Pour
des femelles comme pour des mâles, avoir d’autres partenaires que l’époux ou
l’épouse est « un acquis civilisationnel ».
Pour
des débauchés des deux sexes, c’est une pratique qui n’est pas incompatible
avec le mariage qui en a besoin pour revisiter la chasteté, briser la
monotonie, éviter l’ennui, rallumer la flamme, se régénérer, réinventer le
couple, découvrir les saveurs du sexe de la liberté, vaincre les interdits
obscurantistes, vivre les avancées sociétales en matière de baise sans
frontières, s’éclater dans une ambiance d’enfer.
Des
lesbiennes, des homosexuels, des bisexuels, des hétérosexuels, des suceuses,
des masturbateurs, des gigolos et autres, alimentent et entretiennent cet
« acquis civilisationnel ».
Adultère ?
Le
mot à ne pas dire.
Des
putes et des fournisseurs de bites, des épouses, des mères, des époux, des
pères, font ce qu’ils peuvent pour rayer le mot adultère du vocabulaire.
S’agissant
d’épouses, de mères par exemple, dans diverses régions de France et d’ailleurs,
des médias parlent de couples où des pères tuent des mères, des enfants[1] et se
suicident parce que les épouses et mères baisent avec d’autres.
Concernant
ces faits, ces médias ne parlent pas d’adultère.
Pourquoi
l’infidélité[2] au sein d’un couple est
noyée dans des bavardages sans fin?
D’innombrables
« approches » sont abordées avec des « développements » sur
le couple qui n’est pas toujours composé d’un homme et d’une femme mariés.
Il
est alors fait référence à différentes formes de couples.
En
dehors du couple dit « classique »,[3] il y
a le couple formé par un homme et une femme en dehors du mariage, par deux
hommes[4] ou
deux femmes[5], mariés[6] ou
pas, qui adoptent parfois des enfants, par un père avec sa fille ou son fils,
par une mère avec son fils ou sa fille.
Il y
a également le couple marié, formé par un homme et une femme pour qui
« l’adultère c’est la tolérance », et leur frénésie du sexe et des
échanges sexuels avec les autres, « une défense de la liberté des mœurs et
de l’émancipation contre l’intolérance ».
Il y
a aussi le couple dont l’un ou l’autre des époux, ou les deux, recourent à
l’adultère, mais en « cachette ».
Et
d’autres encore.
Plusieurs
disciplines se saisissent de ces différentes situations, et en donnent de
multiples interprétations.
Des
« spécialistes » dans ces disciplines procèdent à des « analyse
des données », mettent en valeur des « ressorts
psychologiques », et prônent la baise sans frontières.
Pour
les croyants et les croyantes, le mariage entre un homme et une femme, fait
partie des bienfaits d’Allaah.
« Et
parmi Ses signes[7] Il a créé de vous, pour
vous, des épouses pour que vous viviez en tranquillité avec elles et Il a mis
entre vous de la tendresse et de la miséricorde.[8] Il y
a en cela des signes pour des gens qui réfléchissent.[9]
Les
épouses sont une parure[10] pour
les époux, et les époux sont une parure pour les épouses.
« Elles sont une parure pour vous et vous êtes une
parure pour elles ».[11]
Et
lorsqu’il n’est plus possible à un époux et à une épouse de rester ensemble, de
maintenir le couple et de continuer la vie conjugale ensemble, il y a le
divorce.[12]
l’Islaam[13]
condamne très sévèrement l’adultère.
« Les
musulmans et les musulmanes, les croyants et les croyantes,[18] les
obéissants et les obéissantes, les loyaux et les loyales,[19] les
endurants et les endurantes,[20] les
craignants et les craignantes,[21] les
donneurs d’aumône et les donneuses d’aumône, les jeûneurs et les jeûneuses, les
gardiens de leur chasteté et les gardiennes, ceux qui invoquent beaucoup Allaah
et les invocatrices, Allaah leur a préparé un Pardon et une Récompense Immense.
Il n’appartient pas à un croyant ni à une croyante, une fois qu’Allaah et Son
Messager ont décidé d’une chose, d’avoir encore le choix dans leur façon
d’agir. Et quiconque désobéit à Allaah et à Son Messager, s’est égaré d’un
égarement évident ».[22]
Qu’Allaah
nous éloigne des pratiques blâmables, pardonne nos fautes, nous aide à résister
à achachaytaane[23] et à ceux et à celles qui
suivent sa voie, la mauvaise voie, la voie de l’Enfer.
Qu’Il
nous couvre de Son Amour et déverse sur nous Son infinie miséricorde.
Qu’Il
nous aide à faire de notre mieux pour l’Aimer comme Il doit être Aimé, pour
l’Adorer[26] comme Il doit être Adoré.
Qu’Il
nous guide sur le droit chemin, le chemin de ceux qu’Il a comblés de bienfaits,
non de ceux qui ont encouru Sa colère, ni des égarés.[27]
Qu’Il
fasse que nous soyons parmi ceux et celles qui suivent Sa Voie, la bonne Voie,
la Voie pour mériter d’être cette âme sereine dont Il dit :
« Ô âme sereine. Retourne à ton Seigneur satisfaite et
donnant satisfaction.[28]
Entre parmi Mes serviteurs. Et entre dans Mon Paradis ».[29]
BOU’AZZA
[1]
Situation différente de ce qui était appelé ″crime
passionnel″ où l’un des
conjoints tue l’autre, et parfois l’amant ou la maîtresse, suite à l’adultère,
et épargne les enfants lorsqu’ils existent.
[2] Appelée aussi la trahison.
[3] Un homme et une femme
mariés.
[4] Homosexuels.
[5] Lesbiennes.
[6] En
France, le gouvernement de gauche, du révolutionnaire François Hollande, a ″légalisé″ ce qui est appelé ″mariage
pour tous″, c'est-à-dire entre
deux hommes ou deux femmes par exemple, présenté par ces agents comme ″une avancée historique de
l’humanité, une progression des valeurs universelles, une évolution et un essor
de la civilisation″.
[7] Les
signes d’Allaah, aayaate.
[8]
Salaah Addiine Kachriid écrit :
″Allaah nous rappelle que la vie
conjugale tire sa force des liens de tendresse et d’amour réciproques qui unissent
les deux époux et qui sont parfois remplacés par des liens de miséricorde quand
l’un d’eux est malade, ou trop vieux, ou frappé de quelque infirmité
avilissante″.
Salah
Eddine Kechrid, traduction du Qoraane (Coran), Loubnaane (Liban),
Bayroute (Beyrouth), éditions Daar Algharb Alislaamii, cinquième édition, 1410
(1990), première édition, 1404 (1984).
Note
en bas de la page 533.
[10]
Libaas, vêtement.
[11]
Alqoraane (Le Coran), sourate 2 (chapitre 2), Albaqara (le "r"
roulé), La Vache, aayate 187 (verset 187).
[12]
Attalaaq.
[13] L’Islaam depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction
et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah
le demande.
L’Islaam
n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de clan, de classe sociale, de sexe,
de couleur, de langue, de parti politique, de pays, de nationalité, d’Etat (le
fait qu’un État ne soit pas fondé sur l’islaam, ne signifie nullement que les
croyants et les croyantes installés dans une contrée ayant un tel État, ne font
pas de leur mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande).
L’Islaam c’est ce qui unit les croyants et les
croyantes où qu’ils soient, sur la base du Message d’Allaah, Le Seigneur des univers.
Alqoraane
est la continuation, la synthèse, le parachèvement du Message d’Allaah,
L’Unique.
Mohammad,
l’ultime Messager et Prophète sur lui la bénédiction et la paix, a eu pour
mission de le transmettre.
Les
sanctions de la fornication et de l’adultère s’appliquent à la femme et à l’homme.
[16]
Faahicha.
[17]
Alqoraane (Le Coran), sourate 17 (chapitre 17), Alisraa-e (le ″r″
roulé), Le Voyage Nocturne, aayate 32 (verset 32).
[18]
Almouminoune wa almouminaate.
[19] Ceux
et celles qui sont véridiques.
[20] Les
patients et les patientes.
[21] Ceux
et celles qui sont recueillis.
[22]
Alqoraane (Le Coran), sourate 33 (chapitre 33), Alahzaab, Les Coalisés, aayate
35 et aayate 36 (verset 35 et verset 36).
Je
ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé
[23] Á satan.
[24] Addoneyaa.
[26] Adoration, ‘ibaada.
[27]
Alqoraane (Le Coran), sourate 1 (chapitre 1), Alfaatiha, aayate 6 et aayate 7
(verset 6 et verset 7), récitée à chaque ʺrak’aʺ (cycle d’actes), de chaque
prière.
[29]
Alqoraane (Le Coran), sourate 89 (chapitre 89), Alfajr (le ″r″
roulé), L’Aube, aayate 27 à aayate 30 (verset 27 au verset 30).
Je
ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com
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