jeudi 25 juin 2020

LA PUANTEUR DES SERVILES REJOINT CELLE DE LEURS MAÎTRES


Gonflées d’orgueil, d’arrogance, et autres, les métropoles débitent, encore et encore, les insanités, les bassesses, les mensonges, les supercheries de toujours, maintiennent un regard de mépris, de haine sur les indigènes[1] des colonies, alimentent et entretiennent l’imposture, selon l’étable de leur loi,[2]
Elles font passer pour du « progrès », leurs crimes contre l’humanité.
Le pire dans ce domaine, c’est que des indigènes des colonies reprennent les bavardages de leurs maîtres des métropoles, et les utilisent pour se donner une contenance dite de « civilisés », d’« évolués », de « cultivés », de « modernes », conformément au instructions de leurs employeurs du système colonialo-impérialo-sioniste.
Il est plus qu’affligeant d’entendre des indigènes d’Afrique par exemple, d’Afrique du nord ou d’autres régions d’Afrique, se réclamer d’actes criminels de leurs maîtres, revendiquer leur filiation à ces maîtres, défendre leurs horreurs présentées comme  valeurs ».
Des serpillières adorant les semelles qui les foulent.
La puanteur de ces serviles rejoint celle de leurs maîtres.
L’imposture, encore l’imposture, toujours l’imposture.[3] 

BOU’AZZA



[1] Appellation arrogante et méprisante donnée par le colonialisme, les métropoles, aux populations des territoires colonisés, les colonies.
[2] Les tables de leur loi.

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