lundi 20 avril 2020

L’ATTENTE DU DÉCONFINEMENT


Musique, alcool, joints, danses, pénis, vagins, et autres.
Ambiance d’Enfer.
Des époux et pères collectionnaient les entrejambes et les fesses en chaleur.
Des épouses et mères se jetaient sur les sexes en manque.
Les fournisseurs de bites ne savaient plus à quel trou se vouer.
Les dénigreurs et les dénigreuses de leur mariage[1] se pressaient dans les coins sans lumière pour conclure.
Les conséquences ?
Ces personnes s’en battaient les couilles, et le clitoris.
La débauche, encore la débauche, toujours la débauche.
Aujourd’hui, confinées en raison de l’épidémie du coronavirus,[2] elles attendent le déconfinement pour retrouver la musique, l’alcool, les joints, les danses, les pénis, les vagins, et autres.[3] 

BOU’AZZA



[1] Technique de ceux et de celles qui s’adonnent à l’adultère, ou qui se préparent à s’y adonner.
[2] Covid 19.

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