (Idriis
Achchraaybii, le "r" roulé) Naissance à l’aube, Paris,
éditions du Seuil, 1986, P.23.
[2] Je ne
fais que reprendre ce que j’ai déjà cité.
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