« Je
me plains à Allaah de ma dispersion[1] et de ma
tristesse et je sais de la part d’Allaah ce que vous ne savez pas ».[2]
Je
l’ai invoqué, je l’invoque, et je l’invoquerai pour qu’Il m’éclaire, me couvre
de Sa miséricorde, me soutienne pour continuer la longue marche.
Je
l’ai invoqué, je l’invoque, et je l’invoquerai pour qu’Il déverse sur moi Son
infinie générosité, m’aide à faire de mon mieux pour l’Adorer, comme Il le
demande.
Je
l’ai invoqué, je l’invoque, et je l’invoquerai pour qu’Il me guide sur le droit
chemin, le chemin de ceux qu’Il a comblés de bienfaits, non de ceux qui ont
encouru Sa colère, ni des égarés.[3]
Je
l’ai invoqué, je l’invoque, et je l’invoquerai pour Qu’Il fasse que je sois
parmi ceux et celles qui suivent Sa Voie, afin d’être cette âme sereine dont Il
dit :
« Ô âme sereine. Retourne à ton Seigneur satisfaite et
donnant satisfaction.[4] Entre
parmi Mes serviteurs. Et entre dans Mon Paradis ».[5]
BOUAZZA
[2]
Alqoraane (le Coran), sourate 12 (chapitre 12), Youçof Joseph, aayate 86
(verset 86).
Dans
sa traduction du Qoraane (le ʺrʺ roulé) Kachriid (le ʺrʺ roulé) note que c’est
un état d’âme où, à force de tristesse, on ne reconnaît plus le bien du mal et
où tout se trouble devant l’esprit.
Dans
cette aaya (verset), c’est Ya’qoub (Jacob) qui s’exprime ainsi.
En
être croyant, il n’a pas dit ʺmon désespoirʺ.
Salaah
Addiine Kachriid (Salah Eddine Kechrid), traduction du Qoraane (Coran),
Loubnaane (Liban), Bayroute (Beyrouth), éditions Daar Algharb Alislaamii,
cinquième édition, 1410 (1990), première édition, 1404 (1984).
Note
en bas de la page 316.
[3]
Alqoraane (Le Coran), sourate 1 (chapitre 1), Alfaatiha, aayate 6 et aayate 7
(verset 6 et verset 7), récitée à chaque ʺrak’aʺ (cycle d’actes), de chaque
prière.
[5]
Alqoraane (Le Coran), sourate 89 (chapitre 89), Alfajr (le ″r″
roulé), L’Aube, aayate 27 à aayate 30 (verset 27 au verset 30).
Je
ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com
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