samedi 6 mai 2017

LE DÉFUNT INDIGÈNE


Oublions un bref instant, même si c’est difficile pour beaucoup, face à la débauche de moyens mis en oeuvre pour continuer à alimenter et à entretenir la pollution des cerveaux, oublions donc le « macronisme »[1] envahissant et qui, sous diverses appellations n’a jamais cessé de dégouliner partout, et pensons un moment à un défunt indigène qui a fait ce qu’il a pu pour passer son temps ici-bas, à mille et un lieux du réchauffé servi sans modération aux zéles cteurs[2] et au zélées ctrices.[3] :
« J’ai toujours été animé par quatre passions : le besoin d’amour, la soif de la connaissance lucide et directe, la passion de la liberté, pour moi-même et pour les autres, et enfin la participation à la souffrance d’autrui ».[4]



L’établissement scolaire Mouçaa Ibn Noçaïr (le ʺrʺ roulé) où j’ai passé quelques années, à Lkhmiçaate (Khémisset), au Mghrib (le ʺrʺ roulé), Maroc.
[1] Référence à Macron qui va être proclamé président de la République en France.
[2] Aux électeurs.
[3] Aux électrices.
[4] Driss Chraïbi, Idriis Achchraaïbii (les ʺrʺ roulés).
Une phrase de 1967 (selon le calendrier dit grégorien).
L’écrivain est mort en 2007.
Telquel, 1er mai 2017 (internet).

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