Ils
ne se préoccupent pas des conséquences de ce qu’ils font, s’en foutent des
dégâts occasionnés, font parfois semblant de s’étonner des effets dont ils sont
la cause, recourent à la dénégation.
Les
cadavres qui ont fait éclore leurs « richesses », entretenues par la
sueur et le sang des survivants, ne les empêchent pas de blablater sur ce
qu’ils appellent « le bien de l’humanité ».[1]
BOU’AZZA
[1]
Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com
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