Les « manifestations » pour répandre une
« ambiance d’enfer », une « atmosphère psychédélique », du
« sexe sans frontières », de la « baise enchantée », du
« cul libéré », de la « jouissance sans entrave », du
« plaisir triomphant », une conne science[1]
« universelle », et d’innombrables autres « acquis », ne
manquent pas.
Il n’y a pas si longtemps, des femelles[2] nues
ont manifesté pour « exprimer leur opposition au nucléaire », et une
d’entre elles s’est offerte pour passer la nuit à baiser avec le président de
la République d’Allemagne,[3] si
celui-ci utilisait son droit de veto pour bloquer un texte sur le sujet.
Une autre « engagée », habituée des rencontres
dénudées,[4] fait
le tour de soirées cul-turelles, commence par poser son doigt, le majeur, sur
son con,[5]
procède lentement à un va et vient, souligne qu’elle veut bien se faire sauter,
mais pas par un « explosif islamiste ».[6]
Ses
compagnes, des « militantes » pour la « libération de la
femme » débarquent avec des jupes courtes, n’ont pas de culotte, offrent,
pour commencer, des vagins fraîchement épilées à la contemplation des
fournisseurs de bites.
Un fan de la « gay-pride »[7] est
content d’avoir cessé de se faire enculer dans des chiottes, ou des véhicules
quelconques.
Il se félicite de fréquenter des endroits cossus, où
il vit avec profondeur divers apports artistiques de la nudité multi
cul-turelle.
Des individus participent au « No Pants Subway
Ride », manifestation qui depuis des années[8] se
déroule aux USA[9]par exemple, et qui
consiste pour les participantes et les participants, en une journée précisée par
les adeptes des queues et des vagins « libérés », à prendre le métro
sans robe, sans jupe, sans pantalon, sans short.[10]
Pendant des soldes vestimentaires, des femelles et des
mâles se mettent nus, font la queue devant des magasins, afin d’être habillés
« sans payer », par ceux qui les utilisent ainsi pour se faire de la
publicité.
Au Mexique,[11]
presque vingt mille femelles et mâles ont posé nus pour être photographiés par
l’américain Spencer Tunick.
En Australie, en France et ailleurs, des
« militantes » et des « militants » découvrent un certain
goût à s’exposer à poil, sont fiers de participer à l’alimentation de cette
propension à se dévêtir.
Des
femelles venues d’Ukraine, accueillies à braguettes ouvertes en France,[12]
lancent ce qui est désigné par « femen », avec des
« militantes » qui manifestent les seins nus « pour défendre les
droits des femmes ».
Des médias[13] soutiennent
ces « nouveaux moyens d’expression », et en profitent pour se
déchaîner[14] contre ce qu’il appellent
« l’obscurantisme ».[15]
BOUAZZA
[1] Conscience.
[2] En Allemagne.
[3] Elle a précisé que son époux
était d’accord.
La
"révolution sexuelle" incite des époux et des épouses à baiser avec
divers partenaires pour ʺcul-tiver l’amour et con-solider la vie con-jugaleʺ.
Lors de rencontres, des lesbiennes, des homosexuels,
des bisexuels, des hétérosexuels, des suceuses, des travestis, des
masturbateurs, des gigolos et autres entretiennent cette
« évolution ».
Ils s’échangent des pétards, sniffent de la poudre, se
piquent à l’héroïne ou autres, se roulent des pelles, se font des pipes, se
lèchent, baisent dans des recoins, se rejoignent dans des véhicules pour se
livrer à des enculeries et diverses explorations anatomiques.
Parfois, ils font participer des animaux aux ébats.
[4] Le
but ici n’est pas de se pencher sur les innombrables formes et lieux de
prostitution, sur les trahisons, les infidélités, et autres tromperies
sexuelles entre épouses et époux, sur les multiples publications, peintures,
photos, films et sites érotico-pornographiques, sur les boîtes de nuit animées
par la baise, sur les"sex shop", sur ceux et celles qui se vautrent
dans les caniveaux et mettent en garde contre l’Islaam, sur les diverses
publicités qui se référent au sexe pour vendre et servir le con-sumérisme (la
consommation) ou sur d’autres aspects du marché de cette débauche.
[5] Son vagin.
[6] Rires et excitations
assurés.
[7] Parade d’homosexuels et de
lesbiennes.
[8] 2002 selon le calendrier
dit Grégorien.
[9]
United States of America, les États Unis d’Amérique, bâtis par des gens
d’Europe sur l’extermination des Indiens, sur l’esclavage, sur le terrorisme,
sur l’utilisation des bombes atomiques et sur d’innombrables autres massacres
et destructions qui continuent.
[10] En
gardant une culotte ou un slip.
[11] À Mexico en 2007.
[12] Leur tête d’affiche a obtenu immédiatement le statut
dit de ʺréfugiée politiqueʺ octroyé par François Hollande, à l’époque installé
sur le trône du palais de l’Élysée.
[13] Avec
des salariés aux ordres dits "journalistes", qui tentent avec
arrogance, d’entretenir la fiction consistant à faire croire qu’ils sont au
"service de la vérité" alors qu’ils appliquent ce que dictent leurs
employeurs.
[14] Ce n’est pas nouveau.
[15] Ils jouissent de désigner
ainsi l’Islaam.
[15] Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
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