La troisième journée a été marquée, en quelque sorte, par le
farniente[1] :
« Nous sommes restés à la maison.
Avec le frère de mon épouse nous sommes tout de même sortis pour prendre un café dans le quartier où il habite.
À côté, il y a tout ce qu’il faut.
Les jeunes de Sous se réveillent tôt pour le travail, au port pour certains.
À Salaa aljadiida par contre, ils se réveillent tard, ne travaillent pas, et passent leurs journées à fumer des cigarettes et des joints rendant la ville paisible et calme.
le climat est doux, exceptionnel, frais tout le temps, toute l'année selon le frère de mon épouse qui auparavant est allé au marché prendre du poisson frais, dont nous nous sommes régalés au déjeuner.
J’ai fait une bonne sieste après, et nous comptons sortir le soir, ine chaa-e Allaah, pour profiter de la côte de cette magnifique ville ».
Le texte était accompagné d’une photo d’une bouteille d’amlou.
« J’ai commencé par amlou mon maréchal : impossible de résister.
Le farniente permet de réfléchir à la suite, pour laquelle je suis disponible bien sûr.
Il y a de cela un demi-siècle, je me souviens m’être rendu très tôt le matin au port, afin d’assister au retour des pêcheurs : un souvenir fabuleux.
À cette époque l’accès au port était simple et les pêcheurs généreux : ils n’hésitaient pas à distribuer des sardines, et j’en ai eu un cageot : sont-ils encore de ce monde ?
Ont-ils rejoint la vie dernière ?
Qu’Allaah les couvre de sa miséricorde ».
BOU’AZZA
« Nous sommes restés à la maison.
Avec le frère de mon épouse nous sommes tout de même sortis pour prendre un café dans le quartier où il habite.
À côté, il y a tout ce qu’il faut.
Les jeunes de Sous se réveillent tôt pour le travail, au port pour certains.
À Salaa aljadiida par contre, ils se réveillent tard, ne travaillent pas, et passent leurs journées à fumer des cigarettes et des joints rendant la ville paisible et calme.
le climat est doux, exceptionnel, frais tout le temps, toute l'année selon le frère de mon épouse qui auparavant est allé au marché prendre du poisson frais, dont nous nous sommes régalés au déjeuner.
J’ai fait une bonne sieste après, et nous comptons sortir le soir, ine chaa-e Allaah, pour profiter de la côte de cette magnifique ville ».
Le texte était accompagné d’une photo d’une bouteille d’amlou.
« J’ai commencé par amlou mon maréchal : impossible de résister.
Le farniente permet de réfléchir à la suite, pour laquelle je suis disponible bien sûr.
Il y a de cela un demi-siècle, je me souviens m’être rendu très tôt le matin au port, afin d’assister au retour des pêcheurs : un souvenir fabuleux.
À cette époque l’accès au port était simple et les pêcheurs généreux : ils n’hésitaient pas à distribuer des sardines, et j’en ai eu un cageot : sont-ils encore de ce monde ?
Ont-ils rejoint la vie dernière ?
Qu’Allaah les couvre de sa miséricorde ».
[1] Cette photo a été prise en France.
[1]
Ne rien faire en italien.
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