jeudi 4 juin 2020

LE PIRE DANS LE POISON DE L’OPPRESSION

Le pire dans le poison de l’oppression, c’est que des individus dominés, reprennent servilement ce qui leur est dicté par les oppresseurs, pour se donner une contenance dite de « civilisés », d’« évolués », de « cultivés », de « modernes », conformément aux souhaits de leurs dominateurs.
Des serpillières adorant les semelles qui les foulent.
Et ces serviles, à divers niveaux, se mettent à déverser la puanteur qui rejoint celle de leurs maîtres, pour se répandre partout.
En France par exemple, des arabes de service, et autres, sont utilisés pour cette besogne.
L’imposture, encore l’imposture, toujours l’imposture.[1] 

BOU’AZZA

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