Avec
l’épidémie du coronavirus,[4] avant le
confinement, ce fut la ruée, encore une fois, sur les produits alimentaires.
Bouffer,
encore bouffer, toujours bouffer.
Ces
consommateurs, à la grande joie des « maîtres » des supermarchés,
provoquent des « pénuries » entraînant les spéculations, les augmentations
de prix, et autres.
En
France par exemple, après un mois de confinement, un homme de Sementron dans le
département de l’Yonne,[5] s’est
fait livré, le mercredi 15 avril 2020,[6] trente
tonnes de pommes de terre.
Oui,
trente tonnes de patates.
Par
« peur de manquer ».[7]
BOU’AZZA
[1]
Et peur d’énormément de choses bien sûr.
[2]
Un peu partout dans le monde.
[3] Le
système qui les gouverne leur fait croire qu’ils sont menacés par des
populations que ce même système exploite, pille, écrase, terrorise.
[4]
Covid 19.
[5]
Le 89, dans la région de la Bourgogne.
[6]
Selon le calendrier dit grégorien.
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