L’abrogation
de la peine de mort par un État, n’empêche pas celui-ci de tuer.
En effet, pour une raison ou une autre, une personne[1] désignée par certains qualificatifs, peut ne pas échapper à une exécution par un État où la peine de mort est abrogée.
L’État responsable de l’exécution[2] la « justifie » ensuite par le fait que la personne était par exemple, « connue » des services de police, « menaçait l’ordre public », et autres.
L’État en France est coutumier du fait lorsqu’il s’agit de personnes originaires des colonies arabo-musulmanes, du processus migratoire né du colonialisme de la métropole, du crime contre l’humanité.
Gonflée d’orgueil et d’arrogance, la métropole débite, encore et encore, les insanités de toujours, les bassesses, les mensonges, les supercheries, maintient un regard de mépris et de haine sur les indigènes[3] des colonies, alimente et entretient l’imposture, selon l’étable de sa loi.[4]
Les occasions ne manquent pas pour disserter sur les tas de droits[5] tout en poursuivant les exécutions.
Les personnes originaires des colonies arabo-musulmanes, du processus migratoire né du colonialisme de la métropole, du crime contre l’humanité, ne cessent de faire face à de multiples injustices et agressions, qui n’épargnent pas ceux et celles qui ont obtenu la nationalité française.
La métropole recours sciemment à l’amalgame, à la confusion entre « ethnie », « croyance », « délinquance », et autres.
Ainsi, pour parler d’hommes et de femmes originaires d’Afrique du Nord par exemple, des « maghrébins », la métropole use de connotations négatives pour dire les « arabes », c’est à dire les « musulmans », autrement dit des « violents », des « voleurs », des « violeurs », des « assassins »...
Les amalgames sont alimentés et entretenus contre l’Islaam[6] et autour des mauvais comportements de certaines de ces personnes.
La problématique posée par les personnes originaires des colonies arabo-musulmanes, du processus migratoire né du colonialisme de la métropole, du crime contre l’humanité, connaissent des discriminations, des stigmatisations, des humiliations et autres déconsidérations.
C’est condamnable bien sûr, mais cela ne doit en aucun cas entraîner la négation du fait que des personnes issues du processus migratoire et considérées comme « musulmanes » ont des comportements condamnables.
Des comportements délinquants, malsains, néfastes, criminels.
Le processus migratoire a bien entendu divers « visages » que beaucoup s’acharnent à défigurer, afin de masquer ce qu’ils veulent cacher.
Il importe donc d’essayer sans cesse d’en saisir les développements, les modifications, les changements, et autres.
Le processus migratoire ne cesse donc pas de mettre en relief certaines conséquences des méfaits du colonialisme français, crime contre l’humanité, qui a semé, qui continue de semer des horreurs.
La police de l’État en France continue tranquillement des exécutions de personnes originaires des colonies arabo-musulmanes, du processus migratoire né du colonialisme de la métropole, du crime contre l’humanité.[7]
BOU’AZZA
[1] Ou plusieurs.
[2] Et des exécutions.
[3] Appellation arrogante et méprisante donnée par le colonialisme, la métropole, aux populations des territoires colonisés, la colonie.
Les originaires d’Afrique, les nègres, les bamboulas, même français, et surtout les bougnoules, les ratons, les melons, même français, c’est à dire les arabes, donc les musulmans, car pour la métropole c’est du pareil au même.
[4] Les tables de sa loi.
[5] L’État de droit.
[6] L’Islaam depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de pays, de nationalité, d’Etat (le fait qu’un État ne soit pas fondé sur l’islaam, ne signifie nullement que les croyants et les croyantes installés dans une contrée ayant un tel État, ne font pas de leur mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande).
L’Islaam c’est ce qui unit les croyants et les croyantes où qu’ils soient, sur la base du Message d’Allaah, Le Seigneur des univers.
Alqoraane est la continuation, la synthèse, le parachèvement du Message d’Allaah, L’Unique.
Mohammad, l’ultime Messager et Prophète sur lui la bénédiction et la paix, a eu pour mission de le transmettre.
[7] Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé plus d’une fois.
En effet, pour une raison ou une autre, une personne[1] désignée par certains qualificatifs, peut ne pas échapper à une exécution par un État où la peine de mort est abrogée.
L’État responsable de l’exécution[2] la « justifie » ensuite par le fait que la personne était par exemple, « connue » des services de police, « menaçait l’ordre public », et autres.
L’État en France est coutumier du fait lorsqu’il s’agit de personnes originaires des colonies arabo-musulmanes, du processus migratoire né du colonialisme de la métropole, du crime contre l’humanité.
Gonflée d’orgueil et d’arrogance, la métropole débite, encore et encore, les insanités de toujours, les bassesses, les mensonges, les supercheries, maintient un regard de mépris et de haine sur les indigènes[3] des colonies, alimente et entretient l’imposture, selon l’étable de sa loi.[4]
Les occasions ne manquent pas pour disserter sur les tas de droits[5] tout en poursuivant les exécutions.
Les personnes originaires des colonies arabo-musulmanes, du processus migratoire né du colonialisme de la métropole, du crime contre l’humanité, ne cessent de faire face à de multiples injustices et agressions, qui n’épargnent pas ceux et celles qui ont obtenu la nationalité française.
La métropole recours sciemment à l’amalgame, à la confusion entre « ethnie », « croyance », « délinquance », et autres.
Ainsi, pour parler d’hommes et de femmes originaires d’Afrique du Nord par exemple, des « maghrébins », la métropole use de connotations négatives pour dire les « arabes », c’est à dire les « musulmans », autrement dit des « violents », des « voleurs », des « violeurs », des « assassins »...
Les amalgames sont alimentés et entretenus contre l’Islaam[6] et autour des mauvais comportements de certaines de ces personnes.
La problématique posée par les personnes originaires des colonies arabo-musulmanes, du processus migratoire né du colonialisme de la métropole, du crime contre l’humanité, connaissent des discriminations, des stigmatisations, des humiliations et autres déconsidérations.
C’est condamnable bien sûr, mais cela ne doit en aucun cas entraîner la négation du fait que des personnes issues du processus migratoire et considérées comme « musulmanes » ont des comportements condamnables.
Des comportements délinquants, malsains, néfastes, criminels.
Le processus migratoire a bien entendu divers « visages » que beaucoup s’acharnent à défigurer, afin de masquer ce qu’ils veulent cacher.
Il importe donc d’essayer sans cesse d’en saisir les développements, les modifications, les changements, et autres.
Le processus migratoire ne cesse donc pas de mettre en relief certaines conséquences des méfaits du colonialisme français, crime contre l’humanité, qui a semé, qui continue de semer des horreurs.
La police de l’État en France continue tranquillement des exécutions de personnes originaires des colonies arabo-musulmanes, du processus migratoire né du colonialisme de la métropole, du crime contre l’humanité.[7]
[1] Ou plusieurs.
[2] Et des exécutions.
[3] Appellation arrogante et méprisante donnée par le colonialisme, la métropole, aux populations des territoires colonisés, la colonie.
Les originaires d’Afrique, les nègres, les bamboulas, même français, et surtout les bougnoules, les ratons, les melons, même français, c’est à dire les arabes, donc les musulmans, car pour la métropole c’est du pareil au même.
[4] Les tables de sa loi.
[5] L’État de droit.
[6] L’Islaam depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de pays, de nationalité, d’Etat (le fait qu’un État ne soit pas fondé sur l’islaam, ne signifie nullement que les croyants et les croyantes installés dans une contrée ayant un tel État, ne font pas de leur mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande).
L’Islaam c’est ce qui unit les croyants et les croyantes où qu’ils soient, sur la base du Message d’Allaah, Le Seigneur des univers.
Alqoraane est la continuation, la synthèse, le parachèvement du Message d’Allaah, L’Unique.
Mohammad, l’ultime Messager et Prophète sur lui la bénédiction et la paix, a eu pour mission de le transmettre.
[7] Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé plus d’une fois.
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