Des comportements
néfastes d’une personne de la famille par exemple,[1] peuvent
finir par vous imposer de tenir compte de ce que vous évitiez de prendre en considération.
Parfois, éviter de prendre en considération des comportements néfastes, vise à préserver ce qui semble important à préserver.
Malheureusement, ce souci est souvent perçu comme une ignorance de ce qui se passe, une incapacité à agir ou autres, et encourage ceux et celles qui le pensent, à vouloir en tirer profit.
Ceux et celles qui pensent ainsi, sont des personnes préoccupées avant tout par leur ego, par leur nombrilisme, par le désir de ne faire qu’à leur tête.
Et alors ?
Alors, il y a lieu de rappeler d’abord que lors de notre parcours dans la vie ici-bas,[2] nous avons des relations avec de multiples personnes dans d’innombrables domaines, durant un temps variable, dans un espace qui change.
Quelle est la nature de ces relations ?
La nature de ces relations diffère selon les personnes.
Il est vrai qu’avec certaines, ces relations sont difficiles, nécessitent de l’endurance,[3] afin qu’elles soient maintenues.
Souvent, en dépit d’immenses efforts pour rendre ces relations constructives, le résultat souhaité n’est pas au rendez-vous.
Que faire alors ?
« Ô vous qui croyez ! Vous êtes responsables de vous-mêmes. Celui qui s’égare ne vous cause pas de tort si vous avez suivi la bonne voie. À Allaah est votre retour tous et Il vous informera de ce que vous faisiez ».[4]
Dans sa traduction du Qoraane,[5] Kachriid[6] note que « certains se basent à tort sur ce verset pour croire qu’ils ne sont tenus que de suivre eux-mêmes la loi d’Allaah sans se préoccuper de ce qui se fait autour d’eux. Cela est absolument faux car tout croyant est tenu de prescrire le bien et de proscrire le mal.
Le calife[7] Abou Bakr[8] qu’Allaah le bénisse a dit une fois à des gens qui faisaient cette fausse interprétation : « J’ai entendu le Messager d’Allaah[9] bénédiction et salut d’Allaah sur lui dire : Quand les gens voient faire l’injuste[10] sans mettre fin à son injustice, ils ne sont pas loin de subir un châtiment d’Allaah ».
Ce verset ne s’applique qu’à ceux qui ont combattu vainement autour d’eux pour que règne la Loi d’Allaah et qui l’ont respectée eux-mêmes. Ceux-là seulement sont dégagés de toute responsabilité pour ce que font les autres ».
« Tu ne guides pas qui tu aimes, mais Allaah guide qui Il veut ».[11]
La personne égarée peut-elle retrouver le chemin ?
Peut-elle se réformer ?
Peut-elle s’améliorer ?
Peut-elle devenir meilleure ?
L’Islaam,[12] par la miséricorde[13] d’Allaah, répond favorablement..
Il aide une personne à changer lorsque cette personne le veut, manifeste le désir de s’éloigner de ce qui est blâmable,[14] de suivre ce qui est convenable.[15]
BOU’AZZA
[1] La personne peut bien sûr ne pas être de la famille.
[2] Alhayaate addoneyaa.
[3] Assabr (le « r » roulé).
[4] Alqoraane (Le Coran), sourate 5 (chapitre 5), Almaa-ida, La Table, Le Festin, aayate 105 (verset 105).
Salah Eddine Kechrid (Salaah Addiine Kachriid), traduction du Qoraane (Coran), Loubnane (Liban), Bayroute (Beyrouth), éditions Daar Algharb Alislaami, cinquième édition, 1410 (1990), première édition, 1404 (1984).
Note en bas de la page 158.
[5] Le « r » roulé.
[6] Le « r » roulé.
[7] Alkhaliifa.
[8] Le « r » roulé.
[9] Mohammad, l’ultime Messager et Prophète sur lui la bénédiction et la paix.
[10] Ce qui est blâmable, condamnable.
[11] Alqoraane (Le Coran), sourate 28 (chapitre 28), Alqaças, Le Récit, aayate 56 (verset 56).
[12] L’Islaam depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de pays, de nationalité, d’Etat (le fait qu’un État ne soit pas fondé sur l’islaam, ne signifie nullement que les croyants et les croyantes installés dans une contrée ayant un tel État, ne font pas de leur mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande).
L’Islaam c’est ce qui unit les croyants et les croyantes où qu’ils soient, sur la base du Message d’Allaah, Le Seigneur des univers.
Alqoraane est la continuation, la synthèse, le parachèvement du Message d’Allaah, L’Unique.
Mohammad, l’ultime Messager et Prophète sur lui la bénédiction et la paix, a eu pour mission de le transmettre.
[13] Rahma (le « r » roulé).
[14] Monekar (le « r » roulé).
[15] Ma’rouf (le « r » roulé).
Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :
http://raho.over-blog.com
http://paruredelapiete.blogspot.com
http://ici-bas-et-au-dela.blogspot.com
http://laroutedelafoi.blogspot.com
http://voyageur-autre.blogspot.com
http://lmslm.blogspot.com
http://iimaane.blogspot.com
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com
Parfois, éviter de prendre en considération des comportements néfastes, vise à préserver ce qui semble important à préserver.
Malheureusement, ce souci est souvent perçu comme une ignorance de ce qui se passe, une incapacité à agir ou autres, et encourage ceux et celles qui le pensent, à vouloir en tirer profit.
Ceux et celles qui pensent ainsi, sont des personnes préoccupées avant tout par leur ego, par leur nombrilisme, par le désir de ne faire qu’à leur tête.
Et alors ?
Alors, il y a lieu de rappeler d’abord que lors de notre parcours dans la vie ici-bas,[2] nous avons des relations avec de multiples personnes dans d’innombrables domaines, durant un temps variable, dans un espace qui change.
Quelle est la nature de ces relations ?
La nature de ces relations diffère selon les personnes.
Il est vrai qu’avec certaines, ces relations sont difficiles, nécessitent de l’endurance,[3] afin qu’elles soient maintenues.
Souvent, en dépit d’immenses efforts pour rendre ces relations constructives, le résultat souhaité n’est pas au rendez-vous.
Que faire alors ?
« Ô vous qui croyez ! Vous êtes responsables de vous-mêmes. Celui qui s’égare ne vous cause pas de tort si vous avez suivi la bonne voie. À Allaah est votre retour tous et Il vous informera de ce que vous faisiez ».[4]
Dans sa traduction du Qoraane,[5] Kachriid[6] note que « certains se basent à tort sur ce verset pour croire qu’ils ne sont tenus que de suivre eux-mêmes la loi d’Allaah sans se préoccuper de ce qui se fait autour d’eux. Cela est absolument faux car tout croyant est tenu de prescrire le bien et de proscrire le mal.
Le calife[7] Abou Bakr[8] qu’Allaah le bénisse a dit une fois à des gens qui faisaient cette fausse interprétation : « J’ai entendu le Messager d’Allaah[9] bénédiction et salut d’Allaah sur lui dire : Quand les gens voient faire l’injuste[10] sans mettre fin à son injustice, ils ne sont pas loin de subir un châtiment d’Allaah ».
Ce verset ne s’applique qu’à ceux qui ont combattu vainement autour d’eux pour que règne la Loi d’Allaah et qui l’ont respectée eux-mêmes. Ceux-là seulement sont dégagés de toute responsabilité pour ce que font les autres ».
« Tu ne guides pas qui tu aimes, mais Allaah guide qui Il veut ».[11]
La personne égarée peut-elle retrouver le chemin ?
Peut-elle se réformer ?
Peut-elle s’améliorer ?
Peut-elle devenir meilleure ?
L’Islaam,[12] par la miséricorde[13] d’Allaah, répond favorablement..
Il aide une personne à changer lorsque cette personne le veut, manifeste le désir de s’éloigner de ce qui est blâmable,[14] de suivre ce qui est convenable.[15]
[1] La personne peut bien sûr ne pas être de la famille.
[2] Alhayaate addoneyaa.
[3] Assabr (le « r » roulé).
[4] Alqoraane (Le Coran), sourate 5 (chapitre 5), Almaa-ida, La Table, Le Festin, aayate 105 (verset 105).
Salah Eddine Kechrid (Salaah Addiine Kachriid), traduction du Qoraane (Coran), Loubnane (Liban), Bayroute (Beyrouth), éditions Daar Algharb Alislaami, cinquième édition, 1410 (1990), première édition, 1404 (1984).
Note en bas de la page 158.
[5] Le « r » roulé.
[6] Le « r » roulé.
[7] Alkhaliifa.
[8] Le « r » roulé.
[9] Mohammad, l’ultime Messager et Prophète sur lui la bénédiction et la paix.
[10] Ce qui est blâmable, condamnable.
[11] Alqoraane (Le Coran), sourate 28 (chapitre 28), Alqaças, Le Récit, aayate 56 (verset 56).
[12] L’Islaam depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de pays, de nationalité, d’Etat (le fait qu’un État ne soit pas fondé sur l’islaam, ne signifie nullement que les croyants et les croyantes installés dans une contrée ayant un tel État, ne font pas de leur mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande).
L’Islaam c’est ce qui unit les croyants et les croyantes où qu’ils soient, sur la base du Message d’Allaah, Le Seigneur des univers.
Alqoraane est la continuation, la synthèse, le parachèvement du Message d’Allaah, L’Unique.
Mohammad, l’ultime Messager et Prophète sur lui la bénédiction et la paix, a eu pour mission de le transmettre.
[13] Rahma (le « r » roulé).
[14] Monekar (le « r » roulé).
[15] Ma’rouf (le « r » roulé).
Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :
http://raho.over-blog.com
http://paruredelapiete.blogspot.com
http://ici-bas-et-au-dela.blogspot.com
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