mercredi 5 juillet 2023

IL NE SAVAIT PLUS OÙ DONNER DE LA BITE


Alcool, joints,[1] musique, danse.
Préambule à la baise sans frontières.
Au domicile conjugal, elle jouait à l’épouse, à la mère, mais n’arrivait pas à dissimuler qu’elle savourait d’être pute, qu’elle se sentait valorisée[2] en faisant bander des fournisseurs de bites plus jeunes qu’elle.
Elle était prête à tout pour les allumer afin qu’ils la trouvent baisable.
Lors d’une soirée avec des fournisseurs de bites, des homosexuels, des lesbiennes, et autres, la musique l’avait déchaînée.
Elle s’était lancée dans la danse, et lorsque arrivé derrière elle, un jeune fournisseur de bite, lui avait posé les mains sur les hanches en reniflant le croupion offert,[3] elle était ouverte de partout.[4]
C’était dans des caves délabrées des cités[5] de banlieues que le jeune fournisseur de bite avait commencé à baiser, avant de réaliser qu’en dehors des cités, sa bite n’était pas sans valeur.
Il avait alors cessé de baiser dans des caves délabrées.
Sur des lieux de travail,[6] il s’investissait pleinement dans son activité où on se passait des pétards,[7] où on se roulait des pelles,[8] où on se tripotait, où on se faisait des fellations, où on se léchait, où on aménageait des moments pour se livrer à des enculeries, où on procédait à des explorations anatomiques, où on baisait dans des bureaux, dans des recoins, dans des chiottes, dans des véhicules,[9] et n’importe où.
Une des épouses et mères, ouverte de partout, voulait garder la bite dans son derrière insatiable, l’avoir dans son vagin boulimique, la sentir entre ses seins, entre ses cuisses, la prendre dans ses mains expertes pour la masser, la masturber, la mettre encore et encore dans sa bouche vorace de suceuse réputée auprès de beaucoup, parmi lesquels des époux et pères qu’elle a sucés, y compris au domicile conjugal des uns, des autres, et du sien.
Sur le marché du sexe que des sites internet contribuent à étendre, des culs, des vagins, des bites, et autres, ne cessent d’alimenter et d’entretenir la baise sans frontières.
La bite du jeune fournisseur avait la cote.
Elle était accueillie à orifices ouverts : bouches affamées, vagins boulimiques, culs insatiables.
Une bite recherchée, y compris dans des domiciles conjugaux bien sûr.
Fournisseur de bite : une réussite dont il n’était pas peu fier.
La demande était telle qu’il ne savait plus où donner de la bite.[10] 
 
BOU’AZZA
[1] Et autres.
[2] Plus jeune, elle n’hésitait pas à s’exhiber, à s’offrir pour être pelotée et plus, parce que c’était valorisant.
[3] Le mâle qui bandait à l’odeur de la femelle en rut.
Sa bite, disponible pour des orifices à boucher, mâles et femelles, oeuvrait dans beaucoup de domiciles conjugaux.
[4] La sodomie faisait partie de ses délices.
Elle n’avait pas oublié des sorties scolaires en autocar, sorties dites éducatives, durant lesquelles des enseignants et des enseignantes montraient aux élèves comment se rouler des pelles, se tripoter, se peloter, et plus.
Dans des établissements scolaires qu’elle avait fréquentés, elle connaissait les enseignants, les enseignantes, les élèves qui se léchaient, s’adonnaient à des fellations, baisaient.
Elle avait vu la directrice, la secrétaire, et un surveillant se livrer à des enculeries et autres explorations anatomiques.
Elle savait où trouver l’enseignante, épouse et mère, qui gémissait de plaisir, à quatre pattes, en se faisant sodomiser par un élève, pas toujours le même.
Et pour elle aussi, se faire sodomiser était devenu un délice.
Délice qu’elle s’offrait au début avec un enseignant qui soutenait que ce qu’il faisait était chaste, avait pour but d’approfondir sa relation avec son épouse.
[5] Habitations dites à loyer modéré (H.L.M.) où sont entassées des familles reléguées en marge de la ville, des familles issues du processus migratoire né du colonialisme français : une cité de la banlieue parisienne.
[6] Et ailleurs.
[7] Des joints au cannabis ou autres.
[8] S’embrasser sur la bouche en introduisant la langue.
[9] Devenues des baisodromes.
Des indices imputables aux ébats dans les véhicules, participaient à l’excitation de ceux et de celles qui veulaient en laisser aussi, en signe d’exploit.
[10] Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :
http://raho.over-blog.com
http://paruredelapiete.blogspot.com
http://ici-bas-et-au-dela.blogspot.com
http://laroutedelafoi.blogspot.com
http://voyageur-autre.blogspot.com
http://lmslm.blogspot.com
http://iimaane.blogspot.com
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com 


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