Elle
ne faisait qu’à sa tête.
N’écoutait que ses pulsions, ses impulsions.
S’affichait, se montrait, attirait l’attention.
Elle était prête à tout pour susciter l’intérêt.
Atteinte d’agitation aiguë, toute à ses troubles de comportement, son besoin de paraître était inimaginable.
La moindre présence l’excitait, entraînait chez elle des réactions imprévues, des gesticulations qui allaient de pair avec des bavardages sans fin.
Son thème de prédilection était de dénigrer l’époux.
Comme celles qui pensent à l’adultère, s’y adonnent, elle accusait l’époux de tous les maux pour s’autoriser des comportements fondés sur le mensonge, la dissimulation, la dénégation, la tromperie.
Pour elle, le mariage signifiait avoir quelqu’un à qui imputer ses frustrations, ses insatisfactions, ses sautes d’humeur, ses dérives, ses défaillances, ses désordres, ses dérapages, et autres.
Quelqu’un à rendre responsable de ses inconséquences, de ses incohérences, de ses dévoiements, de ses errements, de ses dysfonctionnements, de ses divagations, de ses confusions, de ses déséquilibres.
Plus jeune, elle n’hésitait pas à s’exhiber, à s’offrir pour être pelotée et plus, parce que pour elle, c’était valorisant.
Épouse et mère, son attrait pour ce genre de valorisation n’avait pas disparu.
N’avait pas disparu non plus sa tendance à faire bander des jeunes fournisseurs de bites.
Elle ne se souciait pas des conséquences de ses comportements, s’en foutait de tout ce qui n’était pas elle.
Tout ce qui était incompatible avec elle était nul et non avenu, et seuls comptaient ses caprices, ses envies, ses désirs.
C’était une femelle libérée.[1]
BOU’AZZA
[1] Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :
http://raho.over-blog.com
http://paruredelapiete.blogspot.com
http://ici-bas-et-au-dela.blogspot.com
http://laroutedelafoi.blogspot.com
http://voyageur-autre.blogspot.com
http://lmslm.blogspot.com
http://iimaane.blogspot.com
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com
N’écoutait que ses pulsions, ses impulsions.
S’affichait, se montrait, attirait l’attention.
Elle était prête à tout pour susciter l’intérêt.
Atteinte d’agitation aiguë, toute à ses troubles de comportement, son besoin de paraître était inimaginable.
La moindre présence l’excitait, entraînait chez elle des réactions imprévues, des gesticulations qui allaient de pair avec des bavardages sans fin.
Son thème de prédilection était de dénigrer l’époux.
Comme celles qui pensent à l’adultère, s’y adonnent, elle accusait l’époux de tous les maux pour s’autoriser des comportements fondés sur le mensonge, la dissimulation, la dénégation, la tromperie.
Pour elle, le mariage signifiait avoir quelqu’un à qui imputer ses frustrations, ses insatisfactions, ses sautes d’humeur, ses dérives, ses défaillances, ses désordres, ses dérapages, et autres.
Quelqu’un à rendre responsable de ses inconséquences, de ses incohérences, de ses dévoiements, de ses errements, de ses dysfonctionnements, de ses divagations, de ses confusions, de ses déséquilibres.
Plus jeune, elle n’hésitait pas à s’exhiber, à s’offrir pour être pelotée et plus, parce que pour elle, c’était valorisant.
Épouse et mère, son attrait pour ce genre de valorisation n’avait pas disparu.
N’avait pas disparu non plus sa tendance à faire bander des jeunes fournisseurs de bites.
Elle ne se souciait pas des conséquences de ses comportements, s’en foutait de tout ce qui n’était pas elle.
Tout ce qui était incompatible avec elle était nul et non avenu, et seuls comptaient ses caprices, ses envies, ses désirs.
C’était une femelle libérée.[1]
[1] Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :
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