Joints.
Danse.
Baiseuses, baiseurs.
Fête
de la baise.
Fête
de la musique.[1]
Le lendemain, « affolement » médiatique :
Certes,
la fête de la baise... de la musique est sacrée, mais il ne fallait pas oublier
l’épidémie du coronavirus,[2] la
nécessite le respect de la distanciation physique.
Des
putes, des fournisseurs de bites, des homosexuels, des lesbiennes, et autres, rigolent.
Ils
connaissent la musique.
Jeunes,
moins jeunes, vieux, vieilles..
La
baise, encore la baise, toujours la baise.
Des
femelles baisent avec des mâles, des femelles baisent avec des femelles, des
mâles baisent avec des mâles, des épouses s’adonnent à l’adultère, des époux font la même chose, des chiens sont de la fête.
La
République de la baise sans frontières.[3]
BOU’AZZA
.
[1] Fixée
au 21 juin de chaque année (selon le calendrier dit grégorien) par la gauche
depuis l’époque de leur tonton Mitterrand, elle est l’occasion pour les
baiseuses, les baiseurs de répandre la
cul-ture.
[2] Covid
19.
[3] Je ne fais que reprendre
ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com
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