« J’ai
couru longtemps pour me rattraper. J’avais beau m’essouffler, je n’y arrivais
pas. Et puis, un jour, je me suis assis au bord de la route pour m’attendre et,
quand je suis passé, j’ai marché sans hâte à côté de moi, du même pas que
moi-même. Depuis, je suis très calme ».[1]
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