La France, État du système colonialo-impérialo-sioniste,
organise chaque année, le 14 juillet,[1] un
défilé militaire.
Cette année, suite à la énième exécution par un policier le mardi 27 juin 2023, d’un jeune d’une cité[2] de banlieue, confirmant, encore une fois, que la métropole, pleine d’arrogance et de mépris, continue les crimes contre des populations originaires des colonies et issues du processus migratoire né du colonialisme,[3] des affrontements ont eu lieu entre des jeunes de ces populations, et les forces dites de l’ordre, dont quarante cinq mille agents ont été mobilisés à cet effet.
Ces jeunes sont appelés les indigènes de France.
Appellation arrogante et méprisante utilisée par le colonialisme, la métropole, pour parler des populations des territoires colonisés, la colonie.
Appellation toujours d’actualité.
Le pouvoir veut faire du défilé militaire de demain vendredi, une démonstration de force contre les indigènes de France.
Cent trente mille agents des forces dites de l’ordre sont mobilisés pour les avoir à l’oeil, les mater en cas de besoin, comme diraient je ne sais combien d'amoureux de l’État criminel.
Les indigènes de France, qui ont la nationalité française, ne cessent de faire face à de multiples injustices, agressions et autres.
Les indigènes de France n’ont pas de pouvoir financier, pas de pouvoir économique, pas de pouvoir militaire, pas de pouvoir politique, pas de pouvoir médiatique, pas de pouvoir sur les publications, pas de pouvoir cinématographique, pas de pouvoir artistique, pas de…
Ils ont le pouvoir de poursuivre la résistance contre les injustices, les discriminations, les oppressions, les abus et autres.
Le pouvoir de résister jusqu’à la fin de l’existence ici-bas.
La décolonisation n’a pas encore eu lieu.[4]
Le colonialisme continue sous d’autres formes.
Le système colonialo-impérialo-sioniste,[5] dont l’État de France fait partie, ne cesse d’agir dans tous les domaines, pour alimenter et entretenir sa domination.
La résistance sous ses innombrables formes continue aussi.
Les résistants sont partout.
Ils ne cesseront jamais de résister.
La métropole montre les muscles pour mettre au pas les sauvageons, la racaille.
La métropole rappelle avec prétention, suffisance, ostentation et autres, que tout lui est dû.
La métropole n’arrête pas de pérorer.
Les représentations, les fantasmes, les mythes et tout ce qui en découle, ne peuvent jamais anéantir les indigènes de France, qui n’ont pas dit leur dernier mot.
Les bavardages stériles, les divagations hystériques, les discours mensongers, les commentaires désobligeants, les déclarations arrogantes, les campagnes de dénigrement, les insultes continues, les vexations répétées, les sous-entendus outrageants, les élaborations humiliantes, les propagandes malfaisantes, les tromperies constantes, les combinaisons funestes, les amalgames cruels, les menaces ouvertes, les attaques brutales, les entreprises de démolition, et autres pratiques, recourent au faux pour maintenir la confusion, l’imposture.
Ils ne peuvent, en aucun cas, éradiquer la résistance contre les injustices, les agressions, les discriminations, les exécutions.[6]
BOU’AZZA
[1] Selon le calendrier dit grégorien.
[2] Les cités de banlieues, Habitations dites à Loyers Modérés (H.L.M.) dont certaines servent plus particulièrement à entasser des familles originaires des colonies, issues du processus migratoire né du colonialisme, crime contre l’humanité.
Des populations principalement des colonies d’Afrique du Nord et d’autres régions d’Afrique.
Les originaires d’Afrique, les nègres, les bamboulas, même français, et surtout les bougnoules, les ratons, les melons, même français, c’est à dire les arabes, donc les musulmans, car pour la métropole c’est du pareil au même.
[3] Crime contre l’humanité.
[4] L’indépendance dans l’interdépendance, l’indépendance nationale, la révolution nationale, la révolution populaire, et autres appellations, font partie d’un Statut octroyé par le système colonialo-impérialo-sioniste, qui s’est traduit dans les colonies par la multiplication des « États » supplétifs, subordonnés avec plus ou moins de zèle, de soumission et de servilité dans l’exécution des ordres des métropoles et autres employeurs.
Ces « États » sont fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture, l’enfermement, la négation de l’être humain.
[5] Crime contre l’humanité.
[6] Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :
http://raho.over-blog.com
http://paruredelapiete.blogspot.com
http://ici-bas-et-au-dela.blogspot.com
http://laroutedelafoi.blogspot.com
http://voyageur-autre.blogspot.com
http://lmslm.blogspot.com
http://iimaane.blogspot.com
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com
Cette année, suite à la énième exécution par un policier le mardi 27 juin 2023, d’un jeune d’une cité[2] de banlieue, confirmant, encore une fois, que la métropole, pleine d’arrogance et de mépris, continue les crimes contre des populations originaires des colonies et issues du processus migratoire né du colonialisme,[3] des affrontements ont eu lieu entre des jeunes de ces populations, et les forces dites de l’ordre, dont quarante cinq mille agents ont été mobilisés à cet effet.
Ces jeunes sont appelés les indigènes de France.
Appellation arrogante et méprisante utilisée par le colonialisme, la métropole, pour parler des populations des territoires colonisés, la colonie.
Appellation toujours d’actualité.
Le pouvoir veut faire du défilé militaire de demain vendredi, une démonstration de force contre les indigènes de France.
Cent trente mille agents des forces dites de l’ordre sont mobilisés pour les avoir à l’oeil, les mater en cas de besoin, comme diraient je ne sais combien d'amoureux de l’État criminel.
Les indigènes de France, qui ont la nationalité française, ne cessent de faire face à de multiples injustices, agressions et autres.
Les indigènes de France n’ont pas de pouvoir financier, pas de pouvoir économique, pas de pouvoir militaire, pas de pouvoir politique, pas de pouvoir médiatique, pas de pouvoir sur les publications, pas de pouvoir cinématographique, pas de pouvoir artistique, pas de…
Ils ont le pouvoir de poursuivre la résistance contre les injustices, les discriminations, les oppressions, les abus et autres.
Le pouvoir de résister jusqu’à la fin de l’existence ici-bas.
La décolonisation n’a pas encore eu lieu.[4]
Le colonialisme continue sous d’autres formes.
Le système colonialo-impérialo-sioniste,[5] dont l’État de France fait partie, ne cesse d’agir dans tous les domaines, pour alimenter et entretenir sa domination.
La résistance sous ses innombrables formes continue aussi.
Les résistants sont partout.
Ils ne cesseront jamais de résister.
La métropole montre les muscles pour mettre au pas les sauvageons, la racaille.
La métropole rappelle avec prétention, suffisance, ostentation et autres, que tout lui est dû.
La métropole n’arrête pas de pérorer.
Les représentations, les fantasmes, les mythes et tout ce qui en découle, ne peuvent jamais anéantir les indigènes de France, qui n’ont pas dit leur dernier mot.
Les bavardages stériles, les divagations hystériques, les discours mensongers, les commentaires désobligeants, les déclarations arrogantes, les campagnes de dénigrement, les insultes continues, les vexations répétées, les sous-entendus outrageants, les élaborations humiliantes, les propagandes malfaisantes, les tromperies constantes, les combinaisons funestes, les amalgames cruels, les menaces ouvertes, les attaques brutales, les entreprises de démolition, et autres pratiques, recourent au faux pour maintenir la confusion, l’imposture.
Ils ne peuvent, en aucun cas, éradiquer la résistance contre les injustices, les agressions, les discriminations, les exécutions.[6]
[1] Selon le calendrier dit grégorien.
[2] Les cités de banlieues, Habitations dites à Loyers Modérés (H.L.M.) dont certaines servent plus particulièrement à entasser des familles originaires des colonies, issues du processus migratoire né du colonialisme, crime contre l’humanité.
Des populations principalement des colonies d’Afrique du Nord et d’autres régions d’Afrique.
Les originaires d’Afrique, les nègres, les bamboulas, même français, et surtout les bougnoules, les ratons, les melons, même français, c’est à dire les arabes, donc les musulmans, car pour la métropole c’est du pareil au même.
[3] Crime contre l’humanité.
[4] L’indépendance dans l’interdépendance, l’indépendance nationale, la révolution nationale, la révolution populaire, et autres appellations, font partie d’un Statut octroyé par le système colonialo-impérialo-sioniste, qui s’est traduit dans les colonies par la multiplication des « États » supplétifs, subordonnés avec plus ou moins de zèle, de soumission et de servilité dans l’exécution des ordres des métropoles et autres employeurs.
Ces « États » sont fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture, l’enfermement, la négation de l’être humain.
[5] Crime contre l’humanité.
[6] Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :
http://raho.over-blog.com
http://paruredelapiete.blogspot.com
http://ici-bas-et-au-dela.blogspot.com
http://laroutedelafoi.blogspot.com
http://voyageur-autre.blogspot.com
http://lmslm.blogspot.com
http://iimaane.blogspot.com
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