lundi 21 janvier 2019

« L’HONORABLE ÉPOUSE »


Ambiance d’enfer.
En prélude à la suite, une sainte nitouche de service écarte les jambes pour laisser voir un vagin fraîchement épilé, à l’étroit dans sa petite culotte.[1]
Alcool, joints, musique, danse, et le reste.[2]
Se mettre en « valeur », se donner en spectacle, s’agiter dans tous les sens.
Des gigolos, des homosexuels, des lesbiennes, des chiens.[3]
Déployer des «zèles»[4] du désir sans limites.
La baise sans frontières.[5]
Les explorations anatomiques[6] se passent aussi dans des voitures, dans d’autres véhicules, dans des parcs, dans des restaurants, dans des chiottes, dans des recoins du lieu dit de « travail »,[7] dans des hôtels,[8] et ailleurs, y compris au domicile dit conjugal,[9] utilisé pour des passes, où elle joue aux « devinettes » avec le visiteur fournisseur de bite, pour qu’il « donne sa langue à la chatte »,[10] et salive[11] pour la « chatte à fouetter ».[12]
  
BOUAZZA



[1] C’est pour elle une façon de revisiter ʺla chastetéʺ.
[2] Il n’y a pas que le sexe, il y a aussi le cul.
[3] Une femelle ʺlibéréeʺ officie en jupe courte et large, ne porte pas de culotte, offre, d’abord à contempler, son vagin avec sa toison pubienne, parle de ʺthérapie par la bite et le vaginʺ.
Elle veille à ce que ʺçaʺ gamberge toujours entre les cuisses.
Pour son chien, elle se met nue à quatre pattes, et il la pénètre par derrière.
Elle fait partie des ʺdéfenseuses des travailleuses du sexe", des femelles qui militent pour "la défense du droit au travail".
Elle aime penser qu’elle est petite par la taille, mais grande par la baise.
[4] Des ailes.
[5] Plus jeune, ʺl’honorable épouseʺ n’hésitait pas à s’exhiber, à s’offrir pour être pelotée et plus, parce que c’est ʺvalorisantʺ.
Épouse et mère, son attrait pour ce genre de ʺvalorisationʺ n’a pas disparu.
[6] Elle savoure plus particulièrement la sodomisation.
[7] Elle se fait tirer, ʺrecto-versoʺ sur son lieu de ʺtravailʺ, où elle est appréciée pour ses performances de suceuse.
[8] Les hôtels font partie des endroits où elle aime s’éclater.
Et pas qu’avec des mecs.
Des endroits où l’odeur de la baise, son parfum préféré, la rend folle.
Elle veut la bite partout.
Dans sa bouche, dans son sexe, dans son derrière, entre ses seins, entre ses cuisses, dans ses mains pour la masser, la masturber, se la mettre encore et encore.
Insatiable.
Avec sa langue, le fournisseur de bite fait chanter son vagin de ravissement.
La baise sans frontières.
[9] Elle trahit la confiance de son époux, gomme les enfants, répand la souillure, et s’en fout.
[10] ʺDonner sa langue au chat est une expression utilisée pour exprimer son incapacité à trouver la réponse attendue.
Ici, il s’agit pour le visiteur fournisseur de bite, de lécher le vagin offert avec sa toison pubienne, la chatte.
[11] Elle se sent plus baisable encore, lorsque le visiteur fournisseur de bite est un jeune fraîchement marié, qui bande à l’odeur de la femelle en rut, salive pour le croupion, pour la fente à boucher, alors qu’elle a presque l’âge de sa génitrice.
[12] ʺAvoir d’autres chats à fouetterʺ signifie avoir d’autres préoccupations.
Ici, il s’agit pour le visiteur fournisseur de bite, de saliver pour le sexe de ʺl’honorable épouseʺ.
Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire