Le Livre, c’est le Message d’Allaah.
Le Message d’Allaah depuis Aadame[1] jusqu’à Mohammad sur eux la bénédiction et la paix, est Un.
C’est le même Message.
Il concerne les univers.
Les Prophètes et les Messagers sur eux la bénédiction et la paix, ont tous eu pour mission de transmettre ce qui leur a été révélé par Allaah.
La multiplicité des révélations se rapporte aux diverses étapes du Message et met en relief son essence qui est l’unicité.
Attawhiid :
Laa Ilaah illaa Allaah.
Il n’y a de Divinité qu’Allaah.
Il n’y a d’Allaah qu’en Allaah.
L’Islaam par conséquent, n’est pas né à l’époque où Mohammad, l’ultime Messager et Prophète sur lui la bénédiction et la paix, a commencé la mission qui lui a été confiée par Allaah.
Un Prophète[2] sur lui la bénédiction et la paix, est quelqu’un qui a reçu d’Allaah la mission de rappeler ce qui a été précisé auparavant dans le Message d’Allaah.
Un Messager[3] sur lui la bénédiction et la paix, est quelqu’un qui a reçu d’Allaah la mission de rappeler ce qui a été précisé auparavant dans le Message d’Allaah et de transmettre une législation nouvelle, dans la continuité du Message d’Allaah.
Un Messager, sur lui la bénédiction et la paix, est en même temps un Prophète, sur lui la bénédiction et la paix.
Le Livre, c’est Alqoraane.[4]
Dans sa traduction du Qoraane, Kachriid[5] note que les anciennes Écritures étaient des codes transitoires qui devaient tous être abrogés par les révélations suivantes.
Alqoraane étant la forme définitive et parfaite du Livre, Allaah a pris en charge de le sauvegarder jusqu’à la fin du monde ; tandis que tous les autres Livres ont été plus ou moins défigurés, Alqoraane est resté intact, tel qu’il a été révélé à Mohammad, l’ultime Messager, et Prophète sur lui la bénédiction et la paix.[6]
« Lis au nom de ton Seigneur qui a créé. Qui a crée l’Homme[7] d’une adhérence.[8] Lis et ton Seigneur Le Très Généreux.[9] Qui a enseigné par alqalam.[10] A enseigné à l’Homme ce qu’il ne savait pas ».[11]
Dans sa traduction du Qoraane, Kachriid note que ce verset est le premier verset révélé du Livre.
Il est notoire de constater que la première exhortation du Qoraane recommande de lire car la lecture est le symbole de l’étude et de la recherche scientifique.
On lit aussi bien dans Alqoraane que dans le grand livre de la nature que nous traduisons dans nos sciences dites exactes.[12]
Les musulmans et les musulmanes,[13] les croyants et les croyantes[14] font de leur mieux pour lire Alqoraane et approfondir leur connaissance du Message d’Allaah.
D’après Ibn Mas’oud, qu’Allaah le bénisse, le Messager d’Allaah[15] sur lui la bénédiction et la paix, a dit :
« Celui qui récite[16] une seule lettre du Livre d’Allaah[17] aura une récompense[18] qui sera multipliée par dix. Je ne dis pas que « alm »[19] est une lettre, mais que « a »[20] est une lettre, « l »[21] est une lettre, et « m »[22] est une lettre ».[23]
BOU’AZZA
[1] Adam sur lui la bénédiction et la paix.
[2] Nabiyy.
[3] Raçoul (le « r » roulé).
[4] Le « r » roulé),
[5] Le « r » roulé),
[6] Salah Eddine Kechrid (Salaah Addiine Kachriid), traduction du Qoraane (Coran), Loubnaane (Liban), Bayroute (Beyrouth), éditions Daar Algharb Alislaamii, cinquième édition, 1410 (1990), première édition, 1404 (1984). Note en bas de la page 338.
[7] L’être humain, alineçaane.
[8] Qui a créé l’être humain de quelque chose qui s’accroche.
Kachriid note que le mot arabe « ’alaq » veut dire « quelque chose qui s’accroche ». On peut considérer que c’est l’oeuf fécondé qui se fixe aux parois de l’utérus maternel.
Ce même mot veut dire aussi sangsue dans ce même ordre d’idée de fixation et de succion. Mais, en examinant de près l’anatomie d’une sangsue, on est frappé par sa simplicité extrême qui la rend absolument identique à celle d’une simple cellule. C’est pourquoi nous sommes très enclin à traduire ici par « cellules » ou du moins « sangsues ». Les premiers exégètes traduisent par « caillot de sang" mais nous ne partageons pas leur avis.
Salaah Addiine Kachriid (Salah Eddine Kechrid), op.cit, note en bas des page 814.
[9] Lis ! Ton Seigneur est Le Très Noble.
[10] Par le calame, par la plume, avec la plume.
[11] Alqoraane (le Coran), sourate 96 (chapitre 96), Al’alaq, L’Adhérence, aayate 1 à aayate 5 (verset 1 au verset 5).
[12] Salah Eddine Kechrid (Salaah Addiine Kachriid). ibid, note en bas des page 814.
[13] Almoslimoune wa almoslimaate.
[14] Almouminoune wa almouminaate.
[15] Mohammad, l’ultime Messager et Prophète sur lui la bénédiction et la paix
[16] Qui lit.
[17] Alqoraane.
[18] Haçana.
[19] Aliflaamemiime.
Kachriid souligne que « A.L.M. ». (Alif. Laame. Miime), « les trois lettres énigmatiques qui forment le premier verset du chapitre 2 d’Alqoraane, sont l’un des mystères du Qoraane.
Certains disent qu’Allaah veut nous signifier ainsi qu’Alqoraane a été réalisé dans toute sa splendeur et sa perfection à partir des simples lettres de l’alphabet.
D’autres y trouvent des symboles qui auraient leur signification dans la langue syriaque.
D’autres enfin veulent les interpréter par la valeur numérique attribuée à chacune des lettres de l’alphabet.
Disons tout simplement que notre esprit n’arrivera jamais à épuiser tous les sens cachés de ce Livre sacré qui, selon un fameux hadith « sera ressuscité vierge le jour du jugement dernier » (yob’ath haadaa lkitaab yawma alqiyaama bikrane) ».
Pour le verset 1, du chapitre 20, il ajoute que « la tradition veut que « Ta-Ha » et « Ya-Sine » soient des appellations élogieuses données par Allaah à Son Prophète Mohammad, sur lui la bénédiction et la paix ».
Salah Eddine Kechrid (Salaah Addiine Kachriide), ibid, notes en bas des pages 2 et 406.
« Ta-Ha » c’est en fait les deux lettres « T-H » vocalisées (usage d’achchakl en langue arabe).
Dans d’autres chapitres la prononciation intervient aussi, comme dans « Ya-Sine » (Ya-e-Siine), « Y-S ».
Il en est ainsi dans plusieurs chapitres du Livre.
Mohammad Hamiid Allaah (Muhammad Hamidullah) précise dans sa traduction du Qoraane que « les sourates 2, 3, 7, 10, 11, 12, 13, 14, 15, 19, 20, 26, 27, 28, 29, 30, 31, 32, 36, 38, 40, 41, 42, 43, 44, 45, 46, 50 et 68 commencent non par des mots, mais par des lettres de l’alphabet, détachées en n’ayant pas de sens particulier.
Le Prophète Mohammad lui-même, sur lui la bénédiction et la paix, ne semble pas avoir précisé leur signification, d’où d’innombrables interprétations suggérées par les commentateurs anciens et modernes.
Laissons-les alors telles quelles ».
Note de bas de page, Qoraane (Coran), sourate2 (chapitre 2), Albqara, La Vache, aayate 1 (verset 1), p. 2.
[20] Alif.
[21] Laame.
[22] Miime.
[23] Hadiite rapporté par Attirmidhii (le « r » roulé).
Annawawii, Riyaad assalihiine (les jardins de la vertu), Éditions universel, Paris 2012, pages 499-500 (la traduction exacte du titre de l’ouvrage est : Les jardins des vertueux).
Assonna a trait à la conduite de Mohammad, l’ultime Messager et Prophète sur lui la bénédiction et la paix.
Lorsqu’on parle de hadiite (hadite, hadiith, hadith) cela renvoie à ce qui a été rapporté concernant la conduite de Mohammad, l’ultime Messager et Prophète sur lui la bénédiction et la paix.
Alqoraane n’a de sens qu’avec Assonna et Assonna ne peut exister sans Alqoraane.
Assonna procède d’Alqoraane.
Lorsqu’il est question de hadiite, cela renvoie à ce qui a été rapporté concernant la conduite de Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix.
Assonna a trait à la conduite de Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix.
Alqoraane n’a de sens qu’avec Assonna et Assonna ne peut exister sans Alqoraane.
Assonna procède d’Alqoraane.
Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
Le Message d’Allaah depuis Aadame[1] jusqu’à Mohammad sur eux la bénédiction et la paix, est Un.
C’est le même Message.
Il concerne les univers.
Les Prophètes et les Messagers sur eux la bénédiction et la paix, ont tous eu pour mission de transmettre ce qui leur a été révélé par Allaah.
La multiplicité des révélations se rapporte aux diverses étapes du Message et met en relief son essence qui est l’unicité.
Attawhiid :
Laa Ilaah illaa Allaah.
Il n’y a de Divinité qu’Allaah.
Il n’y a d’Allaah qu’en Allaah.
L’Islaam par conséquent, n’est pas né à l’époque où Mohammad, l’ultime Messager et Prophète sur lui la bénédiction et la paix, a commencé la mission qui lui a été confiée par Allaah.
Un Prophète[2] sur lui la bénédiction et la paix, est quelqu’un qui a reçu d’Allaah la mission de rappeler ce qui a été précisé auparavant dans le Message d’Allaah.
Un Messager[3] sur lui la bénédiction et la paix, est quelqu’un qui a reçu d’Allaah la mission de rappeler ce qui a été précisé auparavant dans le Message d’Allaah et de transmettre une législation nouvelle, dans la continuité du Message d’Allaah.
Un Messager, sur lui la bénédiction et la paix, est en même temps un Prophète, sur lui la bénédiction et la paix.
Le Livre, c’est Alqoraane.[4]
Dans sa traduction du Qoraane, Kachriid[5] note que les anciennes Écritures étaient des codes transitoires qui devaient tous être abrogés par les révélations suivantes.
Alqoraane étant la forme définitive et parfaite du Livre, Allaah a pris en charge de le sauvegarder jusqu’à la fin du monde ; tandis que tous les autres Livres ont été plus ou moins défigurés, Alqoraane est resté intact, tel qu’il a été révélé à Mohammad, l’ultime Messager, et Prophète sur lui la bénédiction et la paix.[6]
« Lis au nom de ton Seigneur qui a créé. Qui a crée l’Homme[7] d’une adhérence.[8] Lis et ton Seigneur Le Très Généreux.[9] Qui a enseigné par alqalam.[10] A enseigné à l’Homme ce qu’il ne savait pas ».[11]
Dans sa traduction du Qoraane, Kachriid note que ce verset est le premier verset révélé du Livre.
Il est notoire de constater que la première exhortation du Qoraane recommande de lire car la lecture est le symbole de l’étude et de la recherche scientifique.
On lit aussi bien dans Alqoraane que dans le grand livre de la nature que nous traduisons dans nos sciences dites exactes.[12]
Les musulmans et les musulmanes,[13] les croyants et les croyantes[14] font de leur mieux pour lire Alqoraane et approfondir leur connaissance du Message d’Allaah.
D’après Ibn Mas’oud, qu’Allaah le bénisse, le Messager d’Allaah[15] sur lui la bénédiction et la paix, a dit :
« Celui qui récite[16] une seule lettre du Livre d’Allaah[17] aura une récompense[18] qui sera multipliée par dix. Je ne dis pas que « alm »[19] est une lettre, mais que « a »[20] est une lettre, « l »[21] est une lettre, et « m »[22] est une lettre ».[23]
[1] Adam sur lui la bénédiction et la paix.
[2] Nabiyy.
[3] Raçoul (le « r » roulé).
[4] Le « r » roulé),
[5] Le « r » roulé),
[6] Salah Eddine Kechrid (Salaah Addiine Kachriid), traduction du Qoraane (Coran), Loubnaane (Liban), Bayroute (Beyrouth), éditions Daar Algharb Alislaamii, cinquième édition, 1410 (1990), première édition, 1404 (1984). Note en bas de la page 338.
[7] L’être humain, alineçaane.
[8] Qui a créé l’être humain de quelque chose qui s’accroche.
Kachriid note que le mot arabe « ’alaq » veut dire « quelque chose qui s’accroche ». On peut considérer que c’est l’oeuf fécondé qui se fixe aux parois de l’utérus maternel.
Ce même mot veut dire aussi sangsue dans ce même ordre d’idée de fixation et de succion. Mais, en examinant de près l’anatomie d’une sangsue, on est frappé par sa simplicité extrême qui la rend absolument identique à celle d’une simple cellule. C’est pourquoi nous sommes très enclin à traduire ici par « cellules » ou du moins « sangsues ». Les premiers exégètes traduisent par « caillot de sang" mais nous ne partageons pas leur avis.
Salaah Addiine Kachriid (Salah Eddine Kechrid), op.cit, note en bas des page 814.
[9] Lis ! Ton Seigneur est Le Très Noble.
[10] Par le calame, par la plume, avec la plume.
[11] Alqoraane (le Coran), sourate 96 (chapitre 96), Al’alaq, L’Adhérence, aayate 1 à aayate 5 (verset 1 au verset 5).
[12] Salah Eddine Kechrid (Salaah Addiine Kachriid). ibid, note en bas des page 814.
[13] Almoslimoune wa almoslimaate.
[14] Almouminoune wa almouminaate.
[15] Mohammad, l’ultime Messager et Prophète sur lui la bénédiction et la paix
[16] Qui lit.
[17] Alqoraane.
[18] Haçana.
[19] Aliflaamemiime.
Kachriid souligne que « A.L.M. ». (Alif. Laame. Miime), « les trois lettres énigmatiques qui forment le premier verset du chapitre 2 d’Alqoraane, sont l’un des mystères du Qoraane.
Certains disent qu’Allaah veut nous signifier ainsi qu’Alqoraane a été réalisé dans toute sa splendeur et sa perfection à partir des simples lettres de l’alphabet.
D’autres y trouvent des symboles qui auraient leur signification dans la langue syriaque.
D’autres enfin veulent les interpréter par la valeur numérique attribuée à chacune des lettres de l’alphabet.
Disons tout simplement que notre esprit n’arrivera jamais à épuiser tous les sens cachés de ce Livre sacré qui, selon un fameux hadith « sera ressuscité vierge le jour du jugement dernier » (yob’ath haadaa lkitaab yawma alqiyaama bikrane) ».
Pour le verset 1, du chapitre 20, il ajoute que « la tradition veut que « Ta-Ha » et « Ya-Sine » soient des appellations élogieuses données par Allaah à Son Prophète Mohammad, sur lui la bénédiction et la paix ».
Salah Eddine Kechrid (Salaah Addiine Kachriide), ibid, notes en bas des pages 2 et 406.
« Ta-Ha » c’est en fait les deux lettres « T-H » vocalisées (usage d’achchakl en langue arabe).
Dans d’autres chapitres la prononciation intervient aussi, comme dans « Ya-Sine » (Ya-e-Siine), « Y-S ».
Il en est ainsi dans plusieurs chapitres du Livre.
Mohammad Hamiid Allaah (Muhammad Hamidullah) précise dans sa traduction du Qoraane que « les sourates 2, 3, 7, 10, 11, 12, 13, 14, 15, 19, 20, 26, 27, 28, 29, 30, 31, 32, 36, 38, 40, 41, 42, 43, 44, 45, 46, 50 et 68 commencent non par des mots, mais par des lettres de l’alphabet, détachées en n’ayant pas de sens particulier.
Le Prophète Mohammad lui-même, sur lui la bénédiction et la paix, ne semble pas avoir précisé leur signification, d’où d’innombrables interprétations suggérées par les commentateurs anciens et modernes.
Laissons-les alors telles quelles ».
Note de bas de page, Qoraane (Coran), sourate2 (chapitre 2), Albqara, La Vache, aayate 1 (verset 1), p. 2.
[20] Alif.
[21] Laame.
[22] Miime.
[23] Hadiite rapporté par Attirmidhii (le « r » roulé).
Annawawii, Riyaad assalihiine (les jardins de la vertu), Éditions universel, Paris 2012, pages 499-500 (la traduction exacte du titre de l’ouvrage est : Les jardins des vertueux).
Assonna a trait à la conduite de Mohammad, l’ultime Messager et Prophète sur lui la bénédiction et la paix.
Lorsqu’on parle de hadiite (hadite, hadiith, hadith) cela renvoie à ce qui a été rapporté concernant la conduite de Mohammad, l’ultime Messager et Prophète sur lui la bénédiction et la paix.
Alqoraane n’a de sens qu’avec Assonna et Assonna ne peut exister sans Alqoraane.
Assonna procède d’Alqoraane.
Lorsqu’il est question de hadiite, cela renvoie à ce qui a été rapporté concernant la conduite de Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix.
Assonna a trait à la conduite de Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix.
Alqoraane n’a de sens qu’avec Assonna et Assonna ne peut exister sans Alqoraane.
Assonna procède d’Alqoraane.
Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
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