Elle se veut une « anticipatrice » des
avancées sociétales en matière de baise sans frontières.
Pour elle et ses semblables, il s’agit de culture, d’esprit.
Son
cul étant son principal atout, elle s’agite pour qu’il soit paré de culture,
d’esprit.
Chro-niqueuse,[1] elle jouit
en propageant la débauche, en se lâchant contre l’Islaam, en traitant les
croyants et les croyantes[2] de « sans
culture », de « sans esprit », parce que pour eux les relations
sexuelles ne se conçoivent que dans le cadre du mariage entre la femme et l’homme.
Friande
de « réseaux sociaux », elle met des photos, et même des vidéos, sur
le « net »,[3] comme le
con[4] fraîchement
épilé d’une jeune femelle, une bite dans le derrière d’un mâle, son vagin avec
sa toison pubienne colorée en blonde, comme la coloration de sa chevelure.
Elle
sait aussi jouer à l’épouse, à la mère, alimenter et entretenir des relations
avec des femelles qui font de même, des mâles qui jouent aux époux, au pères,
et répandent l’adultère.
Elle
baise quand elle veut, comme elle veut, avec qui elle veut, et aime multiplier
les « expériences ».[5]
Son chien dit-elle, est le seul qui sait la lécher à faire
chanter son vagin de ravissement, à lui procurer le top des orgasmes.[6]
Plus jeune, elles n’hésitait pas à s’exhiber, à
s’offrir pour être pelotée et plus, afin d’être « valorisée ».
Épouse et mère, son attrait pour ce genre de « valorisation »
s’est accentué.
Elle
est très attachée aux soirées avec alcool, joints, musique, danse, et ce qui va
avec.
Soirées pour étancher sa soif de débauche, assouvir
ses envies, alimenter ses pulsions, entretenir ses impulsions, nourrir les
ambiances d’enfer.
Portée
sur les ébats collectifs, l’une de ses jouissances préférées est de lécher le
sexe d’une femelle à la toison pubienne bien fournie, pendant qu’elle se fait
enculer par l’époux de la femelle, ou par son chien.
Lors
de ces soirées, une « sainte nitouche »,[7] qui arrive
souvent en robe entièrement déboutonnable devant, a une manière « étudiée »
de se toucher avec le pousse, l’annulaire sans alliance, de défaire des boutons
en haut et en bas de la robe, puis d’écarter les jambes pour laisser voir son
sexe à l’étroit dans sa petite culotte.
Une
autre habituée, proche de la ménopause, atteinte d’agitation aiguë, ne cache
pas sa préférence de copuler en priorité avec des beaucoup plus jeunes qu’elle.
Elle
déploie ses «zèles»[8]
du désir, met son doigt – le majeur – sur son vagin et se livre à un va et
vient intense, puis se lance, comme à chaque fois, dans une sorte de danse gesti-cul-atoire,
exposant sa fente aux reniflements d’un jeune fournisseur de bite,[9] et
caresse du regard les nichons de sa voisine en rut.
Sa voisine en rut veut toujours garder la bite dans
son derrière insatiable, et aussi l’avoir dans son vagin boulimique, la sentir
entre ses seins siliconés, la prendre dans ses mains expertes pour la masser,
la masturber, la mettre encore et encore dans sa bouche vorace.[10]
Parfois, pendant qu’elle se fait pénétrer par derrière
dans un coin, des effluves se répondent dans la pénombre où deux femelles,
allongées à même le sol, se lèchent goulûment le vagin, alors que l’époux de
l’une sodomise celui de l’autre, non loin d’une épouse et mère qui ne se lasse
pas des assauts d’un jeune, fraîchement marié, doué pour la sodomie qu’elle a découverte au collège.[11]
Les enculeries et autres explorations anatomiques se
passent aussi dans des voitures, dans d’autres véhicules, dans des parcs, dans
des restaurants, dans des chiottes, dans les lieux dits de
« travail », dans des hôtels,[12] et
ailleurs, y compris au domicile dit « conjugal ».
Au
cours de ces moments avec des fournisseurs de bites, des homosexuels, des
lesbiennes, et autres, une militante de « la féminitude » vante son
con-bat.[13]
Le
con-bat des adoratrices du sexe sans frontières.[14]
BOUAZZA
[1]
Chroniqueuse.
[2]
Almouminoune wa almouminaate.
[3]
Sites sur internet, réseaux dits sociaux pour diffuser textes, photos, vidéos.
[4]
Sexe de la femme.
[5] Elle se veut ʺémancipéeʺ, ʺlibéréeʺ, pisse debout
pour ʺfaire comme le mâleʺ car c’est ʺvalorisantʺ dit-elle, pose sa main sur
son vagin et se gratte parce que le mâle en fait de même sur sa bite, et pour
l’acte sexuel, conjugal et extraconjugal, elle n’apprécie pas d’être en
dessous.
Elle n’aime pas non plus entendre parler de pute, et
ʺexpliqueʺ que cette appellation ne s’applique qu’à celles qui se font du fric
avec le sexe.
[6] Il est heureux, précise-t-elle, de sa vie de chien
avec elle.
C’est un cadeau de son époux.
Il est dressé pour faire ce qu’elle désire.
Lorsqu’il l’accompagne à des soirées, il n’y a pas que
des femelles qui veulent en profiter.
[7] C’est une personne qui dissimule, ment, dupe, triche,
trompe.
Elle fait semblant de croire que l’autre, même s’il
n’ignore pas ce qu’elle est, ne devine rien.
Elle a commencé très tôt son apprentissage dans ce
domaine.
Pour que ses parents croient qu’elle est ʺparfaiteʺ,
elle a vite appris à leur cacher son jeu, à les berner, et autres.
Elle a fini par penser qu’elle est apte à les leurrer
tout le temps, à faire ce qu’il faut pour que
n’apparaisse pas ce qu’elle veut camoufler.
Elle s’est mise alors à agir de cette façon avec les
autres :
Dissimuler, mentir, duper, tricher, tromper, recourir
à la dénégation, à la simulation, user de subterfuges, caresser dans le sens du
poil, afin de ne faire qu’à sa tête.
[8] Ses
ailes.
[9] Qui
passe derrière elle, lui pose les mains sur les hanches et bande en fixant le
croupion offert.
[10] Son amie, très attachée à ses soirées, y officie
souvent en jupe courte et large, ne porte pas de culotte, et choisit les coups
d’un soir pas seulement parmi les bites qu’elle fait bander.
Dans sa chambre à coucher, que des participants et des
participantes aux soirées connaissent, à côté d’un pénis en bois d’ébène, trône
une copie du tableau de Gustave Courbet, ʺl’Origine du Mondeʺ, qui
représente une femelle nue, allongée sur le dos, les jambes écartées, offrant
son vagin avec sa toison pubienne.
Elle aime se prendre pour la femelle de cette peinture.
Et quand elle baise, il lui arrive de susurrer que le
tableau aurait été mieux avec une bite dans le vagin.
[11] Elle n’a pas oublié les sorties scolaires en autocar,
ni comment elle se masturbait en observant des accompagnatrices, des
accompagnateurs se tripoter, se rouler des pelles.
Dans des établissements qu’elle avait fréquentés, elle
connaissait les enseignantes, les enseignants, les élèves qui se léchaient,
s’adonnaient à des fellations, se faisaient sauter.
Elle
a vu des responsables se livrer à des enculeries et autres explorations
anatomiques, et savait où trouver l’enseignante, épouse et mère, qui gémissait
de jouissance à quatre pattes, en se faisant sodomiser par un élève, pas
toujours le même.
Et pour elle aussi, se faire sodomiser est devenu un
délice.
Délice qu’elle s’offrait au début avec un enseignant
qui soutenait que ce qu’il faisait était ʺchasteʺ, avait pour but
ʺd’approfondir sa relation avec son épouseʺ.
[12] Les hôtels font partie des endroits où l’odeur de la
baise, son parfum préféré, ne manque pas.
[13]
Combat.
[14]
Je ne fais que reprendre ce dont j’au déjà parlé plus d’une fois.
Voir :
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com
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