mardi 15 août 2023

LES SANS CULOTTES


Jupe fendue jusqu’au niveau de la culotte qu’elle ne portait pas, car elle faisait partie des femelles sans-culottes.
Épouse et mère, elle se sentait valorisée,[1] flattée, plus baisable encore, en faisant bander des fournisseurs de bites plus jeunes qu’elle.
Elle s’y apprêtait.
Son maquillage comptait beaucoup.
Le point fort de ce rituel étaient les yeux auxquels elle tenait à imprimer un aspect aguichant.
Pour les lèvres, elle s’appliquait à leur donner une apparence pulpeuse, à en faire un atout d’allèchement, une bouche gourmande.
Sur le visage, elle n’était pas avare de crème anti-âge et y disséminait des scintillants.
La coupe et la coloration des cheveux, devaient renforcer le désir.
Le parfum aussi.
Avant d’être une sans-culotte, elle aimait écarter les jambes et donner, pas seulement à voir, un vagin à l’étroit dans un cache-sexe.
Le vagin, fraîchement épilé, bénéficiait de diverses attentions, et le cache-sexe invitant d’où il débordait, visait à le rendre plus convoitable.
Devenue une sans-culotte, elle offrait un vagin débarrassé du bout de tissu qui était sensé le contenir.
Elle se préoccupait du bas-ventre, et ne négligeait pas le bas du dos qu’elle voulait engageant.
Alcool, joints,[2] musique, danse.
Prélude à la baise sans frontières.
Avec des fournisseurs de bites, des homosexuels, des lesbiennes, des transgenres, des transsexuels, des bisexuels, des hétérosexuels, des suceuses, des suceurs, des masturbateurs, des masturbatrices, des travestis, des gigolos, et autres, la musique avait déclenché son déchaînement, son embrasement, et elle s’était lancée frénétiquement dans la danse.
Lorsque arrivé derrière elle, un jeune fournisseur de bite, marié depuis peu, lui avait posé les mains sur les hanches en reniflant le croupion offert,[3] elle voulait être enculée sans tarder et en pute, l’avait convié au domicile conjugal.
La sodomie faisait partie de ses délices.
Dans des établissements scolaires qu’elle avait fréquentés, elle connaissait des enseignants, des enseignantes, des élèves qui se léchaient, s’adonnaient à des fellations, baisaient.
Elle avait vu la secrétaire et un surveillant se livrer à des enculeries et autres explorations anatomiques, un autre employé, époux et père, à quatre pattes, qui se faisait sodomiser par un élève, pas toujours le même.
Et ainsi, pour elle aussi, la sodomise était devenue un délice.
Délice qu’elle s’offrait au début avec un enseignant qui soutenait que ce qu’il faisait était chaste, avait pour but d’approfondir sa relation avec sa femme.[4]
Il enculait également une enseignante connue pour mettre un doigt sur son vagin et se caresser devant les élèves dont elle retrouvait certains, à tour de rôle, dans des recoins de l’établissement, dans sa voiture, et au domicile conjugal.
En colonies de vacances, elle ne manquait pas de s’offrir le délice de la sodomie, comme à l’occasion de sorties scolaires en autocar, sorties éducatives durant lesquelles des enseignants et des enseignantes se roulaient des pelles,[5] se tripotaient, se pelotaient, et plus.
Elle se livrait à la masturbation en les observant, puis par la suite, à l’arrière de l’autocar, avec d’autres, se perfectionnait en fellations, se faisait lécher, puis sodomisée dans la cabine qui servait de chiottes.
Au retour, les enseignants et les enseignantes retrouvaient épouses et époux pour jouer à la famille.
Dans sa jeunesse, son grand-père paternel était un militant engagé.
Il aimait les atmosphères des campus, la dialectique de la militance, les affrontements à coups de citations, les nuages formés par la fumée des cigarettes et des joints, les mégots partout, les bouteilles d’alcool vides, les couples qui, petit à petit, quittaient le groupe pour aller continuer la dialectique par des ébats sans frontières, sur fond de musique et de cris et chuchotements révolutionnaires, avant de sombrer dans le sommeil, entourés d’écrits de maîtres à penser du moment et d’affiches avant-gardistes.
À sa mort, elle poursuivait des études universitaires et appréciait la même atmosphère pour s’adonner à la baise pratiquement tous les jours.
Devenue épouse et mère, elle savourait d’être pute.[6]
Elle aimait nourrir des échanges sur l’art culinaire, alimentant la culture de la baise sans frontières, vantant des saveurs, détaillant des prémices, insistant sur des préliminaires, mettant des bas-ventres en appétit.
Des échanges qui faisaient saliver, baver, humecter, mouiller, donnaient envie de laper, de mordre, de se délecter, et lui permettaient d’être pénétrée parfois sur une table dans une cuisine où elle se régalait des senteurs de sexe, son parfum préféré, du va et vient de la bite dont elle raffolait et qui, disait-elle, cultivait ses orifices.
Elle s’était déjà donnée à la baise sur cette table, et pas qu’avec des fournisseurs de bites.
Deux de ses collègues de travail, épouses et mères, des sans-culottes, ne juraient que par la baise sans frontières.
L’une, adepte de piercing, était très attirée par les femelles qui se perçaient le sexe et y mettaient un bijou.
Souvent, elle s’habillait de sorte qu’en s’asseyant les jambes écartées, elle offrait à la contemplation un vagin qu’elle savait plus attirant, en raison justement du bijou, et avait le choix entre des bites en érection et des vagins en rut.
Il lui arrivait de se jeter sur les deux, entretenant ainsi la pratique courante de plan à trois et plus.
L’autre, épouse et mère, aimait parader en short moulant sulfureux, ou en pantalon en cuir pour mettre son cul en relief, un haut conçu pour exhiber ses seins, son nombril et autres, des talons aiguilles, un maquillage soigneusement étudié, le tout afin  d’appâter, d’enflammer bites et vagins.
Sa liberté, répétait-elle fièrement, elle la tenait de sa grand-mère maternelle qui était férue de la révolution française[7] et de mai 68.[8]
Sa grand-mère maternelle lui avait expliqué que la révolution française a ouvert à la baise patriotique, et mai 1968 à la baise sans frontières.
Cette collègue ne se séparait jamais d’une bite en bois d’ébène, souvenir, précisait-elle, d’un étudiant qu’elle avait connu durant ses ébats universitaires.
Avec sa robe entièrement déboutonnable devant, sa manière racoleuse de se toucher avec le pousse, l’annulaire sans alliance, de défaire des boutons en haut et en bas de la robe, d’écarter les jambes, l’épouse et mère était plus qu’ouverte à tout, de partout.
Sa voiture servait aussi de baisodrome.
Parfois, après un fournisseur de bite qui avec sa langue déclenchait ses gémissements de délectation, elle embarquait une femelle éprise de baise, qui l’enflammait en la léchant goulûment, et lui rappelait une rencontre dans un train de nuit avec une jeune mariée entreprenante, fougueuse, plus qu’expérimentée, plus qu’accroc au sexe, que rien n’arrêtait, qui caressait, embrassait, léchait comme pas possible.
Elle accueillait dans son véhicule des débauchés mâles et femelles pour qui, avoir d’autres partenaires que l’époux et l’épouse, est un acquis civilisationnel, des valeurs à transmettre, une pratique qui n’est pas incompatible avec le mariage qui en a besoin pour revisiter la chasteté, briser la monotonie, éviter l’ennui, rallumer la flamme, se régénérer, réinventer le couple, découvrir les saveurs du sexe de la liberté, vaincre les interdits obscurantistes, vivre les avancées sociétales en matière de baise sans frontières.
Par moments, au domicile conjugal, elle appréciait, entre autres, d’échanger avec son époux au téléphone, pendant qu’elle masturbait un jeune fournisseur de bite en le préparant à la suite, ou plongeait, en préliminaires, son doigt, le majeur, dans un vagin.
Lorsqu’elle finissait ses échanges téléphoniques, elle s’empressait de sucer avec jouissance, la bite du jeune fournisseur, se la mettait entre les seins, entre les cuisses et ailleurs, ou léchait avec gourmandise le vagin offert.
Son époux, comme tout le monde, n’ignorait pas que c’était une pute.
« Les époux se doivent mutuellement fidélité ».
Un principe parmi d’autres, pour lequel les conjoints s’engagent, le jour des épousailles.
Le mariage ne l’a pas empêché de s’adonner, comme d’innombrables autres, mâles et femelles, à l’adultère.
Adultère ?
Des mâles et des femelles veulent rayer ce mot du vocabulaire.
D’innombrables approches sont abordées avec des développements sur le couple qui n’est pas toujours composé d’un homme et d’une femme mariés.
Il est alors fait référence à différentes formes de couples.
En dehors du couple dit classique, un homme et une femme mariés, il y a le couple formé par un homme et une femme en dehors du mariage, par deux homosexuels, par deux lesbiennes, mariés[9] ou pas, et autres
Il y a également le couple marié, formé par un homme et une femme pour qui l’adultère c’est la tolérance, et leur frénésie des échanges sexuels, une défense de la liberté des mœurs et un combat contre l’intolérance.
Il y a aussi le couple dont l’un ou l’autre des époux, ou les deux, se lancent dans l’adultère, mais en cachette.
Plusieurs disciplines se saisissent de ces différentes situations, et en donnent de multiples interprétations.
Des spécialistes procèdent à des analyses, mettent en valeur ce qu’ils veulent, et prônent la baise sans frontières.
S’agissant de l’épouse et mère, elle s’était mariée pour avoir quelqu’un à qui imputer ses frustrations, ses insatisfactions, ses sautes d’humeur, ses dérives, ses défaillances, ses désordres, ses dérapages, et autres.
Quelqu’un à rendre responsable de ses inconséquences, de ses incohérences, de ses dévoiements, de ses errements, de ses dysfonctionnements, de ses divagations, de ses confusions, de ses déséquilibres.
Quelqu’un à dénigrer, à surnommer ogre.
Comme beaucoup de ceux et de celles qui pensent à l’adultère, qui s’y adonnent, elle accusait l’époux de tous les maux pour se complaire dans la baise sans frontières.
Sur son lieu de travail,[10] des débauchés mâles et femelles se roulaient des pelles, se tripotaient, se faisaient des fellations, se léchaient, s’aménageaient des moments pour se livrer à des enculeries, procédaient à des explorations anatomiques, baisaient dans des bureaux, dans des recoins, dans des chiottes, dans des voitures,[11] et n’importe où.
Deux à trois fois par semaine, elle se rendait à une salle de sport où elle avait ses habitudes.
Après la séance des abdos-fessiers, elle rejoignait un jeune fournisseur de bite qui l’attendait dans le jacuzzi, afin d’aller ensemble à la douche où elle voulait garder la bite dans son derrière insatiable et aussi l’avoir dans son vagin boulimique, la sentir entre ses seins, entre ses cuisses, la prendre dans ses mains expertes pour la masser, la masturber, la mettre encore et encore dans sa bouche vorace de suceuse réputée auprès de beaucoup, parmi lesquels des époux et pères qu’elle a sucés, y compris au domicile conjugal des uns, des autres, et du sien.
En regagnant le sien, elle jouait aussi, comme d’innombrables autres, à l’épouse, à la mère.
Elle aimait également emmener à l’hôtel un baiseur à qui elle avait roulé des pelles suite à une danse, puis sur le banc d’un parc, et dans sa voiture.
Depuis un certain temps, il avait cessé de baiser dans des caves délabrées d’une cité[12] de banlieue, et participait dans des lieux qu’il ne connaissait pas, à des rencontres où il se tapait des épouses et des époux qui se jetaient sur sa bite.
Dans un coin de la chambre d’hôtel, penchée vers l’avant, prenant appui sur un meuble, elle exhibait son cul qu’il léchait avidement, pendant qu’elle fixait le mur sur lequel trônait une copie du tableau de Gustave Courbet, « l’Origine du Monde », représentant une femelle nue, allongée sur le dos, les jambes écartées, offrant son vagin avec sa toison pubienne.
Une de ses connaissances, une sans-culotte qui gambergeait sans cesse entre les cuisses, fréquentait le même hôtel.
Elle était coach[13] en relations de couples, et oeuvrait, répétait-elle, pour que le sexe se cultive.
Avec des clients et des clientes, avant chaque séance, elle veillait à mettre en évidence des affiches dans la chambre d’hôtel où elle recevait.
Des affiches d’elle se masturbant, masturbant un jeune fournisseur de bite, léchant un vagin, accueillant une bite dans le derrière, et autres.
En peignoir transparent, elle débutait ses séances par un rappel de postures, puis s’adonnait, tout de suite après, à une pénétrante méditation, qu’elle appelait copulation pour anticiper les avancées en matière de sexe, et ouvrir de nouvelles voies d’accouplement.
Elle aimait s’attarder avec un habitué, un jeune fournisseur de bite, marié depuis peu, qui prenait son temps pour siroter plus d’un whisky, avant la baise.
En lingerie fine, sans culotte, avec un porte-jarretelle, elle augmentait le son de la musique qui contribuait à l’ouvrir de partout, se posait sur le lit après avoir fumé un joint, passait les ongles de ses doigts de pieds au vernis rouge, attendait un moment, se dévêtait en gardant le porte-jarretelle, puis se mettait à quatre pattes.
Humant l’odeur de la femelle en rut, il arrivait par derrière, la soulevait au niveau de sa bite et l’enculait.
Pour elle, le va et vient de la bite faisait de ce moment le top de l’enculade.
Il s’asseyait ensuite sur un fauteuil face à un grand miroir, la mettait sur ses genoux, et jouissait du cadencement stimulant, et de l’image dans le miroir.
Et tout en la gardant sur ses genoux, il la tournait pour l’avoir de face, lui fourrait sa langue dans sa bouche vorace de suceuse insatiable, et sa bite dans son vagin boulimique.
La baise, encore la baise, toujours la baise.
L’épouse et mère se rendait, assez fréquemment, dans un lieu où elle continuait à n’écouter que ses pulsions, à ne suivre que ses impulsions, à ne faire qu’à sa tête.
Au milieu des effluves qu’elle connaissait et appréciait, des senteurs de sexe, son parfum préféré dont elle se délectait, du va et vient de la bite dont elle raffolait et qui, disait-elle, cultivait ses orifices, elle suçait, léchait, se faisait lécher, pénétrer de partout, se régalait en léchant l’entrejambe voluptueux d’une épouse, pendant que l’époux de celle-ci l’enculait.
Comme elle, les sans-culottes qui s’y rendaient et d’autres, ne cherchaient pas que des mâles.
Parmi les tenues inattendues lors de ces rencontres, des modèles de maillots de bain stylés, sensés contribuer à rendre certaines femelles plus baisables, avaient eu leur heure de gloire.
Avec l’une de ces femelles, un fournisseur de bite explorait des étendues qui, sans être vierges, avaient encore un certain attrait.
Très expressive, elle ne taisait pas son ravissement.
De multiples endroits sont utilisés pour se rouler des pelles, se tripoter, se faire des fellations, se lécher, aménager des rendez-vous afin de se livrer à des enculeries et autres explorations anatomiques, baiser, encore baiser, toujours baiser, dans des logements, dans des voitures, dans divers autres moyens de transport, dans des parking, dans des chiottes, dans des clubs de sport, dans des centres de vacances, dans des établissements scolaires, dans des parcs, dans la nature, dans des lieux de travail, dans des endroits culturels, dans des soirées, dans des boîtes de nuit, dans des cafés, dans des bars, dans des restaurants, dans des hôtels, et bien sûr, au domicile conjugal des uns et des autres.
Des enfants[14] des deux sexes, sont incités de mille et une manières, à baiser, à s’adonner à la sodomie, à apprécier les bites dans le derrière, à les vouloir dans le vagin, et autres.
La baise pour tous et pour toutes.
Des fournisseurs de bites, des homosexuels, des lesbiennes, des transgenres, des transsexuels, des bisexuels, des hétérosexuels, des suceuses, des suceurs, des masturbateurs, des masturbatrices, des travestis, des gigolos, et autres, alimentent et entretiennent ces valeurs qui se transmettent, cet acquis civilisationnel.
Ceux et celles qui n’adhèrent pas à ces valeurs, à cet acquis civilisationnel, sont taxés d’obscurantistes dont il faut se débarrasser pour le bonheur de l’humanité.[15]
 
BOU’AZZA
[1] Plus jeune, elle s’exhibait, s’offrait pour être pelotée et plus, parce que c’était valorisant.
Épouse et mère, son attrait pour ce genre de valorisation n’avait pas disparu.
[2] Et autres.
[3] Le mâle qui bandait à l’odeur de la femelle en rut.
Sa bite, disponible pour des orifices à boucher, mâles et femelles, oeuvrait dans beaucoup de domiciles conjugaux où elle était accueillie par des bouches affamées, des vagins boulimiques, des culs insatiables.
Sur le marché du sexe, que des sites internet contribuent à étendre, sa bite était très demandée.
Fournisseur de bite : une réussite dont il n’était pas peu fier.
La demande était telle qu’il ne savait plus où donner de la bite.
Les réseaux sociaux étalent des photos, des vidéos de culs, des vagins, et autres, filmés partout, dans toutes les positions, appelant à la baise sans frontières.
[4] On racontait dans l’établissement que lors du mariage de cet enseignant, en se rendant aux toilettes, un fournisseur de bite s’était arrêté pour fixer la robe de la mariée sous la porte des chiottes qui n’arrivait pas jusqu’en bas, comme c’est parfois le cas dans ces lieux.
Avant la nuit de noces, la mariée s’offrait des préliminaires, s’adonnait à la baise sans frontières avec un ami du marié.
Généreux, ils avaient invité le fournisseur de bite à se joindre à eux.
[5] s’embrasser sur la bouche en s’introduisant mutuellement la langue.
[6] Il y a des putes, y compris parmi des épouses, des mères, des grands-mères, qui rejettent le mot pute et le remplacent par femme libre, libérée, et autres, comme il y a des débauchés mâles, y compris parmi des époux, des pères, des grands-pères, qui rejettent le mot débauché et le remplacent par homme libre, moderne, et autres.
Il est bien connu que dans d’innombrables domaines, des personnes s’évertuent à faire dire aux mots ce qui correspond à ce qui les arrange.
Ce n’est pas nouveau.
[7] 1789 selon le calendrier grégorien,cette révolution a connu officiellement des sans-culottes, mais d’un autre genre.
[8] Mouvement de révolte à une large échelle en France, lancé au mois de mai 1968.
[9] En France et ailleurs, des homosexuels peuvent se marier entre eux, et des lesbiennes entre elles.
[10] Et ailleurs.
[11] Des indices des ébats qui s’y déroulaient, excitaient des mâles et des femelles qui voulaient en laisser aussi, en signe d’exploit.
La voiture de l’épouse et mère, surtout du côté passager, ne manquait pas d’indices qui ne laissaient pas de doute quant à ce qui s’y passait..
[12] Des Habitations dites à Loyers Modérés (H.L.M.) pour personnes reléguées en marge de la ville, qui servent plus particulièrement à entasser des familles issues du processus migratoire né du colonialisme (principalement d’Afrique du Nord et d’autres régions d’Afrique).
[13] Entraîneuse.
[14] Des membres d’une même famille s’envoient en l’air ensemble.
Une sœur copule avec son père, sa mère, son frère.
Une mère le fait avec son fils, sa fille.
Un père encule sa fille, son fils et se fait enculer par celui-ci.
Un fils baise avec sa mère, son père, sa soeur.
[15] Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :
http://raho.over-blog.com
http://paruredelapiete.blogspot.com
http://ici-bas-et-au-dela.blogspot.com
http://laroutedelafoi.blogspot.com
http://voyageur-autre.blogspot.com
http://lmslm.blogspot.com
http://iimaane.blogspot.com
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com
 


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