« Accroupi sur les talons, les aisselles sur les
genoux, Raho contemplait les étoiles. Elles étaient très lointaines, mais leur
lumière était chaude, il le savait. […] Ces étoiles étaient là, dans le ciel,
depuis qu’il avait ouvert les yeux au monde, les mêmes étoiles assurément, hors
du temps, chacune d’elles poursuivant son destin vers un but déterminé ».[1]
[1] Driss
Chraïbi, Idriis Achchraaïbii (les ʺrʺ roulés), Une
enquête au pays, Paris, éditions du
Seuil, 1981, P.82-83).
Je
ne fais que reprendre ce que j’ai déjà cité.
Voir :
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com
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