Gonflées
d’orgueil, d’arrogance, et autres, les métropoles débitent, encore et encore,
les insanités, les bassesses, les mensonges, les supercheries de toujours,
maintiennent un regard de mépris, de haine sur les indigènes[1] des
colonies, alimentent et entretiennent l’imposture, selon l’étable de leur loi,[2]
Elles
font passer pour du « progrès », leurs crimes contre l’humanité.
Le
pire dans ce domaine, c’est que des indigènes des colonies reprennent les bavardages
de leurs maîtres des métropoles, et les utilisent pour se donner une contenance
dite de « civilisés », d’« évolués », de
« cultivés », de « modernes », conformément au instructions
de leurs employeurs du système colonialo-impérialo-sioniste.
Il est
plus qu’affligeant d’entendre des indigènes d’Afrique par exemple, d’Afrique du
nord ou d’autres régions d’Afrique, se réclamer d’actes criminels de leurs maîtres,
revendiquer leur filiation à ces maîtres, défendre leurs horreurs présentées
comme valeurs ».
Des
serpillières adorant les semelles qui les foulent.
La
puanteur de ces serviles rejoint celle de leurs maîtres.
L’imposture,
encore l’imposture, toujours l’imposture.[3]
BOU’AZZA
[1] Appellation
arrogante et méprisante donnée par le colonialisme, les métropoles, aux
populations des territoires colonisés, les colonies.
[2] Les
tables de leur loi.
[3] Je ne fais que reprendre
ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com
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