Décrétée en France par le gouvernement de gauche sous le règne de François Mitterrand,[1] la fête de la musique fixée au 21 juin, va répandre, comme d’habitude et comme c’est le cas durant d’autres soirées, dans divers lieux du pays, l’odeur de sexe.
Alcool, joints,[2] musique, danse.
Préambule à la baise sans frontières
Des débauchés mâles et femelles se rouleront des pelles,[3] se tripoteront, se feront des fellations, se lécheront, s’aménageront des moments pour se livrer à des enculeries, procéderont à des explorations anatomiques, baiseront dans divers recoins, dans des chiottes, dans des parcs, dans des parking, dans des voitures, et n’importe où.
Des lesbiennes, des homosexuels, des bisexuels, des hétérosexuels, des suceuses, des suceurs, des masturbateurs, des masturbatrices, des travestis, des gigolos, et autres, continueront de veiller sur ces valeurs, sur cet acquis civilisationnel.
[1] Installé sur le trône du palais de l’Élysée de 1981 à 1995, selon le calendrier dit grégorien.
Au temps où l’armée colonialiste de France massacrait des populations un peu partout, cet individu avait à un moment le fauteuil moelleux de ministre de l’intérieur.
Il soutenait que la seule négociation avec les populations colonisées était leur élimination, et qu’un bon arabe, ( musulman pour lui) est un arabe (c’est à dire un musulman) mort.
Installé plus tard comme président de la République, il répétait à qui voulait entendre, qu’il allait changer la vie, mais que pour cela, il fallait laisser le temps au temps.
Comme ses semblables de droite, il n’a jamais déçu ses employeurs, les imposteurs d’hier, d’aujourd’hui, de demain.
[2] Et autres.
[3] S’embrasseront en s’introduisant mutuellement la langue dans la bouche.
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