Musique,
alcool, joints, danses, pénis, vagins, et autres.
Ambiance
d’Enfer.
Des
époux et pères collectionnaient les entrejambes et les fesses en chaleur.
Des
épouses et mères se jetaient sur les sexes en manque.
Les
fournisseurs de bites ne savaient plus à quel trou se vouer.
Les
dénigreurs et les dénigreuses de leur mariage[1] se
pressaient dans les coins sans lumière pour conclure.
Les
conséquences ?
Ces
personnes s’en battaient les couilles, et le clitoris.
La
débauche, encore la débauche, toujours la débauche.
Aujourd’hui, confinées en raison de
l’épidémie du coronavirus,[2]
elles attendent le déconfinement pour retrouver la musique, l’alcool,
les joints, les danses, les pénis, les vagins, et autres.[3]
BOU’AZZA
[1]
Technique de ceux et de celles qui s’adonnent à l’adultère, ou qui se préparent
à s’y adonner.
[2]
Covid 19.
[3]
Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com
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