La
France, métropole colonisatrice, continue de répandre son poison dans les
colonies.
Gonflée d’orgueil et d’arrogance, la métropole débite, encore et encore, les insanités de toujours, les bassesses, les mensonges, les supercheries, maintient un regard de mépris et de haine sur les indigènes[1] des colonies, alimente et entretient l’imposture, selon l’étable de sa loi.[2]
En Afrique par exemple, l’esclavage a fait des ravages, les crimes colonialistes n’ont rien épargné et les régimes mis en place par la supercherie de l’indépendance dans l’interdépendance,[3] et autres,[4] font ce que leurs employeurs leur demandent, afin que le continent[5] reste une décharge d’immondices dans tous les domaines : la merde gicle de partout, nauséabonde.[6]
Les colonies et autres contrées dites du tiers-monde, restent pour les métropoles des réserves de matières premières et de main d’œuvre, des marchés pour tout écouler, des points stratégiques pour les militaires, des terrains d’expérimentations des armements, des lieux de pédophilie et autres loisirs pour touristes, des dépotoirs multiples et variés.
Le système colonialo-impérialo-sioniste dont la France fait partie, alimente et entretient les agressions sans fin, les mensonges, les dissimulations, les falsifications, les supercheries, les tricheries, les tromperies, les manipulations, les faux, et autres.
Les contradictions en son sein, entre ses composantes, ne l’empêchent pas de se maintenir, de continuer à sévir.
Il utilise des armes à tous les niveaux, dans tous les milieux, dans tous les domaines, afin de maintenir ses méfaits.
Il ne se préoccupe pas des conséquences de ses crimes, s’en fout des dégâts occasionnés, même s’il fait parfois semblant de s’étonner des effets dont il est la cause.
Lorsque dans ses colonie d’Afrique, par exemple, la France n’est pas satisfaite des services d’un employé de la colonie, dit chef d’État, chargé de veiller sur les intérêts de la métropole, il est chassé et remplacé par plus servile.
Le Niger, colonie française depuis des lustres, qui subit les sévices et les pillages, pas seulement de l’uranium qui fait de la France une puissance nucléaire, s’est permis de procéder à un coup d’État sans l’autorisation de la France qui se doit de le punir sévèrement et d’agir pour faire triompher la démocratie.
En attendant que des colonies exécutent au Niger ce que désir le système colonialo-impérialo-sioniste, les bavardages vont bon train et les médias, comme d’habitude, alimentent et entretiennent l’imposture.
De quoi s’agit-il ?
Répétons, répétons encore, répétons toujours.
Les États dominants, les patrons, les employeurs, ont mis en place, dans les pays dominés, des systèmes avec des employés pour s’acquitter des tâches qui leur sont assignées, s’ils tiennent à garder leur emploi.
Les missions imparties peuvent évoluer selon les circonstances.
À cet effet, et au fil du temps, des États ont été institués avec des chefs d’État, des Gouvernements, des Parlements et même des Constitutions, ainsi que des élections démocratiques.
Dans ces pays, où les régimes sont abominables, des mises en scène exposent des Constitutions qui prévoient l’élection du chef de l’État au suffrage universel[7] et lui interdisent de faire plus de deux mandats.
C’est mis au vote, et le peuple approuve démocratiquement.
Lorsque l’employé continue de donner satisfaction à l’employeur, la mise en scène se transforme pour qu’à la fin du premier mandat, il fasse un deuxième et même engage la révision de la Constitution pour faire un troisième.
C’est mis au vote et le peuple approuve démocratiquement.
Et quand il donne toujours satisfaction, une autre révision lui permet de faire un quatrième mandat et encore une révision pour un cinquième puis la présidence à vie.
C’est mis au vote et le peuple approuve démocratiquement.
Et l’employeur peut aller jusqu’à la possibilité de passer la succession au fils.
C’est mis au vote et le peuple approuve démocratiquement.[8]
Si le titre de roi est décerné à l’employé, comme c’est le cas dans les parcours d’usurpateurs dits sultans, chefs tribaux ou autres, il est bien sûr dispensé de se faire élire et son fils[9] lui succède si les patrons le décident.
Ce n’est pas mis au vote, mais le peuple applaudit démocratiquement.
Les employés, généralement sanguinaires, tyranniques, débauchés, corrompus, pourris, plongés dans les ténèbres, répètent ce que les patrons leur dictent sur l’organisation des différents groupes de la population, sur l’État, sur la Constitution et autres.
Pour diversifier la pression, les médias des dominants sont chargés de dénoncer les employés des pays dominés, au nom de la liberté d’expression, des droits de l’homme et des multiples principes démocratiques défendus par les dominants.
Ils sont même autorisés, un peu partout, à critiquer les employeurs, pour embrouiller les cartes, ou comme disent les bien-pensants, pour informer et former l’opinion publique.
Les employés sont manipulés à l’échelle internationale, afin de servir les intérêts du système colonialo-impérialo-sioniste qui mobilise d’énormes moyens dans le but de rendre confus ce qui est clair et complexe ce qui est simple.
Et après ?
Les mises en scène, les instrumentalisations, les mensonges, les humiliations, les pillages, les invasions, les massacres, les crimes, les cruautés, les destructions, les exterminations, les impostures, les malveillances, les perfidies, les travestissements, les supercheries, les fourberies, les camouflages, les leurres, les tromperies, les perversions, les trahisons, les viols, les tortures, les abjections, les cynismes et pire encore, continuent.
Mais un jour ou l’autre, les populations qui sont maintenues dans la misère, l’ignorance, qui font face aux pire sévices, aux horreurs, à l’abjection, finiront, ine chaa-e Allaah,[10] par se débarrasser la mafia internationale qui les opprime et leur impose sa volonté.[11]
BOU’AZZA
[1] Appellation arrogante et méprisante donnée par le colonialisme, la métropole, aux populations des territoires colonisés, la colonie.
[2] Les tables de sa loi.
[3] Statut octroyé par le système colonialo-impérialo-sioniste, et qui s’est traduit dans les colonies par la multiplication des États supplétifs, subordonnés avec plus ou moins de zèle, de soumission et de servilité dans l’exécution des ordres des métropoles et autres employeurs.
Ces "États" sont fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture, l’enfermement, la négation de l’être humain.
[4] L’indépendance nationale, la révolution nationale, la révolution populaire, et autres.
[5] Comme d’autres lieux ailleurs.
[6] Les colonies et autres contrées dites du ʺtiers-mondeʺ, restent pour les métropoles des réserves de matières premières et de main d’œuvre, des marchés pour tout écouler, des points stratégiques pour les militaires, des terrains d’expérimentations des armements, des lieux de pédophilie et autres ʺloisirs pour touristesʺ, des dépotoirs multiples et variés.
[7] Il est élu par ses patrons, mais doit faire semblant d’être candidat afin que le peuple vote et que le peuple approuve démocratiquement.
[8] Le peuple peut dénoncer démocratiquement les fraudes.
Les dominants ont mis en place pour lui des voies de recours démocratiques pour lui permettre de combattre les fraudeurs et de faire triompher la démocratie.
[9] Ne vous inquiétez pas pour lui, il arrive à avoir un fils.
Il y a toujours une femme généreuse pour lui en donner un.
[10] Si Allaah veut.
[11] Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :
http://raho.over-blog.com
http://paruredelapiete.blogspot.com
http://ici-bas-et-au-dela.blogspot.com
http://laroutedelafoi.blogspot.com
http://voyageur-autre.blogspot.com
http://lmslm.blogspot.com
http://iimaane.blogspot.com
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com
Gonflée d’orgueil et d’arrogance, la métropole débite, encore et encore, les insanités de toujours, les bassesses, les mensonges, les supercheries, maintient un regard de mépris et de haine sur les indigènes[1] des colonies, alimente et entretient l’imposture, selon l’étable de sa loi.[2]
En Afrique par exemple, l’esclavage a fait des ravages, les crimes colonialistes n’ont rien épargné et les régimes mis en place par la supercherie de l’indépendance dans l’interdépendance,[3] et autres,[4] font ce que leurs employeurs leur demandent, afin que le continent[5] reste une décharge d’immondices dans tous les domaines : la merde gicle de partout, nauséabonde.[6]
Les colonies et autres contrées dites du tiers-monde, restent pour les métropoles des réserves de matières premières et de main d’œuvre, des marchés pour tout écouler, des points stratégiques pour les militaires, des terrains d’expérimentations des armements, des lieux de pédophilie et autres loisirs pour touristes, des dépotoirs multiples et variés.
Le système colonialo-impérialo-sioniste dont la France fait partie, alimente et entretient les agressions sans fin, les mensonges, les dissimulations, les falsifications, les supercheries, les tricheries, les tromperies, les manipulations, les faux, et autres.
Les contradictions en son sein, entre ses composantes, ne l’empêchent pas de se maintenir, de continuer à sévir.
Il utilise des armes à tous les niveaux, dans tous les milieux, dans tous les domaines, afin de maintenir ses méfaits.
Il ne se préoccupe pas des conséquences de ses crimes, s’en fout des dégâts occasionnés, même s’il fait parfois semblant de s’étonner des effets dont il est la cause.
Lorsque dans ses colonie d’Afrique, par exemple, la France n’est pas satisfaite des services d’un employé de la colonie, dit chef d’État, chargé de veiller sur les intérêts de la métropole, il est chassé et remplacé par plus servile.
Le Niger, colonie française depuis des lustres, qui subit les sévices et les pillages, pas seulement de l’uranium qui fait de la France une puissance nucléaire, s’est permis de procéder à un coup d’État sans l’autorisation de la France qui se doit de le punir sévèrement et d’agir pour faire triompher la démocratie.
En attendant que des colonies exécutent au Niger ce que désir le système colonialo-impérialo-sioniste, les bavardages vont bon train et les médias, comme d’habitude, alimentent et entretiennent l’imposture.
De quoi s’agit-il ?
Répétons, répétons encore, répétons toujours.
Les États dominants, les patrons, les employeurs, ont mis en place, dans les pays dominés, des systèmes avec des employés pour s’acquitter des tâches qui leur sont assignées, s’ils tiennent à garder leur emploi.
Les missions imparties peuvent évoluer selon les circonstances.
À cet effet, et au fil du temps, des États ont été institués avec des chefs d’État, des Gouvernements, des Parlements et même des Constitutions, ainsi que des élections démocratiques.
Dans ces pays, où les régimes sont abominables, des mises en scène exposent des Constitutions qui prévoient l’élection du chef de l’État au suffrage universel[7] et lui interdisent de faire plus de deux mandats.
C’est mis au vote, et le peuple approuve démocratiquement.
Lorsque l’employé continue de donner satisfaction à l’employeur, la mise en scène se transforme pour qu’à la fin du premier mandat, il fasse un deuxième et même engage la révision de la Constitution pour faire un troisième.
C’est mis au vote et le peuple approuve démocratiquement.
Et quand il donne toujours satisfaction, une autre révision lui permet de faire un quatrième mandat et encore une révision pour un cinquième puis la présidence à vie.
C’est mis au vote et le peuple approuve démocratiquement.
Et l’employeur peut aller jusqu’à la possibilité de passer la succession au fils.
C’est mis au vote et le peuple approuve démocratiquement.[8]
Si le titre de roi est décerné à l’employé, comme c’est le cas dans les parcours d’usurpateurs dits sultans, chefs tribaux ou autres, il est bien sûr dispensé de se faire élire et son fils[9] lui succède si les patrons le décident.
Ce n’est pas mis au vote, mais le peuple applaudit démocratiquement.
Les employés, généralement sanguinaires, tyranniques, débauchés, corrompus, pourris, plongés dans les ténèbres, répètent ce que les patrons leur dictent sur l’organisation des différents groupes de la population, sur l’État, sur la Constitution et autres.
Pour diversifier la pression, les médias des dominants sont chargés de dénoncer les employés des pays dominés, au nom de la liberté d’expression, des droits de l’homme et des multiples principes démocratiques défendus par les dominants.
Ils sont même autorisés, un peu partout, à critiquer les employeurs, pour embrouiller les cartes, ou comme disent les bien-pensants, pour informer et former l’opinion publique.
Les employés sont manipulés à l’échelle internationale, afin de servir les intérêts du système colonialo-impérialo-sioniste qui mobilise d’énormes moyens dans le but de rendre confus ce qui est clair et complexe ce qui est simple.
Et après ?
Les mises en scène, les instrumentalisations, les mensonges, les humiliations, les pillages, les invasions, les massacres, les crimes, les cruautés, les destructions, les exterminations, les impostures, les malveillances, les perfidies, les travestissements, les supercheries, les fourberies, les camouflages, les leurres, les tromperies, les perversions, les trahisons, les viols, les tortures, les abjections, les cynismes et pire encore, continuent.
Mais un jour ou l’autre, les populations qui sont maintenues dans la misère, l’ignorance, qui font face aux pire sévices, aux horreurs, à l’abjection, finiront, ine chaa-e Allaah,[10] par se débarrasser la mafia internationale qui les opprime et leur impose sa volonté.[11]
BOU’AZZA
[1] Appellation arrogante et méprisante donnée par le colonialisme, la métropole, aux populations des territoires colonisés, la colonie.
[2] Les tables de sa loi.
[3] Statut octroyé par le système colonialo-impérialo-sioniste, et qui s’est traduit dans les colonies par la multiplication des États supplétifs, subordonnés avec plus ou moins de zèle, de soumission et de servilité dans l’exécution des ordres des métropoles et autres employeurs.
Ces "États" sont fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture, l’enfermement, la négation de l’être humain.
[4] L’indépendance nationale, la révolution nationale, la révolution populaire, et autres.
[5] Comme d’autres lieux ailleurs.
[6] Les colonies et autres contrées dites du ʺtiers-mondeʺ, restent pour les métropoles des réserves de matières premières et de main d’œuvre, des marchés pour tout écouler, des points stratégiques pour les militaires, des terrains d’expérimentations des armements, des lieux de pédophilie et autres ʺloisirs pour touristesʺ, des dépotoirs multiples et variés.
[7] Il est élu par ses patrons, mais doit faire semblant d’être candidat afin que le peuple vote et que le peuple approuve démocratiquement.
[8] Le peuple peut dénoncer démocratiquement les fraudes.
Les dominants ont mis en place pour lui des voies de recours démocratiques pour lui permettre de combattre les fraudeurs et de faire triompher la démocratie.
[9] Ne vous inquiétez pas pour lui, il arrive à avoir un fils.
Il y a toujours une femme généreuse pour lui en donner un.
[10] Si Allaah veut.
[11] Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :
http://raho.over-blog.com
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