La
France,[1]
métropole colonisatrice, continue de répandre son poison dans les colonies et
en métropole, où des populations originaires de ces colonies et issues du
processus migratoire, les indigènes de France, doivent mener des luttes
incessantes contre ce poison.
Indigènes.
Cette appellation arrogante et méprisante utilisée par le colonialisme, la métropole, pour parler des populations des territoires colonisés, la colonie, est toujours d’actualité en France même.
Les indigènes de France ne cessent de faire face à de multiples injustices et agressions, qui n’épargnent pas ceux et celles qui ont obtenu la nationalité française.
La énième exécution par un policier d’un jeune le mardi 27 juin 2023,[2] vient, encore une fois, souligner cette vérité et confirmer que les innombrables agressions que subissent les indigènes de France, continuent.
Indigènes.
Cette appellation arrogante et méprisante utilisée par le colonialisme, la métropole, pour parler des populations des territoires colonisés, la colonie, est toujours d’actualité en France même.
Les indigènes de France ne cessent de faire face à de multiples injustices et agressions, qui n’épargnent pas ceux et celles qui ont obtenu la nationalité française.
La énième exécution par un policier d’un jeune le mardi 27 juin 2023,[2] vient, encore une fois, souligner cette vérité et confirmer que les innombrables agressions que subissent les indigènes de France, continuent.
Les mots accompagnent les
autres moyens et s’avèrent souvent aussi dangereux, aussi terribles.
Des chroniqueurs et des chroniqueuses, salariés de détenteurs de médias dont ils exécutent les ordres,[3] déversent leurs ordures, des mots salis, enlaidis, abîmés, falsifiés, contaminés, détournés, souillés, trahis, dénaturés, pourris, pour grossir le flot des maux.
Ils se contorsionnent dans tous les sens afin de consolider le faux.
Les imposteurs, à l’œuvre depuis des lustres, ont toujours usé d’une diarrhée verbale concernant leurs crimes.
Tout le monde sait qu’à travers le temps et l’espace, des imposteurs à divers niveaux, ont cherché à faire passer des vessies pour des lanternes.
Et de tout temps, les mots ont occupé une place de choix dans cette entreprise.
Les imposteurs ont toujours falsifié les mots pour les utiliser comme des armes de destruction massive.
Ils mobilisent tous les moyens dont ils peuvent disposer pour faire dire aux mots ce qui correspond à ce qui les arrange.
Ils ne cessent de parler de « droits de l’homme », et nient la violation des droits humains à laquelle ils ne cessent de recourir.
Ils « varient » les bavardages sur « la lutte pour le bien de l’humanité », afin de camoufler leur soif d’imposer partout leur domination.
Ils sont arrivés par des mots truqués à faire passer pour du « progrès », leurs crimes contre l’humanité.
Le pire dans ce domaine, c’est que des individus dominés, reprennent servilement ces bavardages qu’ils utilisent pour se donner une contenance dite de « civilisés », d’« évolués », de « cultivés », de « modernes », conformément aux souhaits de leurs dominateurs.
Des serpillières adorant les semelles qui les foulent.
Et ces serviles, à divers niveaux, se mettent à déverser leur puanteur qui rejoint celle de leurs maîtres, pour se répandre partout.
L’imposture, encore l’imposture, toujours l’imposture.
Lorsque le recours à certains mots est dénoncé, les imposteurs parlent de « dérapage », de « malentendu », de « mauvaise interprétation », de « dégât collatéral », et font semblant de « s’offusquer » des effets de ce dont ils sont la cause.
Mais en réalité, ils sont toujours plus que satisfaits de leurs crimes.
La métropole ne recule devant rien.
Elle calomnie, travestie, dénigre, diffame, salit, humilie, maltraite, écrase, détruit, élimine, extermine.[4]
BOU’AZZA
[1] Et ailleurs.
[2] Selon le calendrier dit grégorien.
[3] Cela n’empêche pas un véritable tapage d’être entretenu pour répandre que des journalistes et autres sont « au service de la vérité ».
[4] Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé plus d’une fois.
Voir :
http://raho.over-blog.com
http://paruredelapiete.blogspot.com
http://ici-bas-et-au-dela.blogspot.com
http://laroutedelafoi.blogspot.com
http://voyageur-autre.blogspot.com
http://lmslm.blogspot.com
http://iimaane.blogspot.com
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com
Des chroniqueurs et des chroniqueuses, salariés de détenteurs de médias dont ils exécutent les ordres,[3] déversent leurs ordures, des mots salis, enlaidis, abîmés, falsifiés, contaminés, détournés, souillés, trahis, dénaturés, pourris, pour grossir le flot des maux.
Ils se contorsionnent dans tous les sens afin de consolider le faux.
Les imposteurs, à l’œuvre depuis des lustres, ont toujours usé d’une diarrhée verbale concernant leurs crimes.
Tout le monde sait qu’à travers le temps et l’espace, des imposteurs à divers niveaux, ont cherché à faire passer des vessies pour des lanternes.
Et de tout temps, les mots ont occupé une place de choix dans cette entreprise.
Les imposteurs ont toujours falsifié les mots pour les utiliser comme des armes de destruction massive.
Ils mobilisent tous les moyens dont ils peuvent disposer pour faire dire aux mots ce qui correspond à ce qui les arrange.
Ils ne cessent de parler de « droits de l’homme », et nient la violation des droits humains à laquelle ils ne cessent de recourir.
Ils « varient » les bavardages sur « la lutte pour le bien de l’humanité », afin de camoufler leur soif d’imposer partout leur domination.
Ils sont arrivés par des mots truqués à faire passer pour du « progrès », leurs crimes contre l’humanité.
Le pire dans ce domaine, c’est que des individus dominés, reprennent servilement ces bavardages qu’ils utilisent pour se donner une contenance dite de « civilisés », d’« évolués », de « cultivés », de « modernes », conformément aux souhaits de leurs dominateurs.
Des serpillières adorant les semelles qui les foulent.
Et ces serviles, à divers niveaux, se mettent à déverser leur puanteur qui rejoint celle de leurs maîtres, pour se répandre partout.
L’imposture, encore l’imposture, toujours l’imposture.
Lorsque le recours à certains mots est dénoncé, les imposteurs parlent de « dérapage », de « malentendu », de « mauvaise interprétation », de « dégât collatéral », et font semblant de « s’offusquer » des effets de ce dont ils sont la cause.
Mais en réalité, ils sont toujours plus que satisfaits de leurs crimes.
La métropole ne recule devant rien.
Elle calomnie, travestie, dénigre, diffame, salit, humilie, maltraite, écrase, détruit, élimine, extermine.[4]
[1] Et ailleurs.
[2] Selon le calendrier dit grégorien.
[3] Cela n’empêche pas un véritable tapage d’être entretenu pour répandre que des journalistes et autres sont « au service de la vérité ».
[4] Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé plus d’une fois.
Voir :
http://raho.over-blog.com
http://paruredelapiete.blogspot.com
http://ici-bas-et-au-dela.blogspot.com
http://laroutedelafoi.blogspot.com
http://voyageur-autre.blogspot.com
http://lmslm.blogspot.com
http://iimaane.blogspot.com
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com