Elle
se maquillait longuement.
Le point fort de ce rituel étaient les yeux auxquels elle tenait à imprimer un aspect aguichant.
Pour les lèvres, elle s’appliquait à leur donner une apparence pulpeuse, à en faire un atout d’allèchement, une bouche gourmande.
Sur le visage, elle n’était pas avare de crème anti-âge et y disséminait des scintillants.
Le parfum participait au feu du désir.
Et les seins n’étaient pas négligés.
Par la coupe et la coloration récentes des cheveux, elle voulait conduire des jeunes fournisseurs de bites à la trouver baisable.
Le vagin qu’elle s’était mise à épiler soigneusement depuis peu, bénéficiait d’autres attentions et la petite culotte invitante d’où il débordait, visait à le rendre plus convoitable.
Comme le bas-ventre, le bas du dos devait faire bander, contribuer à alimenter des appétits.
Elle savourait d’être pute et, apprêtée, n’oubliait pas de se débarrasser de son alliance avant d’aller au travail.
En regagnant le domicile conjugal, elle jouait à l’épouse, à la mère.[1]
BOU’AZZA
[1] Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :
http://raho.over-blog.com
http://paruredelapiete.blogspot.com
http://ici-bas-et-au-dela.blogspot.com
http://laroutedelafoi.blogspot.com
http://voyageur-autre.blogspot.com
http://lmslm.blogspot.com
http://iimaane.blogspot.com
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com
Le point fort de ce rituel étaient les yeux auxquels elle tenait à imprimer un aspect aguichant.
Pour les lèvres, elle s’appliquait à leur donner une apparence pulpeuse, à en faire un atout d’allèchement, une bouche gourmande.
Sur le visage, elle n’était pas avare de crème anti-âge et y disséminait des scintillants.
Le parfum participait au feu du désir.
Et les seins n’étaient pas négligés.
Par la coupe et la coloration récentes des cheveux, elle voulait conduire des jeunes fournisseurs de bites à la trouver baisable.
Le vagin qu’elle s’était mise à épiler soigneusement depuis peu, bénéficiait d’autres attentions et la petite culotte invitante d’où il débordait, visait à le rendre plus convoitable.
Comme le bas-ventre, le bas du dos devait faire bander, contribuer à alimenter des appétits.
Elle savourait d’être pute et, apprêtée, n’oubliait pas de se débarrasser de son alliance avant d’aller au travail.
En regagnant le domicile conjugal, elle jouait à l’épouse, à la mère.[1]
[1] Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :
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