LES CIMETIÈRES EN SONT REMPLIS

« Les cimetières sont remplis de gens qui se croyaient indispensables ».[1]

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[1] Proverbe arabe.

Les imbus de leur personne, ceux et celles qui font n’importe quoi pour attirer l’attention, pour paraître, pour ʺ se faire valoirʺ, les ʺmoi jeʺ, les m’as-tu-vu, les arrogants, les faux jetons, et autres, font partie des personnes qui se croient indispensables, qui alimentent et entretiennent l’orgueil.

ʺCeux qui, par orgueil, se refusent à M’adorer entreront en Enfer, humiliésʺ.

Alqoraane (le Coran), sourate 40 (chapitre 40), Ghaafir (le ʺrʺ roulé), Le Pardonneur, aayate 60 (verset 60).

ʺN’est-ce pas en Enfer que se trouve une demeure pour les orgueilleux ?ʺ

Alqoraane (le Coran), sourate 39 (chapitre 39), Azzomar (le ʺrʺ roulé), Les Groupes, aayate 60 (verset 60).

ʺFranchissez les portes de l’Enfer pour y demeurer éternellement, quelle mauvaise demeure que celle des orgueilleuxʺ.

Alqoraane (le Coran), sourate 40 (chapitre 40), Ghaafir (le ʺrʺ roulé), Le Pardonneur, aayate 76 (verset 76).

Le pire orgueil, c’est le refus d’Adorer Allaah, comme Allaah le demande.

C’est le rejet de l’Islaam.

Il a été rapporté dans un hadiite que Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix, a dit :

ʺN’entre pas au Paradis quiconque a dans son coeur l’équivalent du poids d’un grain de moutarde d’orgueilʺ.

Kibr (le ʺrʺ roulé), orgueil.

Lorsqu’on parle de hadiite (hadite, hadiith, hadith), cela renvoie à ce qui a été rapporté concernant la conduite de Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix, à Assonna.

Alqoraane, qui est la continuation, la synthèse et le parachèvement du Message d’Allaah, que

Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix, a eu pour mission de transmettre,  n’a de sens qu’avec Assonna et Assonna ne peut exister sans Alqoraane.

Assonna procède d’Alqoraane.

Qu’Allaah chasse toute trace d’orgueil de nos coeurs, nous protège, et déverse sur nous Sa miséricorde.

Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé, et dont je parlerai encore, ine chaa-e Allaah (si Allaah veux).