« On »
souille tout pour satisfaire des pulsions, des impulsions, des caprices.
« On »
alimente le faux.
« On »
entretient l’imposture.
« on »
cultive le nombrilisme, l’égoïsme, la prétention, la malfaisance, la nocivité,
la méchanceté, la perversité, la sournoiserie, le vice, le mensonge, la
tricherie, l’arrogance, la débauche, la corruption, l’imposture, et autres.
Et
« on » se targue d’être dans le vrai.
« On »
se donne des raisons, les unes plus nulles que les autres, pour soutenir
l’insoutenable.[1]
BOU’AZZA
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