« L’État »
qui sévit en Égypte,[1] avec des
militaires mis à sa « tête » depuis « l’indépendance dans
l’interdépendance »,[2] veille à
découvrir régulièrement ce qui alimente et entretient l’adoration pharaonique.
Les
employés du système colonialo-impérialo-sioniste mis à la « tête » de
cet « État », font tout afin que la manne que cela génère augmente
sans cesse.
Parmi
les populations, d’innombrables personnes sont au service du pharaonisme.
Cet
« État » dit « musulman »[3] fait du
pharaonisme, un fondement de ses recettes.
Dès
que la manne baisse, une découverte pharaonique est annoncée par ces employés, dont
la réserve des découvertes de cette nature, a de quoi répondre aux attentes des
adorateurs.
C’est
donc dans ce cadre qu’il faut situer la découverte pharaonique qui vient d’être
annoncée.[4]
BOUAZZA
[1]
Miçr (le ʺrʺ roulé).
[2] Statut
octroyé par le système colonialo-impérialo-sioniste, et qui s’est traduit dans
les colonies par la multiplication des "États" supplétifs,
subordonnés avec plus ou moins de zèle, de soumission et de servilité dans
l’exécution des ordres des métropoles et autres employeurs.
Ces
"États" sont fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la
tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge,
le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture,
l’enfermement, la négation de l’être humain.
[3]
Aujourd’hui, et depuis des lustres, l’État (ou une institution
semblable, appelée autrement) des croyants et des croyantes (almouminoune wa
almouminaate) n’existe plus, nulle part.
Les
ʺÉtats″ qui prétendent l’être sont fondés sur l’imposture, le crime, la
trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche,
le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la
torture, l’enfermement et la négation de l’être humain.
L’Islaam les dénonce, les rejette, les condamne, les
combat.
L’État
des croyants et des croyantes n’existe plus, nulle part, mais les membres de la
communauté (alomma, la matrie) des croyants et des croyantes sont partout et
seront partout, par la miséricorde d’Allaah, jusqu’à la fin de l’existence
ici-bas.
[4] Deux statues, découvertes dans la banlieue du Caire
(Alqaahira, le ʺrʺ roulé), le vendredi 10 mars 2017 (selon le calendrier dit
grégorien).
Voir :
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire