Colopoles,
contraction des mots colonies et métropoles, un terme que j’ai déjà utilisé et
dont je m’attribue la paternité, en me référant aux interventions du
colonialisme[1]
en Afrique et ailleurs.
Ce qui est appelé la décolonisation, l’indépendance dans l’interdépendance, l’indépendance nationale, la révolution nationale, la révolution populaire, et autres, se réfère en fait au tatut octroyé par le système colonialo-impérialo-sioniste, et qui s’est traduit dans les colonies par la multiplication des États supplétifs, subordonnés avec plus ou moins de zèle, de soumission et de servilité dans l’exécution des ordres des métropoles et autres employeurs.
Les employés installés à la tête de ces États, assoiffés d’argent, de vices, de sang, répandent la pourriture, commettent les crimes les plus abominables, et les plus nauséabonds, recourent à la torture sous toutes ses formes, sodomisent et massacrent des hommes, violent, méprisent, humilient et tuent des femmes, maltraitent et font disparaître des enfants.
Ils ont des comptes bancaires partout, des lingots d’or, des pierres précieuses, des bijoux de grande valeur, des fermes modèles, des haras, des propriétés immobilières sans nombre, des résidences dans les métropoles, des palaces, des tableaux de peintres de renom, des cabarets, des boîtes de nuit, des salles de jeu, des restaurants, des voitures luxueuses, des avions, des bateaux.
Ils affament et détruisent avec l’appui de leurs employeurs, investissent sans compter dans les lieux de la débauche, se font livrer par vols entiers des débauchés dits stars, artistes et autres, des alcools et des drogues à profusion, des mets pour civilisés que les barbares ne connaissent même pas de nom, raffolent de culs, de vagins, de baise sans frontières, de partouzes mondialistes.
Ils salissent, souillent tout, recourent à la tyrannie, à la corruption, à la dépravation, à la censure, aux usurpations, aux vols, aux falsifications, aux trafics, aux trahisons, aux tromperies, aux tricheries, aux enlèvements, aux séquestrations, aux emprisonnements, aux supplices, aux liquidations, aux tueries, aux massacres et autres à des degrés inimaginables.
Pour eux, l’humain est réduit à moins que rien.
Les États mis en place sont donc tenus de servir les intérêts du système colonialo-impérialo-sioniste, de rendre confus ce qui est clair, complexe ce qui est simple, afin que les méfaits continuent.
Ces États dits du tiers-monde parlent de libération, de renouveau, de solidarité, de dignité, alors qu’ils participent à toutes les compromissions, à toutes les horreurs.
Les cadavres qui ont fait éclore toutes leurs richesses matérielles, entretenues par la sueur et le sang des survivants, ne les empêchent pas de disserter sur ce qu’ils appellent le peuple.
Ces États ne cessent de se draper dans la parure dite nationale pour répandre la pourriture.
Ces États ont des chefs d’État, des gouvernements, des parlements, des constitutions et organisent des élections.
Ces États veillent à maintenir des régimes immondes, infâmes, abjects, hideux, féroces, cruels, des régimes de l’injustice, du vice, de l’abîme, du chaos, des régimes de la corruption dans tous les domaines, des régimes de massacres, de carnages, de vols, de viols, des régimes de tous les trafics.
Les mises en scène, les instrumentalisations, les mensonges, les humiliations, les pillages, les invasions, les massacres, les crimes, les cruautés, les destructions, les exterminations, les impostures, les malveillances, les perfidies, les travestissements, les supercheries, les fourberies, les camouflages, les leurres, les tromperies, les perversions, les trahisons, les viols, les tortures, les abjections, les cynismes et pire encore, n’élimineront jamais cette Vérité.
Les métropoles, gonflées d’orgueil et d’arrogance, débitent, encore et encore, les insanités de toujours, les bassesses, les supercheries, maintiennent un regard de mépris et de haine sur les indigènes[2] des colonies, alimentent et entretiennent l’imposture, selon l’étable de leur loi.[3]
Dans les innombrables agressions, les mots accompagnent les autres moyens et s’avèrent souvent aussi dangereux, aussi terribles.
Tel un virus, ils soutiennent l’infection, décomposition.
Les imposteurs, à l’œuvre depuis des lustres, ont toujours usé d’une diarrhée verbale concernant leurs crimes.
Il est nécessaire de rappeler, encore rappeler, toujours rappeler qu’à travers le temps et l’espace, des imposteurs à divers niveaux, ont cherché à faire passer des vessies pour des lanternes.
Les imposteurs ont toujours falsifié les mots pour les utiliser comme des armes de destruction massive.
Ils mobilisent tous les moyens dont ils peuvent disposer pour faire dire aux mots ce qui correspond à ce qui les arrange.
Ils ne cessent de parler de droits de l’homme, et nient la violation des droits humains à laquelle ils ne cessent de recourir.
Ils varient les bavardages afin de camoufler leur soif d’imposer partout leur domination.
Ils sont arrivés par des mots truqués à faire passer pour du progrès, leurs crimes contre l’humanité.
Le pire dans ce domaine, c’est que des individus dominés, reprennent servilement ces bavardages qu’ils utilisent pour se donner une contenance dite de civilisés, d’évolués, de cultivés, de modernes, conformément aux souhaits de leurs dominateurs.
Des serpillières adorant les semelles qui les foulent.
Et ces serviles, à divers niveaux, se mettent à déverser leur puanteur qui rejoint celle de leurs maîtres, pour se répandre partout.
L’imposture, encore l’imposture, toujours l’imposture.
Lorsque le recours à certains mots est dénoncé, les imposteurs parlent de dérapage, de malentendu, de mauvaise interprétation, de dégât collatéral, et font semblant de s’offusquer des effets de ce dont ils sont la cause.
Mais un jour, les populations qui sont maintenues dans la misère, l’ignorance, qui font face aux pires sévices, aux horreurs, à l’abjection, finiront, ine chaa-e Allaah,[4] par se débarrasser de la mafia internationale qui les opprime et leur impose sa volonté.[5]
BOU’AZZA
[1] Du système colonialo-impérialo-sioniste.
[2] Appellation arrogante et méprisante donnée par le colonialisme, les métropoles, aux populations des territoires colonisés, les colonies.
[3] Les tables de sa loi.
[4] Si Allaah veut.
[5] Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :
http://raho.over-blog.com
http://paruredelapiete.blogspot.com
http://ici-bas-et-au-dela.blogspot.com
http://laroutedelafoi.blogspot.com
http://voyageur-autre.blogspot.com
http://lmslm.blogspot.com
http://iimaane.blogspot.com
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com
Ce qui est appelé la décolonisation, l’indépendance dans l’interdépendance, l’indépendance nationale, la révolution nationale, la révolution populaire, et autres, se réfère en fait au tatut octroyé par le système colonialo-impérialo-sioniste, et qui s’est traduit dans les colonies par la multiplication des États supplétifs, subordonnés avec plus ou moins de zèle, de soumission et de servilité dans l’exécution des ordres des métropoles et autres employeurs.
Les employés installés à la tête de ces États, assoiffés d’argent, de vices, de sang, répandent la pourriture, commettent les crimes les plus abominables, et les plus nauséabonds, recourent à la torture sous toutes ses formes, sodomisent et massacrent des hommes, violent, méprisent, humilient et tuent des femmes, maltraitent et font disparaître des enfants.
Ils ont des comptes bancaires partout, des lingots d’or, des pierres précieuses, des bijoux de grande valeur, des fermes modèles, des haras, des propriétés immobilières sans nombre, des résidences dans les métropoles, des palaces, des tableaux de peintres de renom, des cabarets, des boîtes de nuit, des salles de jeu, des restaurants, des voitures luxueuses, des avions, des bateaux.
Ils affament et détruisent avec l’appui de leurs employeurs, investissent sans compter dans les lieux de la débauche, se font livrer par vols entiers des débauchés dits stars, artistes et autres, des alcools et des drogues à profusion, des mets pour civilisés que les barbares ne connaissent même pas de nom, raffolent de culs, de vagins, de baise sans frontières, de partouzes mondialistes.
Ils salissent, souillent tout, recourent à la tyrannie, à la corruption, à la dépravation, à la censure, aux usurpations, aux vols, aux falsifications, aux trafics, aux trahisons, aux tromperies, aux tricheries, aux enlèvements, aux séquestrations, aux emprisonnements, aux supplices, aux liquidations, aux tueries, aux massacres et autres à des degrés inimaginables.
Pour eux, l’humain est réduit à moins que rien.
Les États mis en place sont donc tenus de servir les intérêts du système colonialo-impérialo-sioniste, de rendre confus ce qui est clair, complexe ce qui est simple, afin que les méfaits continuent.
Ces États dits du tiers-monde parlent de libération, de renouveau, de solidarité, de dignité, alors qu’ils participent à toutes les compromissions, à toutes les horreurs.
Les cadavres qui ont fait éclore toutes leurs richesses matérielles, entretenues par la sueur et le sang des survivants, ne les empêchent pas de disserter sur ce qu’ils appellent le peuple.
Ces États ne cessent de se draper dans la parure dite nationale pour répandre la pourriture.
Ces États ont des chefs d’État, des gouvernements, des parlements, des constitutions et organisent des élections.
Ces États veillent à maintenir des régimes immondes, infâmes, abjects, hideux, féroces, cruels, des régimes de l’injustice, du vice, de l’abîme, du chaos, des régimes de la corruption dans tous les domaines, des régimes de massacres, de carnages, de vols, de viols, des régimes de tous les trafics.
Les mises en scène, les instrumentalisations, les mensonges, les humiliations, les pillages, les invasions, les massacres, les crimes, les cruautés, les destructions, les exterminations, les impostures, les malveillances, les perfidies, les travestissements, les supercheries, les fourberies, les camouflages, les leurres, les tromperies, les perversions, les trahisons, les viols, les tortures, les abjections, les cynismes et pire encore, n’élimineront jamais cette Vérité.
Les métropoles, gonflées d’orgueil et d’arrogance, débitent, encore et encore, les insanités de toujours, les bassesses, les supercheries, maintiennent un regard de mépris et de haine sur les indigènes[2] des colonies, alimentent et entretiennent l’imposture, selon l’étable de leur loi.[3]
Dans les innombrables agressions, les mots accompagnent les autres moyens et s’avèrent souvent aussi dangereux, aussi terribles.
Tel un virus, ils soutiennent l’infection, décomposition.
Les imposteurs, à l’œuvre depuis des lustres, ont toujours usé d’une diarrhée verbale concernant leurs crimes.
Il est nécessaire de rappeler, encore rappeler, toujours rappeler qu’à travers le temps et l’espace, des imposteurs à divers niveaux, ont cherché à faire passer des vessies pour des lanternes.
Les imposteurs ont toujours falsifié les mots pour les utiliser comme des armes de destruction massive.
Ils mobilisent tous les moyens dont ils peuvent disposer pour faire dire aux mots ce qui correspond à ce qui les arrange.
Ils ne cessent de parler de droits de l’homme, et nient la violation des droits humains à laquelle ils ne cessent de recourir.
Ils varient les bavardages afin de camoufler leur soif d’imposer partout leur domination.
Ils sont arrivés par des mots truqués à faire passer pour du progrès, leurs crimes contre l’humanité.
Le pire dans ce domaine, c’est que des individus dominés, reprennent servilement ces bavardages qu’ils utilisent pour se donner une contenance dite de civilisés, d’évolués, de cultivés, de modernes, conformément aux souhaits de leurs dominateurs.
Des serpillières adorant les semelles qui les foulent.
Et ces serviles, à divers niveaux, se mettent à déverser leur puanteur qui rejoint celle de leurs maîtres, pour se répandre partout.
L’imposture, encore l’imposture, toujours l’imposture.
Lorsque le recours à certains mots est dénoncé, les imposteurs parlent de dérapage, de malentendu, de mauvaise interprétation, de dégât collatéral, et font semblant de s’offusquer des effets de ce dont ils sont la cause.
Mais un jour, les populations qui sont maintenues dans la misère, l’ignorance, qui font face aux pires sévices, aux horreurs, à l’abjection, finiront, ine chaa-e Allaah,[4] par se débarrasser de la mafia internationale qui les opprime et leur impose sa volonté.[5]
[1] Du système colonialo-impérialo-sioniste.
[2] Appellation arrogante et méprisante donnée par le colonialisme, les métropoles, aux populations des territoires colonisés, les colonies.
[3] Les tables de sa loi.
[4] Si Allaah veut.
[5] Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :
http://raho.over-blog.com
http://paruredelapiete.blogspot.com
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